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Message par Invité Mar 14 Aoû - 16:10

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Par une soir de pleine lune Néro s'était adonné à une balade en pleine forêt, ce n'étais pas la première fois qu'il s'aventurait dans le coin, il y avait déjà rencontré des créatures sauvages mais qui bien souvent s'enfuyaient à cause de leur peur de l'homme, et même s'ils auraient l'audace d'attaquer le vieux vampire celui ci les auraient renvoyés fissa à la niche. Lui qui pourtant affectionnait les marches solitaires n'étais pas seul ce soir la, sa dulcinée était à ses côtés car il avaient décidé d'un commun accord de sortir prendre l'air quelques heures auparavant, c'était donc pour elle comme pour lui, l'endroit idéal. Ayant les mains dans les poches, Néro était d'humeur pensive, il est vrai que lors des soirées de pleine lune, il lui arrivait fréquemment de sortir pour méditer, à son ancienne vie, et bien d'autres choses encore. Sa compagne était à quelques mètres de lui, il faut dire qu'ils prenaient bien soin de rester côte à côte dans cette forêt si vaste, il y avait sans doute beaucoup d'animaux sauvages trainant dans le coin mais qui se montraient si discrets qu'on avaient l'impression qu'il n'y avait pas âme qui vive ici et Néro n'était pas vraiment d'humeur à activer son flair pour sentir la trace de l'un d'entre eux. Depuis qu'il avait rencontrer Saphira Cath semblait un peu bougonne avec lui, comme si elle lui en voulait d'avoir simplement adresser la parole à une autre femme, avait elle donc peur que Néro aille voir ailleurs? Sa peur n'était pas vraiment fondé car il n'avait nul intention de faire sa vie avec une autre personne, il la voulait elle et elle seule, de plus il n'avait aucun atomes crochus avec cette Saphira mais la jalousie féminine était souvent du genre redoutable.Il s'assit sur l'herbe juste à coter de Catherine en scrutant les étoiles qui étaient nombreuses ce soir la.

J'ai l'impression que quelque chose te tracasse je me trompe?

Lui dis il tout naturellement en sachant d'avance cette chose qui la tracassait mais il voulait entendre de ses propres oreilles ce que Catherine avait. Il voyait presque la lumière du claire de lune se refléter dans les yeux sauvages de sa compagne, elle était peut être aussi pensive que lui qui sait, Néro n'arrivait pas à lire dans son esprit aussi bien que Catherine le faisait avec lui, mais Néro lui faisait suffisamment confiance pour ne pas vouloir à tout prix savoir ce qu'elle cache dans ses pensées et respectait son intimité. Mettant sa main autour de l'épaule de la vampire il posa sa tête contre la sienne, de manière à pouvoir un peu l'apaiser, de temps en temps il jouait avec ses cheveux dorés et ne pensais plus à rien qu'a part ça, il était heureux d'être avec elle et espérait juste qu'elle saurait lui dire ce qui la tracassait sans avoir à s'en sentir gêné car après tout elle pouvait tout lui dire sans crainte.

Message par Invité Mar 14 Aoû - 18:27

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La lune était belle ce soir. Bien pleine et le ciel était clair. Les nuages avaient désertés. J'avais décidé, d'un commun accord avec Néro, de sortir dans la forêt en tête-à-tête,mais il semblait absorbé dans ses méditations, et depuis sa renontre avec cette Saphira, je lui "faisais un peu la tête". Je marchais à quelques mètres de lui, les mains dans les poches de mon pantalon de cuir noir. Mon haut, une simple brassièrfe noire, s'adaptait parfaitement aux courbes de ma poitrine. J'avançais à travers bois, moi aussi perdue dans mes pensées. Je n'osai pas briser le silence, ne voulant pas lui faire croire que je ne lui en voulais pas. Je regardai la lune à travers les feuilles des arbres. Nous marchions en silence tandis que je suivais discrétement les pensées de Néro sur son ancienne vie. C'est vrai qu'elle avait bien changée depuis qu'il m'avait rencontrée. La nuit était parfaite, seuls les petits bruits des animaux nous parvenaient. Il savait parfaitement pourquoi je réagissais comme ça, mais il me posais quand même la question. Je savais quoi lui répondre, mais j'avais presque peur qu'il le prenne mal. Le perdre, s'était perdre ma raison de rester en vie sur cette fichue planète où plus rien ne tournait rond. Je lui répondis sur une voix monocorde ou pointait quand même la jalousie:

-Tu sais très bien ce qui me tracasse Néro. Qui est cette Saphira, que tu as rencontrée au bar, le soir où je n'étais pas avec toi ? Je t'ai suivis mentalement, tu m'as entendu et répondus. Alors explique moi. Que sais-tu de cette femme ? Qu'avaient vous fait ce soir là ?

Je m'étais arrêtée devant lui, les bras croisés sur la poitrine. Ma jalousie s'était emplifiée depuis ma transformation en vampire. Mais si je me manifestais ainsi, c'était bien parce qu'il me tenait à coeur et que je n'avais pas l'intention de laisser n'importe quelle gonsesse poser ses mains sur lui. C'était peut-être excessif, mais je ne pouvais pas m'empêcher de réagir. Ca ne paraîtrait pas naturel, et je voulais avant tout rester comme j'étais. Je lui devais bien ça. J'attendais donc sa réponse, toujours plantée devant lui, les yeux dans les siens, à la lumière de l'astre lunaire qui continuait petit a petit son chemin. Mes cheveux, lâchés pour une fois, flottaient au rythme de la brise du soir. Je frissonnais, l'air étant frais et mon corps étant plus chaud que l'extérieur. Tant pis, j'attendrais. Ca finirait par passer, de toute manière. Mais hors de question que je me réfugie dans ses bras tant que je n'avais pas de réponses à mes questions.

Message par Invité Mar 14 Aoû - 19:14

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Néro un peu amusé par la réaction de Catherine décida de lui répondre le plus honnêtement possible, la jalousie de sa compagne ne le dérangeait absolument pas, au contraire il trouvait touchant de voir à quel point elle tenait à lui. Il posa ses deux mains sur ses épaules de manière à tourner son visage vers lui, ainsi ils se toisaient yeux dans les yeux pour que Catherine puisse se rendre compte de la sincérité des mots que Néro allaient lui donner.

Tu n'a aucune raisons de t'en faire, tu m'appartiens et je t'appartiens également, j'ai juste rencontré cette femme par hasard et il ne s'est rien passé mis à part qu'elle et moi avons failli nous battre quand elle m'a montrer ses pouvoirs.

Néro sentait que ses mots apaisaient l'esprit tourmenté de sa dulcinée mais dans l'esprit de Catherine semblaient encore résider quelques doutes, Néro avait en réalité tout autant peur de perdre Catherine même s'il le montrait moins qu'elle, ses sentiments étaient tout aussi forts. La meilleur façon de lui montrer était encore d'utiliser des gestes à la place des mots, il embrassa alors Catherine passionnément en la serrant fort contre lui pour la rassurer et qu'elle n'avait pas à douter de Néro car il ne la trahirait jamais, il tenait bien trop à elle pour ça, leur amour serait éternel car même la mort n'avait pas suffi pour les arrêter. Il continuait de toiser du regard sa compagne qui quelque part semblait un peu perdu mais déjà moins en colère contre lui, même si le vampire sentait bien qu'elle n'avait jamais été réellement remontée contre lui. Il voulait juste son bonheur et même si Néro avait fait plusieurs choses atroces dans sa vie mais jamais il ne voudrait trahir celle qu'il aime, il savait qu'elle tenait à lui plus que tout et qu'elle ne supportait pas de vivre sans lui c'était certain et Néro n'avait pas besoin d'une centaine de mot pour que Catherine sache que c'était réciproque. Les femmes étaient parfois bien compliqués pour s'imaginer autant de choses après juste une petite discussion avec une autre femme, il n'était de toute façon pas du tout attiré par Saphira, elle n'avait pas le petit quelque chose en plus que Catherine avait et qui avait fait chavirer le cœur de Néro. Il prit sa main dans la sienne lui transmettant toujours un flot de pensées apaisante. Il aimait plus que tout ces instants intimes partagés avec elle.

Message par Invité Mar 14 Aoû - 19:58

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Ma réaction sembla l'amuser. Ca ne m'étonnait pas vraiment à vrai dire. Je sentai malgré tout que la franchise était bien une chose qu'on ne se volerait jamais. Ses paroles seraient donc honnêtes et pensées. Il posa alors ses deux mains sur mes épaules, inclinant mon visage vers le siens. Je fixai mes yeux au fond des siens, me noyant presque dans le profondeur abyssale. Une petite flamme y brillait, et je pus presque visualiser cette porte oivrant sur son âme. Un cadeau du lien de sang. Je n'avais encore jamais vraiment franchis cette porte. Je le ferai en temps voulu, je ne voulais pas forcer les choses. C'était ça l'amour: apprendre à se découvrir au rythme de l'autre, sans chercher à en apprendre trop, trop vite. Je lui répondis, entre ironique et toujours un peu sceptique:

-Oui, ça, j'ai vu. Mais j'ai encore une question pour toi. Qui était cette Ever dont tu m'as parlé une fois, et quels rapports entretenais-tu avec elle ? Je veux savoir. Je n''ai pas été trop curieuse jusque là, mais je veux savoir. C'est tout ce que je te demande pour l'instant, avant que je ne puisse m'offrir à toi sans douter ou sans me poser de questions inutiles. Je n'ai pas l'habitude de faire du chantage, et surtout pas avec toi, mais avoir ce corps er l'âme qui va avec, ça se mérite.

Malgré le fait que ses mots apaisent un peu mon esprit, où tournaient tout un tas de doutes. La flamme dans ses yeux semblaient montrer qu'il avait tout aussi peur de me perdre que moi et que ses sentiments étaient très puissants. Le baiser qu'il me donna ensuite pour me prouver ses sentiments fut vertigineux. Dans ses bras, mes peurs s'envolaient. C'était maintenant que je comprenais qu'il ne me trahirait jamais, qu'il m'aimait trop pour ça et que personne d'autre que moi ne l'intéressait vraiment. J'étais seule à avoir ce qui avait fait chavirer son coeur. Je lui pris la main, lui murmurant "suis-moi" avant de l'entraîner à la lisière de la forêt dévastée pour rejoindre la forêt où de nombreux arbres vivaient, grandissaient. Je m'adossais à un arbre, rapprochais Néro de mon corps qui se soulevait au rythme d'une respiration qui n'était plus utile. Je passai le bout de mon doigt le long de sa mâchoire, lui faisant croire à un baiser qui ne vint pas. Je stoppai son visage à quelques centimètres du miens, deux doigts posés sur ses lèvres. Je lui dis sur un ton qui était indiscutable:

-Je veux d'abord que tu répondes à la question que je t'ai posé là-bas. Après, tu auras le remerciement que je t'avais promis au restaurant. Mais je veux d'abord avoir toute confiance en toi. Regarde moi et dis-moi qui était cette Ever. Tu ne m'auras entiére qu'à cette condition.

Message par Invité Mar 14 Aoû - 20:16

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La condition de Catherine amusait toujours autant Néro, cela ne semblait même pas l'agacer que Catherine lui fasse du chantage affectif mais de toute manière Néro n'avait strictement rien à lui cacher, à seulement quelques centimètres de son visage il lui répondit:

Ever était juste une colocataire pour moi, je pense qu'un certaine amitié s'est tissé entre elle et moi mais ce n'est jamais allé plus loin et comme je t'ai dis tu es la seule et unique personne que j'aime et ça ne changera pas.

Il serra la vampire fort contre lui même s'il ne cherchait pas pour autant à presser les choses, il souhaitait juste qu'elle ai moins de doutes à propos de lui même si quelque part il comprenait qu'elle pouvait se poser des questions de par le fait que le passé de Néro restait mystérieux, même pour elle. Il caressait sa joue d'une infinie tendresse tout en contemplant ses yeux, il ne pu s'empêcher de lui dire en guise de taquinerie.

Tu es encore plus mignonne quand tu prend ton air jalouse.


Il l'embrassa alors, il n'avait rien à se reprocher vis vis de Catherine à part sans doute le fait de lui avoir causé une profonde griffure quand leurs sentiments n'étaient pas encore nés, pour cela Néro s'en voulait toujours d'ailleurs, à l'époque il ne s'était pas rendu compte qu'il avait lui même blessé la femme qu'il aimerait par la suite. Mais maintenant la seule chose qu'il voulait c'était la protégé, elle avait beau être forte et même si Néro savait parfaitement qu'elle savait se défendre, il la considérait malgré tout comme une femme qu'il devait absolument protéger, après tout elle était encore très jeune pour une vampire et c'était son devoir en tant que vampire plus âgé mais surtout son devoir en tant qu'amant de veiller à ce qui ne lui arrive rien. Toujours fortement enlacé l'un contre l'autre Néro ressaierait de plus en plus son étreinte mais sans faire mal à sa compagne car il savait tout de même doser sa force. Lui offrant de nouveau un baiser il trouvait sa proximité avec Catherine de plus en plus enivrante et c'était une sensation qui commençait à l'envahir de plus en plus et qui poussait le vampire sauvage enfoui en lui à apparaitre mais il se contenait car il aimait beaucoup cette tension qui régnait entre eux.

Message par Invité Mar 14 Aoû - 20:46

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La condition que j'avais posée semblait toujours autant le faire rire. Pourtant j'étais sérieuse cette fois-ci. Son visage toujours très près du mien, il me répondit. Cette réponse finit d'envoler les incertitude vis-à-vis de lui. Je n'avais pas de raison de croire qu'il mentait, donc je n'avais aucune raison de m'attarder sur le sujet. Toujours collée à l'arbre, il me serrait maintenant dans ses bras. Je lisais dans sa tête qu'il comprenait mes doutes. J'avais de bonnes raisons de douter: il nem'avait jamais vraiment parlé de son passé, et je craignais que ce voile ne cache des choses qui n'étaient pas acceptables tant qu'elles restaient dissimulées. Son regard toujours perdu dans le mien, sa main me caressant la joue, il ne put s'empêcher de me lancer une taquinerie. Je lui répondis, un fin sourire sur les lèvres:

-Merci du compliment...

Nos lèvres s'effleurèrent d'abord, comme un courant d'air, avant de se joindre un instant pour finir dans un long baiser langoureux. Je pouais me laisser aller, maintenant que j'étais sûre qu'il ne me cachait rien d'intôlérable. Malgré tout, je sentais encore les cicatrices des profondes entailles qu'ils m'avaient laissées comme souvenir de notre première rencontre, celle où nous nous étions opposés pour Eleonor, cette vampire buveuse de sang animal en verre. Mais même si les marques restaient, notre opposition était oubliée. Il ne savait pas à l'époque que celle qu'il avait blessé deviendrait celle qu'il aimerait et qu'il protégerait, quitte à donner sa propre vie pour qu'il ne lui arrive rien. Je l'avais d'ailleurs moi aussi blessé, et je m'en étais ensuite mordu les doigts. Il avait lui aussi gardé de profondes marques, quia vaient fini par celer notre amour. La frontière entre l'amour et la haine n'était-elle pas suffisemment fine pour se déchirer en.. Un coup de griffes ? Un nouveau baiser vint étouffer mes réflections. A quoi bon s'éterniser sur le passé, de toute manière ? Il resserrait un peu plus son étreinte tendis, tandis que je sentai dans mon dos l'écorce de l'arbre m'entailler la peau. Je me fichais de ce détail. Etre avec Néro suffisait à me faire oublier tout le reste. Je sentais que la pression commençait à grimper entre nous. Je la laissai monter encore un peu. Je savais quel endroit rejoindre ensuite. Je connaissai tellement bien cette forêt, que je cotoyais pourtant depuis si peu de temps. Un endroit magnifique, parfait pour les têtes-à-tête romantique où la tension est déjà bien haute...Entre deux baisers brûlants, jel lui murmurai:

-Je te préviens, je ne ferai pas l'amour contre un arbre...

Message par Invité Mar 14 Aoû - 21:08

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Néro laissait ses mains se balader sur le corps de Catherine et embrassait parfois son cou, il respectait sa décision de ne pas s'adonner au plaisir de la chair contre un arbre et ne cherchait pas à aller trop loin dans ses caresses, cependant elles se voulaient longues et sensuelles car plus Néro connaissait Catherine plus il savait quel genre de caresses lui prodiguait le plus de bien être et il aimait jouer avec cela, pouvoir attiser son désir, la rendre toute chose à la façon dont il posait ses mains sur son corps, Néro connaissait tout ces petits secrets à force d'être avec elle et ainsi son corps n'avait presque plus de secret pour lui.La respiration de Catherine se voulait de plus en plus haletante tandis que Néro caressait tantôt ses jambes, ses bras et aussi son ventre en embrassant son cou qu'il parcourrais de mille baisers avant que ses lèvres s’emparent des siennes et qu'il faisait jouer sa langue avec la sienne dans une danse torride, il plaça alors ses mains dans le dos de la vampire et faisait des petits ronds dans son dos qui lui procuraient sans doute quelques frissons.

Puisque tu le désire je n'irais pas trop loin mais ce n'est pas l'envie qui me manque.


Lui déclara il avec un sourire et continuant ses caresses, Néro aimait plus que tout cette sensation et n'aurait pas pu supporter d'en être privé une seule seconde, il voulait Catherine pour lui et lui seul, même si le charme de sa compagne restait avant tout sa beauté sauvage et insaisissable qui était si typique de sa personnalité. Sans l'avertir il décida de donner un peu de piquant à leur caresses et sortit ses crocs pour la mordre sauvagement au cou, sans bien sur lui prélever trop de sang, le but étant pour lui d'exprimer son désir à Catherine et non de lui prélever du sang, même si il en buvait malgré tout une petite quantité ce qui l'enivrait encore plus. Il l'a serra fort contre lui puis retira ses crocs commençant alors des caresses plus intimes en passant un doigt sur son ventre nu autour de son nombril puis passa une autre de ses mains en caressant sa cuisse et la sentait vibrante et tout autant débordante de désir que lui, parviendrais elle à se contenir? Toutes ces questions fusaient dans son esprit pendant qu'il prenait un malin plaisir à rendre folle de désir sa compagne en continuant ses caresses et sensuelles et sans plus tenir compte de ce qui les entouraient, il ne voyait plus que Catherine et rien qu'elle.

Message par Invité Mar 14 Aoû - 21:29

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Tandis que les mains de Néro se baladaient sur mon corps en grande partie dénudé, ses lèvres s'emparaient de mon cou. Malgré le fait que je ne veuille pas trop me laisser aller, Néro se perdait dans des caresses plus sensuelles les une que les autres. Il me connaissait de mieux en mieux, trouvant sans peine les endroit me faisant le plus d'effet. Les secrets de mon corps s'étaient envolés, et il en profitait pour poser ses mains de façon à me faire perdre pied, à me rendre suffisement folle de désir pour me pousser à l'acte. Sauf que j'en avais décidé autrement. Malgré ma résistance, ma respiration commençait à se saccader. Il me carressait au niveau des jambes, de mes bras nus et de mon cou, avant que ses lèvres reprennent le pouvoir sur les miennes. Nos langues dansaient un mélange de slow et de tango très sensuel et passionné. Il plaçait ensuite ses mains dans mon dos, où il dut glisser entre l'arbre et ma peau, pour y faire des petit ronds. Quelques frissons me parcoururent. Malgré tout, il fallait que je résiste, car le bois commençait à m'entaille plus profondément ma peau, déversant mon sang sur le tronc. Je baladais mes mains sur la poitrine de Néro, que j'entrepris de dénuder. Je déboutonnais habilement un à un les boutons de sa chemise sombre, révelant ce corps de rêve qui m'avait fait chavirer toute entière. Des abdos en béton armé, une peau douce et brillante de sueur...

-Désolée de te décevoir, mon amour, mais il va falloir attendre encore un peu...

Ses cresses se faisaient de plus en plus torrides et chaudes , tandis que ses lèvres, jusque là brise dans mon cou, deviennent deux lames tranchantes qui m'ouvrir la peau et laissèrent échapper un filet de liquide poisseux d'un rouge qui nelaissait aucun doute sur son identité. Sous la morsure, je levai la tête vers le ciel, laissant à mon tour sortir deux canines d'une longueur peu comune. Mon sang poussait encore plus Néro a aller plus loin, même si le but n'était pas de me vider mais bien de me montrer ce qu'il attendait avec tant d'impatience. Il me serrait un peu plus fort encore contre lui, retirant ses crocs et me caressant le nombril etla cuisse. J'avais peur de commencer à perdre pied. J'avais déjà complètement oublié le décors dans lequel nous étions. J'avais fait tomber, par mes mains glissant sur ses épaules, sa chemise sur le sol verdoyant, parmis les feuilles. J'arrêtai ses lèvres près des miennes, lui jetant un regard malicieux, lui prenant une fois de plus la main, pour l'entraîner plus loin. Nous franchîmes quelques arbres pour trouver un tronc couché. Je sautais tel un chat par-dessus, Néro sur mes talons et dévalai une petite pente. Une clairière se dégageait là. Je m'assayai dans l'herbe, à l'abris des arbres, en attendant Néro. Il avait récupéré sa chemise au vol mais ne l'avait pas remise. Son corps à la lumière d'un rayon de lune me fis me mordiller la lèvre inférieure. Je le regardai s'approcher de moi, lui offrant mon corps.

Message par Invité Mar 14 Aoû - 22:02

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Le vampire s'approchait à présent de Catherine presque comme un prédateur qui traque sa proie, même si la proie en question s'offrait délibérément à lui. Néro posa son corps contre le sien, leurs deux corps étaient alors tout aussi chauds l'un que l'autre, il sentait l'excitation monter de plus en plus et il ne pouvait l'ignorer, il entreprit d'enlever sa brassière la mettant alors en soutien gorge et parsema de baiser son corps du ventre jusqu'au cou sans négliger un seul endroit, il aimait la sentir sienne et il savait qu'a présent même elle ne pouvait résister au désir charnel qui de plus en plus sévissait entre eux. Il la faisait languir mettant sa patience à l'épreuve, il profitait du spectacle que lui offrait la vue de son ventre nu ainsi que de sa poitrine uniquement caché par son soutien gorge, il déposait plusieurs baisers sur celle ci tout en continuant aux autres entre et revenant souvent à ses lèvres pour l'embrasser. L'atmosphère venait de changer du tout au tout tandis que les deux amants s'affairaient à la tache avec toujours plus de délice et de sensualité, ils en étaient encore au stade des caresses mais déjà la température de leur corps ne cessait de grimper. Il passait de temps en temps ses mains au niveau de l'entrejambe de sa compagne. Il savait néanmoins que celle ci ne voulait pas qu'il aille trop loin, il essayait donc de se contenir un peu. Il embrassa fortement Catherine mais plus le temps passait moins il arrivait à contenir ses pulsions, c'était beaucoup plus fort que lui et il le savait, il voulait s'adonner totalement au plaisir de la chaire avec sa compagne et c'était très dur de résister.

Je sais que tu voulais qu'on aille pas très loin mais c'est un peu dur.

Lui dis il avec un sourire, il faut dire que c'était surtout Néro cette fois ci qui avait provoqué la situation, et c'était surement tout aussi dur pour lui comme pour elle de se défaire du manège infernal auquel ils étaient entrain de se livrer, les canines du vampires étaient toute sorties sous l'effet du désir et il aurait bien mordu Catherine une nouvelle fois si sa conscience lui avait pas dis de se retenir, il n'aurait pas accepter de se livrer à quoi que ce sois sans le consentement de sa bien aimée.

Message par Invité Mar 14 Aoû - 22:23

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Tandis que Néro s'approchait de mon corps offert tel un prédateur, je sentis une goutte de sueur due au désir tomber sur ma tempe. Un prédateur face à sa proie, voilà ce que nous étions en ce moment même, même si la proie n'était pas si innocente que ça. Ce désir ardant nous brûlant l'un comme l'autre de l'intérieur, nous poussant à ce que nous attendions tous les deux. Il posa son corps brûlant contre le mien, ma peau palpitant sous ce contact devenu si familier, un peu comme une reconnaissance tactile. Cette odeur, ce corps, connu dans ses moindres détails, venait de trouver sa juste place. Le désire qui rongeait Néro avait fini par lui faire franchir un pas de plus vers "l'impardonable", et j'étais tellement sous pression que je ne pus l'empêcher de me retirer ma brassière, restant en soutient gorges alors que Néro avait laissé sa chemise sur le sol. J'entremêlai mes doigts aux siens quand un léger bruit m'alerta, me faisant me redresser sous le corps de Néro. Je retournai la situation, l'allongeant sur le sol et me retrouvant assise au-dessus de sa ceinture. Je posai un doigt sur ses lèvres, lui intimant par le geste d'écouter, mais le bruit avait déjà cessé. Je fronçai les sourcils. Nous n'étions pas seuls ! J'en informai Néro par la pensée. Le silence étant revenu, Néro repassa à l'attaque, me noyant sous des baisers qui menaçaient de me faire céder à n'importe quel moment alors qu'une menace rôdait peut-être ! La vue de mon corps nu faisant revenir au galop un désir foudroyant, contenu trop longtemps. Nero s'était assis, me collant de nouveau contre lui, ses lèvres capturant les miennes dans une étreinte une fois de plus torride et attachante au point d'en devenir essentiel. Une main sur ma joue, l'autre passant parfois à l'entrejambe, il se contenait de plus en plus difficilement et moi aussi. Le bruit repris de plus belle, m'arrachant une nouvelle fois à se plaisir qui m'appellait, qui me hurlait de me laisser aller ! Je passai mes bras autour de ses épaules, toujours assise sur lui et lui collé contre mon corps en ébullition. Je passai ma tête par dessus son épaule tandis que lui passait ses bras autour de ma taille. Je lui murmurai dans un soufle:

-S'il te plaît, arrête... Nous ne sommes plus seuls ici. Ca fait deux fois que j'entends un bref bruit, qui s'arrête presque immédiatement. On nous observe...Je sais que c'est dur, mais on ne peut pas se laisser aller maintenant, mon amour...

Je repassai ma tête par dessus son épaule pour remettre mon visage face au sien, lui arrachant un baiser d'une délicatesse sans égal, nos lèvres s'effleurant à peine, telles deux saisons qui se poursuivent sans se trouver. Néro, toutes canines dehors, aurait bien goûté une nouvelle fois mon sang, mais ce n'était pas vraiment le bon moment. Je me levai, je dressant de toute ma taille devant Néro, lui dévoilant un ventre plat, presque musclé. Je lui tandis la main, l'aidant à se lever. Je passai devant lui et il ne put s'empêcher de passer ses mains sur mes hanches, avançant en étant plus que collé à moi. Je déployais mes sens, pour trouver l'individus qui allait le payer de sa vie pour m'avoir empêché de profiter jusqu'au bout de ce que j'avais commencé. Je ne voyais rien que l'ombre, percé à quelques endroit par la lune. Je m'enffonçai dans la forêt, Néro toujours tout près de moi, mais déjà plus calme.

Message par Invité Mar 14 Aoû - 23:47

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L'idée qu'il y ai un éventuel gêneur ne plaisait pas plus à Catherine qu'a son compagnon qui commençait déjà a avoir des envies de meurtre, au moins cela lui changeait un peu les idées. Collé à Catherine il s'empressait de chercher le coupable qui paierait surement très cher cet affront. Il sentait une odeur très prononcé, il avait déjà eu affaire à ce genre d'odeur, oui il n'y avait aucun doute c'était bel et bien une odeur de lycan qu'il sentait, et Catherine l'avait sans doute remarquer elle aussi. Il s'approchait petit à petit de la fameuse source de l'odeur qui n'avait de cesse de bouger. Bien vite la source du problème leur apparu, c'était un jeune loup qui semblait avoir perdu son chemin, rien de bien méchant en somme, Néro avait peut être confondu l'odeur d'un lycan avec celui d'un simple loup finalement, il semblait qu'au final il s'agisse pas la d'une réelle menace, mais ses yeux semblaient différents de ceux des autres loups, pensant qu'il s'agissait juste d'une bête ordinaire, Néro en oublia presque sa ranceur se disant que c'était juste un animal qui n'étais pas vraiment conscient d'avoir gêné, mais il passa une langue sur ses lèvres en pensant au sang sans doute frais et délicieux que ce loup avait à offrir, face à la mine féroce du vampire le loup se dépêcha de décamper, mais il était suivi de près par Néro et Catherine, à la grande surprise de ces derniers, le loup mis la gomme et les devança de nouveau. Ce qui commençait à le faire douter du fait que le loup soit si ordinaire que ça, Catherine perçut ses pensées et lui dis par le biais du lien mental.

Tu à déjà vu un loup avec des yeux d'humains et qui courrait plus vite qu'un vampire? Il s'agit d'un lycan c'est sur.

Néro se sentir alors idiot de ne pas y avoir penser plus tôt mais aussi sa colère d'avoir été dérangé commençait à ressurgir et il fonça alors à une vitesse impressionnante et il attrapa le bougre en fonçant sur lui ce qui fit que les deux créatures se retrouvaient plaquer au sol. Ce dernier prit alors une forme humain sous les yeux du vampire et commença à asséner le vieux vampire de coups de poings dévastateurs qui manquaient leur cible, Néro eu le temps de se soustraire à l'emprise du lycan et revint à une distance raisonnable de la créature, et il fut très vite rejoins par Catherine. Le lycan prettant peu d'attention à cette dernière chargea à toute vitesse Néro qui a la grande surprise de son assaillant ne cherchait même pas à esquiver, il restait simplement planter la. Catherine intervint à ce moment la en bloquant le coup du lycan avec cependant un peu de mal du à la force prodigieuse de la créature et lui asséna un violent coup de pied en plein visage. Le lycan poussa alors un grognement plaintif et posa ses mains sur son visage pestant contre la compagne du vampire. Néro adressa alors à Catherine un sourire complice et tout deux tendirent la main vers le lycan et l'enflammèrent en même temps, le pauvre commença alors à courir dans tout les sens en criant de peur et de colère. Ce spectacle était agréable à voir aux yeux de Néro qui contemplait alors le fameux gêneur qui recevait la punition appropriée, le seul regret de Néro aura été de ne pas lui avoir pris du sang avant de le cramer, maintenant son sang allait être tout carbonisé, beurk. Il remit alors sa main sur l'épaule de Catherine regardant le spectacle avec un certain regard rempli de vices et non dissimulé.

Message par Invité Mer 15 Aoû - 0:20

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Nero commençait à écumer de rage à l'idée qu'un individu se soit permis de nos espionner ainsi. L'avantage, c'est que pendant qu'il pensait à la punition qu'il allait infliger à ce gêneur, il ne pensait plus à la belle vampire en soutient gorge qui marchait devant lui. Il commençait à redevenir calme, même si maintenant il avait envie de tuer. Il restait collé à moi, mais était plus occupé à cherche le trouble fête des yeux. Une odeur persistante et ignoble, semblable a celle sentie dans la ruelle ce soir là, nous parvenait. Il n'y avait aucun doute, Néro l'avait lui aussi sentie. Nous nous approchions de l'odeur et nous retrouvions face... A un loup. Un simple loup. Un simple loup aux yeux d'homme ! Aucun doute, c'était un lycan qui avait jouer les voyeurs. Celui-là aurait eut mieux fait de rester planqué dans sa tanière jusqu'à la prochaine lune ! Il allait le payer très, très cher. Pourtant, Néro semblait persuadé que c'était un loup banal comme on en voyant de temps en temps, en tête-à-tête gastronomique avec un cerf ou une biche. L'idée du sang frais du loup fit apparaître un sourire plus que sauvage sur le visage de Néro, qui ne tarda pas à faire déguerpir le loup. Néro se mit à courir après lui, moi sur ses talons. Mais quand le loup mit un coup d'accélérateur, nous devançant, je mis Néro au courant de mes soupçons de manière mentale. Néro se mit donc à courire de toute sa vitesse, percutant le loup. Les deux se retrouvèrent donc au sol. Le lycan prit une forme humaine devant nos yeux et essayait de mettre des coups de poings qui auraient fendu un crâne s'ils avaient touché leur cible a Néro. Ce dernier arriva malgré tout à prendre un peu de distance, et je le rejoignis. Le fait que le lycan ne fasse pas cas de moi eut pour effet de me mettre dans une colère noire. Le loup chargea alors Néro, mais fût stoppé par la seule personne au monde par laquelle il n'aurait jamais pensé être stoppé. J'avais eu un peu de mal, car le lycan avec une force colossale, mais j'avais réussi et lui avais envoyé un magistral coup de pied au visage. Le loup se mit alor à pester contre moi dans un grognement ignble, mettant ses deux mains sur son horrible face. Dans un consentement silencieux,Néro et moi tendîmes la main vers le loup, qui prit feu tel une torche. Le fou courait en hurlant dans tous les sens, ne faisant que raviver les flammes. Nous regardîmes le spectacle d'un oeil barbare, avant que le corps ne tombe, calciné, un peu plus loin. Néro remit alors sa main sur mon épaule et nous retournions vers la petite carrière où nous avions laissé nos vêtements.

Message par Invité Mer 15 Aoû - 0:43

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Apaisé par la mort du lycan, les deux amants retournèrent à la clairière, au final le gêneur avait amplement eu ce qu'il méritais et ce n'était pas Catherine et lui qui allaient pleurer sur son sort. Il regardait d'un oeil tendre sa bien aimée qui en faisait de même, parfois un échange de regard était pour eux bien plus parlant que n'importe quels mots. Heureux de pouvoir reprendre la où il en était resté avec Catherine, la chasse au loup lui avait fait perdre un peu de son hardeur, mais il suffisait de peu de choses pour raviver la flamme, c'était parfois difficile d'être un homme quand son corps ne voulait qu'une chose, ne faire qu'un avec celui de la personne de ses rêves, cette personne était bien entendu en l'occurance Catherine, cependant il respectait ses décisions et ne tenterai pas d'aller plus loin si elle ne le souhaitait pas. Une fois revenu sur la clairière le vampire posa ses mains sur les hanches de Catherine et recommença à l'embrasser, il se montrait plus calme que tout à l'heure, sans doute que leur altercation avec le lycan lui avait permis de canaliser son énergie. Il s'y prenait alors avec encore plus de douceur et ses mains moins pressées que tout à l'heure ne touchaient pas encore les endroits intimes de Catherine préférant rester sobre pour l'instant et en se disant qu'ils avaient tout leurs temps et que corser les choses pourraient bien attendre une prochaine fois. Tout en l'embrassant il songeait déjà à leur futur, Catherine tout comme Néro, ne connaitrait jamais les ravages du temps, ils resteraient toujours aussi jeunes même avec les années qui passent mais surtout ils étaient garanti de vivre ensemble pour l'éternité et cela avait pour effet de rassurer le vampire qui ne voulait en aucun cas la perdre. Parcourant son ventre de caresses il embrassait le cou de sa bien aimée en restant debout son corps collé au sien. A ce moment la il n'aurait pour rien au monde voulu être ailleurs qu'ici même, il se sentait beaucoup trop bien en la compagnie de Catherine pour vouloir quitter cet endroit, c'était un peu comme un havre de paix pour eux et rien qu'a eux.

Je t'aime

Lui déclara il tandis qu'il caressais son dos dévêtu et qu'il déposait des baisers sur sa poitrine et son cou, la sensation enivrante qu'il ressentait tout à l'heure commençait à revenir tandis qu'il inhalait le parfum irrésistible de Catherine. Il la serra alors dans ses bras et se laissa tomber avec elle par terre où leur chute fut amorti par une herbe dense et confortable. Posant un doigt taquin sur son nombril Néro fit des petits cercles avec son doigt sur le ventre de Catherine tout en la regardant avec des yeux de braise.

Message par Invité Mer 15 Aoû - 11:45

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Maintenant que ce fichu lycan avait payé pour son arrogance, je pouvais retourner l'esprit léger à la clairière avec Néro. Après tout, ce bon à rien n'avait eu que ce qu'il méritait. Un lycan, prit à espionner les vampires et puini comme il se doit. Il était hors de question qu'on s'attarde sur son sort, il devait forcément savoir ce qu'il risquait s'il se faisait prendre. J'échangeai des regards tendres avec Néro, regards qui parlaient mieux que tous les mots du monde. J'étais contente qu'on puisse reprendre là où tout c'était mis en pause pour cet abruti de lycan. La chasse avait fait redescendre la tention, et ce n'était pas si mal. Malgré tout, je savais qu'il ne fallait que peu de choses pour qu'il reparte comme si rien n'avait été. C'était difficile de résister quand notre corps, même prétendu mort, réclamait de ne faire qu'un avec la personne de votre vie: Néro. Mais je savais qu'il se contrôlerait, par respect pour mes choix, il était donc logique que moi aussi je me contienne, même si ça allait j'avrer difficile, très difficile. Une fois tous les deux revenus dans la clairière, Néro vint poser ses mains sur mes hanches. Ces baisers étaient plus calmes, comme si son énergie s'était canalisées sur le loup pendant la traque, me rendant un Néro plus calme et détendu qu'avant. Ses mains, moins pressées, me donnaient des caresses plus sobres, sans pour autant moins de plaisir et de désir. Nous avions tout notre temps, à quoi bon se presser ? Nous ne subirions ni l'un, ni l'autre, les ravages du temps, et même la mort ne nous avait pas empêchés de nous aimer. Corser les choses pourrait bien attendre une prochaine fois, ce n'était que partie remise. Je ne voulais pas la perdre, et le temps étant la première cause de séparation chez les humains, ne nous toucherait pas. Rien ne pouvait nous séparer, nous allions rester ensemble. Pour l'éternité. Toujours debout, mon corps était collé au sien, tendis qu'il m'embrassait dans le cou en parcourant mon ventre d'une dangereuse sensualité. Rien ne m'aurait donné envie d'être ailleurs, et avec quelqu'un d'autre. J'étais bien et je redoutai déjà le moment où il nous faudrait partir, parce qu'il arriverait forcément, avec le levé du jour.

-Je t'aime.

La déclaration était simple. Deux petits mots. Qui avaient le pouvoir de faire toute la différence. Deux mots pensés du plus profonds de nos êtres. Les caresses dans mon dos dévêtu s'accentuaient doucement, tendis que la plus de baisers dans mon cou devenait un torrent imprévisible. Tandis qu'il me serrait dans ses bras forts, nous nous laissions tomber ensemble, dans une herbe confortable et épaisse, qui amorti notre chute. Je m'assayai dans l'espace de ses bras, la tête contre sa poitrine, soulevée par un soufle invisible, même inexistant, et pourtant... Dans les yeux de Néro brillait une flamme à la signification très claire, tandis que son doigt faisait des cercles autour de mon nombril. Je pris ses lèvres entre les miennes, laissant ma langue danser avec celle de Néro. Le baiser était torride, la large poitrine dévêtue de Néro montait en température. Je ne pus m'empêcher de jeter un rapide coup d'oeil à ma montre. L'astre solaire serait levé dans deux bonnes heures. Elles s'annonçaient très prometteuses d'ailleurs...

Message par Invité Mer 15 Aoû - 12:10

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Néro prenait un malin plaisir à jouer avec le corps de sa compagne en faisans exprès de lui procurer plusieurs frissons intenses et sensuelles qui ne faiblissaient à aucun moment, quelques fois les mains taquines de Néro venaient à effleurer l'entrejambe et les fesses de sa compagne mais il se concentrait plus sur le dessus du corps sans négliger un seul endroit de ses baisers et caresses. La soirée dégageait comme une douce chaleur mais qui paraissait beaucoup plus chaude pour les deux vampires dont le corps n'avait de cesse de se réchauffer. Néro caressait également les cheveux dorés de sa compagne sans se lasser, chacun de ses gestes étaient prévu pour faire plaisir à Catherine tandis que de moins en moins de tissu séparaient leur corps, Néro commençait en effet à passer une main en dessous du pantalon de Catherine en l'enlevant petit à petit pour la laisser uniquement en sous vêtements. Il caressait alors vivement les cuisses de sa compagne en embrassant son ventre plus fougueusement cette fois ci, c'était déjà comme une extase pour lui de la voir ainsi à moitié nue et offerte à ses mains comme à ses lèvres.

J'espère que tu apprécie.

Lui chuchota il à l'oreille pendant qu'il continuait son traitement en passant sa main plus souvent sur les zones sensibles du corps de Catherine, il se collait plus fort à elle que jamais, sans l'étouffer car il prenait grand soin de ne pas blesser sa partenaire avec sa force, même s'il était particulièrement dur pour lui de se contrôler dans un moment pareil. Avec délice il continuait de parcourir son corps comme en parcourant un livre dont on savourait d'avance le prochain chapitre. Il voyait bien que sa respiration devenait tout aussi haletante que la sienne, la tension qui régnait entre eux deux n'avait donc pas mis très longtemps pour réapparaitre. Tout en finesse il commença alors à défaire son soutien-gorge savourant déjà les prochains instants.

Message par Invité Mer 15 Aoû - 22:56

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Par manque d'inspiration, je préfère clore se rp, pour faire quelque chose de différent, avec l'accord de Néro bien sûr.

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