| par Invité Mar 10 Juil - 22:43
| Je marchais aux côtés de l'ange noir dans les ruelles. Mon camarade cherchait déjà sur quel pauvre innocent il allait passer sont envie de meurtre. Il repéra quelques câtins sur le trottoir, puis il me signala un mec qui surveillait ces filles. Une lame venait de sortir de sa manche. Le malheureux n'eut pas la chance de faire ce qu'il avait prévu... Ne se méfiant pas, il avait rejoint l'ange noir dans la ruelle où il s'était placé en attendant sagement sa victime. Je m'engageai à la suite de l'homme dans la ruelle. Le pauvre se retrouva coincé entre un ange de la mort, une vampire et une lame de faux qui venait d'apparaître dans la main de mon camarade. En bougeant, guidé par un vent de panique, l'homme s'entailla la gorge à plusieurs reprises. Quand la faux lui arracha à moitié la tête, l'ange noir s'approcha, lavé par le sang de sa victime, qui agonisait. Comme toute créature de la nuit qui se respecte, mon camarade se délectait de l'agonie de sa cible. L'homme mourut dans l'instant. Je jetai un sourire carnassier à mon camarade avant de lui lancer d'une voix de prédateur:
-A moi de jouer maintenant....
Je tournais les talons, rejoignant la rue principale. Je ciblai un groupe de jeunes gens qui riaient bruyamment, se fondant ainsi au vacarme ambiant. Je me projetai d'un bond au milieu du groupe. Je me glissai avec souplesse dans le dos d'un premier, lui enffonçant sauvagement mes cros dans le cou et veillant à éclabousser de son sang ses camarades tout en en buvant l'autre moitié. Les autres membres du groupe étaient pris d'une terreur bleue et commençaient à partir en courant dans tous les sens. J'avais moi aussi tâché mes vêtements de sang. Je ratrappai une jeune femme qui faisait partie du groupe, lui bloquant ainsi le passage. Je lui lançai un sourire humain, la bouche couverte de sang, avant de laisser mes canine s'allonger et mes yeux changer de couleur. Un cri de peur s'échappa de la jeune femme avant que je la fasse taire en la vidant de son sang. Je laissai le corps tomber sur les dalles de pierre pavant la ruelle. Je planquai les corps dans les ruelles adjacente, évitant ainsi de faire dégarpir tous les autres gens qui peuplaient la rue et qui n'avaient pas entendu ou vu le carnage et fichant ainsi une trouille effroyable au delà des mots à celui ou celle qui trouverait les corps. Je rejoignis ensuite mon camarade, aussi tâchée de sang que lui, un sourire prononcé aux lèvres, que je m'essuyai de l'avant bras. |
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