Avventura
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.
-40%
Le deal à ne pas rater :
-40% sur le Pack Gaming Mario PDP Manette filaire + Casque filaire ...
29.99 € 49.99 €
Voir le deal

Aller en bas

Message par Invité Mar 13 Jan - 13:23

Revenir en haut Aller en bas
Je regardais l'hybride endormie par l'effet du poison utilisé dans l'amphitéatre. Elle avait été laissée ici à même le sol par celui qui l'y avait amenée et il n'avait même pas prit la peine de lui retirer les entraves ni le bâillon ou le bandeau qui avaient été mis par sécurité, au cas où l'une de nos cibles se réveillait en trajet. Lentement j'alla m'adosser au mur de son sombre cachot en la fixant, la détaillant du regard et je ne pus manquer ses magnifiques ailes blanches qui ornaient son dos. On attendait de moi que je l'interroge et que je lui tire des infos du nez mais comment? Je n'avais jamais interroger qui que ce sois. J'ai toujours tuer mes proies lentement et cruellement certes mais je tuais! Et puis... Dans le cas présent j'étais face à une hybride. Pas à une humaine et à mes yeux ça change tout!
Avec la haine que je leurs voue j'aurais eu plus de facilitées à faire ce que l'on attend de moi car j'aurais été sans pitié avec elle mais là... La voir si frêle et endormie sur le sol m'en attendrissait presque. Elle semblait si fragile que j'avais peur de la briser dès que je commencerais l'interrogatoire mais après tout, n'étais ce pas ce que l'on attendait de moi?
Cependant je devais faire mes preuves et si jamais je refusais de faire cet interrogatoire ou même que je revenais sans résultat... Qui sais ce qui m'arriverais?
Lentement je vains me mettre à genoux à ses cotés pour lui retirer le bandeau qui lui masquait les yeux ainsi que sont bâillon avant de la fouiller soigneusement pour la déposséder d'éventuelles armes avant e patienter jusqu’à son réveil, réfléchissant à comment je pourrais mener cet interrogatoire.
Pour une fois, je n'étais pas rassurée et incertaine de la suite face à une e mes proies. Mais une chose était sure, je ne manquerais pas à ma mission.

Message par Invité Ven 23 Jan - 11:50

Revenir en haut Aller en bas
Alors que j'étais dans l'amphithéâtre pour participer à la conférence qui allait bientôt commencer, tout devint noir. Je ne sus jamais pourquoi, mais j'eus l'impression très désagréable de chuter dans un trou sans fond, comme toujours attirée plus bas et plus vite. C'était cette sensation qu'on avait dans les cauchemars, quand, allongé dans son lit, on a l'impression de tomber, encore et encore, et qu'on se réveillait en sueur entre ses draps, le cœur battant la chamade. L'obscurité était totale... A croire que je venais d'arriver en Enfers... Une sensation de malaise intense m'étreignit, me prenant à la gorge et me donnant des nausées. Dans cet univers-là, tout semblait triste et stérile, sans vie et seulement habité par des ombres plus inquiétantes les unes que les autres... Dans ce monde-ci, les darkness devaient se sentir comme chez eux... Pour quelqu'un comme moi, c'était pire que le neuvième cercle. J'essayais de me retourner, de me débattre, de me sortir de là, mais rien n'y faisait: j'étais prisonnière de ce lieu maudit et vierge de toute existence, comme abandonné de Dieu et livrée à moi-même. Cette déchéance perpétuelle me donnait une furieuse envie de fermer les yeux et de me recroqueviller sur moi-même afin d'échapper à tout ça. Ce ne fus pas faute d'essayer, mais je ne pus rien faire de tout cela. Soudain, j'eus l'impression de m'écraser contre quelque chose d'aussi dur et rigide qu'invisible. Le corps engourdi, l'esprit hagard, je me relevais en chancelant. Alors que j'essayais de faire un pas en avant, comme si je cherchait une quelconque sortie à cette impasse diabolique, je me heurtais à une paroi transparent et inviolable, comme du verre trempé.

Je le frappais de toute ma rage à plusieurs reprises de mes poings vacillants, mais pas une seule fissure n'apparut sur la surface de ma cage. Je commençais à désespérer de m'échapper un jour de cet indescriptible endroit qui me terrifiait. Je ne remarquais qu'en me laissant glisser avec désespoir contre cette indestructible paroi maudite que je n'avais plus mes ailes. J'aurais du ressentir un profond soulagement d'être une humaine banale, mais tout était étouffé dans ce lieu privé d'espoir. Comme Dante l'avait écrit, " vous qui entrez ici, abandonnez toute Espérance"... De plus, j'avais fini par accepter ma condition et ma nature d'hybride, et devoir vivre sans me traumatisait au plus profond de mon être. Je m'effondrais sur un sol tout aussi irréel quand les barrières qui me maintenaient assise disparurent. Il faisait froid dans cet endroit, comme si tout était fait de glace, alors que tout était obstinément privé de lumière. J'avais la désagréable sensation d'être coincée dans une chambre froide fermée à triple tour. Et la pensée que j'allais sans doute mourir dedans s'infiltra sournoisement dans mon esprit. Elle ne fit qu'effleurer ses contours dans un premier temps et finit par disparaître... Pour revenir plus fort, plus longtemps. J'allais mourir ici, loin de tout, loin de mes proches, loin de mes amis, loin de ma fac et de mon chien.. J'allais périr à tout jamais et personne ne le saurait.

Alors que je désespérais de trouver une solution, un petit rayon de lumière pénétra les ténèbres, comme si on venait d'enlever une brique à un mur. Petit à petit, d'autres briques disparurent pour laisser place à un mur bien réel, fait de béton humide et à un sol vraiment solide et glacial. Mes vêtements étaient trempés et j'étais absolument incapable de dire où j'étais et depuis combien de temps. Mes ailes étaient apparemment dans un sale état, les plumes étaient froissées et mon dos était ankylosé. De toute évidence, je n'étais plus à l'université... Mais plutôt dans une cellule...? Les barreaux en témoignaient, comme la curieuse personne qui se tenait là à me regarder. J'étais trop dans les vapes pour réussir à percevoir ce qu'il y avait dans ses yeux, obstinément braqués sur moi, ni qui elle était. Je ne l'avais jamais vu de ma vie, je ne savais pas ce qu'elle pouvait bien vouloir à quelqu'un comme moi, sans histoire. Quand mon esprit s'éclaircit, je pris conscience qu'en fait, elle n'était pas derrière les barreaux, mais assise à mes côtés. Un bandeau et un bâillon avaient été négligemment balancés le long d'un mur. De toute évidence, j'avais été enlevée par des fous-furieux... Probablement des Rebelles... Comme je l'avais craint, ils avaient visiblement frappé pendant la conférence, prenant en otage les personnes qui y étaient venues. Si ma théorie était juste, elle allait me cuisiner sur le Cercle et me demander tout ce que je savais, pour peu qu'ils sachent que j'en faisais partie. Il se pouvait aussi qu'ils aient emmené des personnes au hasard, je ne savais pas. Je remuais faiblement, essayant de me relever, mais sans succès. Je ne savais pas ce qu'ils m'avaient fait prendre, mais il semblerait qu'ils m'aient droguée avant de m'enfermer ici. Je pensais alors à Eleonor, mon amie vampire et représentante du Cercle... Avait-elle été capturée en même temps que moi...? Ou l'avaient-ils laissée là-bas ? C'était à souhaiter, puisque les gens qui étaient sûrement restés à l'université seraient sûrement plus en sécurité là-bas que moi ici... Je me raclais la gorge avec beaucoup d'élégance et lui demandais d'une vois de sapeur-pompier:


-Où sommes-nous...? Et qui es-tu...? Que me veux-tu au juste...?

Message par Invité Mar 27 Jan - 19:18

Revenir en haut Aller en bas
Je resta adossée à mon mur un petit moment à fixer la prisonnière au sol, réfléchissant à ce que je pourrais lui faire subir, comment le lui faire subir, comment l'interroger, sur quoi,quand, comment?! Tellement de questions qui se bousculaient dans ma tête tandis que ma captive était allongée au sol encore sous l'effet des drogues alors que je ne savais comment me jeter à l'eau en quelques sortes. Une telle situation m'amusa d'ailleurs, me rappelant ma première fois volontaire, ma première fois où j'avais sciemment égorger un humain. Je me rappelas mon hésitation au moment de trancher cette gorge alors que l'humain me regardait,terrorisée, ce regard emplie de peur, d'incompréhension et de panique, ce regard implorant qu'il m'avait jeter avant d'hurler de douleur et de rendre son dernier souffle en baignant dans son propre sang dans une ruelle étroite.
Sortant de mes rêveries, je m’apprêtais à quitter la cellule, lassée d'attendre quand j'entendis du mouvement. Baissant la tête vers l'hybride je la vis bouger avec lenteur sur le sol comme si elle ne contrôlait pas bien ses membre un peu comme une personne qui vient de se réveiller d'un longue nuit. Je la regardais se tortiller sur le sol avec un petit air amusé avant qu'elle ne se racle la gorge et ne me questionne. Où était elle? Que faisait elle ici? Et que voulais je d'elle? Tant de questions aux quelles j'avais pour une fois les réponses. Cependant, je ne lui répondis pas. Du moins pas tout de suite.
Lentement, je m'approcha d'elle avant de m'agenouiller à ses cotés pour répondre d'un air distant comme si, je me plongeais dans mes pensées:

"Tu est quelque part... Quelque part autour de la ville. Qui suis je?"

A cette question elle le regarda d'un air amusé, le regard brillant de malice:

"Je suis celle qui vais te poser quelques... Questions aux quelles tu vas gentilement répondre. Et je te veux... Et bien... Je veux des infos que tu devrais pouvoir me donner petite oiselle."

Une fois que je lui eu vaguement répondu je lui caressa lentement une joue avant de lui demander en prenant un bloc note et un stylo, allant m'asseoir sur la paillasse à la quelle le nom de lit avait été donnée et je demanda tranquillement:

"on va commencer par la base. Nom, prénom, age, profession."

Message par Invité Jeu 12 Fév - 15:59

Revenir en haut Aller en bas
Je restais allongée sur le sol, encore sonnée. Je me pris la tête à deux mains: une migraine lancinante commençait à me battre les tempes. Ce n'était pas ce genre de douleur, fulgurante et irréductible, mais plutôt un mal discret et sournois qui vous a à l'usure. J'avais bien l'impression que dans deux heures, je n'en pourrais plus. La douleur irait croissant, jusqu'à ce que je sois incapable de ne plus penser à rien d'autre qu'à ce mal. Et ce n'était vraiment pas le moment de ne plus être en mesure de réfléchir: j'étais coincée dans une cellule de pierre humide avec une femme oiseau complètement barrée, qui me voulait je ne savais quoi et qui, de toute évidence, n'avait pas l'intention de me laisser m'en aller. Le poison auquel j'avais été soumise m'avait complètement assommée, me laissant un goût amer dans la bouche et une nausée persistante. J'étais apparemment une prisonnière et si les Rebelles étaient bien derrière tout ça, j'allais sans doute subir un interrogatoire musclé, où cette folle allait essayer de m'extirper tous les renseignements possibles sur qui j'étais, ce que je faisais, pour qui je travaillais, et que sais-je encore... Si je ne collaborais pas, je me doutais bien que ma gardienne n'hésiterait pas une seconde avant d'user de la force sans vergogne jusqu'à ce que je me décide à parler. Alors oui, j'allais parler. Mais il n'était pas question qu'un seul mot vrai sorte de ma bouche. Il était hors de question que je file toutes mes infos à ces malades et que je leur permette de détruire le Cercle. Je n'étais pas disposée à les laisser régner sur l'Avventura, faire couler le sang et les larmes impunément dans ma ville. Je m'étais battue pour intégrer les autorités de la ville afin de la protéger, de permettre que la paix s'installe et que les plus faibles se sentent en sécurité. Non, je n'aiderais pas ces monstres à détruire cet endroit, à en faire des cendres une fois de plus.

J'essayais de me relever lentement afin d'essayer de m'éloigner de ma geôlière, pour venir m'appuyer aussitôt contre un mur de pierre glacé, prise d'un violent vertige. Combien de temps le gaz continuerait-il à agir encore...? Dix minutes, vingt minutes, deux heures...? J'avais d'ailleurs perdu toute notion du temps dans cet infâme cachot où la lumière était presque totalement bannie. Il faisait sombre là-dedans, ça sentait le renfermé et j'avais de plus en plus envie de vomir. Cela-dit, je me doutais bien qu'on ne me donnerait rien pour soulager mes maux, l'occasion était trop belle de m'affaiblir pour me faire lâcher encore plus vite ce qui les intéressait. Je ne comptais pas les aider ni leur demander quoi que ce soit. Je ne voulais pas coopérer avec eux, alors faire preuve de lâcheté et leur quémander de quoi soulager cette espiègle douleur ? Et puis quoi encore ! J'allais faire preuve de force et tenir malgré mon état, pour protéger mes secrets jusqu'au bout. J'avais tenté de m'éloigner de cette folle, mais elle regagna bien vite du terrain: elle s'agenouilla de nouveau à côté de moi, avant de se décider à répondre à mes questions. Enfin.. Si on pouvait appeler ça des réponses:


-Autour de la ville..? C'est bien vague ça, comme réponse...

Je me doutais bien que je n'obtiendrais pas le lieu exact. Il serait trop facile de m'évader de ma prison si je savais où je me trouvais. Il était donc évident que je n'apprendrais ce renseignement que par une fortuite coïncidence. De toute façon, je n'entendais pas de bruit aux alentours. De toute évidence, on m'avait isolée et il n'y avait pas âme qui vive dans le coin à part ma tortionnaire et moi-même. Visiblement, mon audace surprenait l'hybride. Il semblerait que les bourreaux Rebelles n'aient pas l'habitude que leurs prisonniers leur posent autant de questions et se montrent aussi bravaches. C'était amusant d'ailleurs, de voir qu'il était quand même possible de les surprendre. Comme si ces idiots avaient déjà tout vu... Poser quelques questions...? Comme si elle allait se contenter de me les poser en restant tranquillement là à me regarder. J'avais renoncé depuis longtemps à penser que quelques Rebelles avaient encore une âme et un peu de compassion. C'étaient deux mots qui avaient disparu de leur vocabulaire, qui leur étaient inconnus. La seule chose qui leur parlait encore, c'était la violence. Arracher des aveux à grands coups de tortures plus barbares les unes que les autres afin d'obtenir ce qui les intéressait. Je soupirais, un sourire mi-méprisant, mi-exaspéré sur les lèvres. Elle croyait vraiment que j'allais avaler ça...? Apparemment, elle me sous-estimait. Et j'avais horreur de ça. Cependant, ça me laissait un avantage crucial sur elle. Si elle pensait que j'étais une petite fille sans défense et terrifiée, elle ne se poserait même pas la question de savoir si je mentais ou pas, tellement il semblerait évident que je disais la vérité. C'était tordu comme plan, mais avec des cinglés comme ces gens-là, il n'y avait que ça qui marchait. C'était triste, mais c'était la vérité. Je n'aimais pas mentir ou tromper, duper les gens n'était pas mon passe-temps favori, et pourtant, entre les griffes de ces tyrans auto-proclamés, c'était ma seule chance de survivre tout en évitant de me faire immanquablement malmener.

-Tu ferais mieux de garder tes surnoms pour toi. Je ne suis pas ta " petite oiselle", c'est compris ? D'ailleurs, qui te dit que je les ai les informations qui t'intéressent ? Rien ne te dit que tes petits copains ne se sont pas lourdement trompés en m'emmenant moi ici. Alors pose-les moi tes questions, mais je ne pourrai pas te répondre.

C'était là une simple bravade, lancée à la face de cette hybride malveillante qui œuvrait pour des inconscients dont le seul but était de semer le chaos. Et puis, qui savait ? Elle avait peut-être même été embrigadée de force ! Avec des monstres imprévisibles comme ces Rebelles, on ne pouvait jamais être sûr de rien... Il était possible que cette jeune femme ne sache même pas pour qui elle se battait. Ils avaient déjà prouvé qu'ils n'hésitaient pas à user du poison sur les gens pour les forcer à les suivre, alors comment savoir si ma gardienne était là de son propre gré ? Cela n'avait sûrement pas d'importance, mais je me refusais à condamner une innocente potentielle sans me demander ce qui avait bien pu lui arriver pour qu'elle se retrouve coincée là avec pour ordre d'extraire de ma personne un maximum d'informations. J'étais curieuse de savoir comment ils pouvaient être sûrs que j'étais du Cercle, compte tenu du fait qu'on était d'une extrême vigilance et que nous protégions jalousement nos identités afin d'éviter les prises d'otages dans ce genre. Se pouvait-il qu'ils aient frappé au hasard et choisi des gens sans savoir à l'avance qui ils emmenaient ? C'était peu probable, mais après tout, ça restait de l'ordre du possible... Ou alors, ils avaient infiltré le Cercle dans le but de dévoiler les noms de ses membres...? Si c'était effectivement le cas, tous les représentants courraient un grand risque, tout comme les partisans de plus ou moins haut grade. Si ces psycopathes parvenaient à tuer les membres, tous les membres,  qu'adviendrait-il alors de l'ordre que nous tentions d'établir depuis plusieurs années et des progrès auxquels nous étions parvenus...? La perspective que tout notre travail s'effondre et disparaisse me faisait plus froid dans le dos que la pierre humide. Alors qu'elle effleurait ma joue de la main, je la repoussais d'un revers, mes yeux dorés brillant d'une lueur menaçante qui m'était peu coutumière. Mais pour qui cette hybride se prenait-elle ?

-Je m'appelle Andréa Stanley. J'ai 23 ans et je travaille comme informaticienne à domicile. Je donne des cours chez les gens. Et vous ? La moindre des choses pour me retenir ici, ça serait au moins de vous présenter.

Je savais pertinemment que si elle se décidait à me répondre, elle me donnerait probablement elle aussi une fausse identité. Mais derrière un faux nom, il y avait toujours quelqu'un de bien réel, généralement quelqu'un du passé de la personne, ou d'un roman.. Bref, mais si elle était truquée, c'était toujours une information quelconque sur la véritable personnalité de quelqu'un. C'est en sachant ça que je m'étais inventé un autre moi, qui n'avait ni lien avec une personne que j'aurais connue. Andréa Stanley n'avait absolument aucune existence dans le monde, elle ne provenait ni
d'une oeuvre littéraire, ni de quelque chose d'autre. Elle était inspirée de l'imaginaire seul, ce qui me protégerait pour un moment. Enfin, j'osais l'espérer... Je n'avais aucune idée de la quantité d'informations à laquelle ces timbrés avaient accès.

Message par Invité Mer 25 Fév - 17:31

Revenir en haut Aller en bas
Sa réaction et sa réponse étaient des plus surprenant... Je m'attendais à ce qu'elle sois bien plus sur la défensive surtout avec le poison qui parcourait ses veines et surtout le réveil. En effet, après être restée un petit moment dans l'inconscience elle aurait 'après les dires de ses supérieurs être un peu moins vive énergique mais bon elle allait improviser. J'écoutais ses réponses avec sérieux, fronçant les sourcils à sa réponse un peu trop cinglante à mon gout mais, je restait silencieuse, attendant qu'elle finisse de parler essayant de rester calme dans une situation que me déplaisait. Devoir interroger et ce par la force si il le fallait une de mes semblables me répugnait mais en même temps, elle semblait clairement être du coté de ces crétins du cercle ce qui, me rendrait la chose plus simple. En effet, je les haïssais tellement que ca allait tout de même me permettre quelque violence à l'encontre de cette hybride.
Lorsqu'elle m'énuméra ses quelques mensonges je ne put réprimer un gloussement d'amusement avant de lâcher sèchement:

"Andréa Stanley hein?"

Elle s'approcha d'elle sans rien dire et lui caressa la joue avec une douceur infinie en rajoutant:

"les infos qu'on m'a donner... sont en contradiction avec tes infos c'est dommage hein?"

Puis, sans prévenir elle lui asséna une gifle des plus puissante avant qu'elle ne poursuive:

"On a prit la peine de ramasser les affaires que tu avais Marina et non je ne me présenterais pas. Ici c'est moi qui pose les questions et toi qui y répond. suis je claire?"

Puis elle marqua un arrêt en la fixant, restant silencieuse pour que ses quelques phrases fassent leur effet dans l'esprit de la jeune femme puis, elle poursuivit:

"Au moins, ça m'a permit de connaitre ta... Fiabilité et je sais que je ne pourrais pas te soutirer des infos sans etre violente et devoir employer la manière forte ce qui, me déçoit. Nous sommes semblables et supérieur à ces minables humains! Pourquoi t'être mise de leur coté? Pourquoi?"

Puis, elle se tût, en la fixant attendant sa réponse.

Message par Contenu sponsorisé

Revenir en haut Aller en bas
Revenir en haut
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum