|  par Invité Sam 22 Mai - 13:13
| * Je resentit alors dans l'esprit de Miyoko quand elle me prit dans ses bras, une sensation de déjà vu...et surtout qu'elle venait de voir un fantôme comme toujours. Mais quand je cherchais plus profondément ( pas très profondément en fait ) qui étais ce fantôme, je vis à travers les yeux de Miyoko, ma mère. Je me retournais, mais mes yeux n'étais pas capable comme les siens de voir ce fantôme que j'aurais tant voulu revoir. Je me concentrais donc pour visualiser en même temps que Miyoko ce qu'elle voyait à travers son esprit. Ma mère n'avait pas changer, mais en même temps, la dernière image que j'avais eu d'elle était ce squelette en état de décomposition qui s'était trouvé devant moi à sa mort. Revoir son visage, auréoler d'une aura blanche, souriant, me fit monter les larmes aux yeux. J'aurais voulu prendre ma mère dans ses bras, et la serrer très fort, comme je ne l'avais pas assez fait étant enfant. Mais je ne pouvais pas, quand j'essayais de m'approcher d'elle, ma main lui passait en travers du corps. Elle me regarda avec toute la tendresse que pouvait avoir une mère envers sa fille. Et finalement, dans ma famille, c'était une des seuls à n'avoir jamais voulu ma mort. Si ma mère est morte, c'était uniquement de ma faute : uniquement parce qu'elle m'aimait. Je l'avais toujours su. Pourtant, elle s'approcha de moi, et posa sa main de fantôme sur ma joue. Je ne sentis qu'un très léger souffle d'air froid sur ma joue, mais j'avais l'impression de sentir sa main comme si elle était vivante. Ma mère me regarda et me rassura en me disant que je n'étais pas responsable de sa mort : c'était son propre pouvoir de protection qui l'avait tuer. Elle avait crée Arty, dans le but que je contrôle mon pouvoir, et la revers de cette création à été sa mort. Je n'en revenais pas. Elle était morte pour que je puisses maitriser mon pouvoir...pour que je ne puisse jamais détruire qui que ce soit avec ce pouvoir parce que je ne le contrôlais pas. Oh maman...Elle me sourit une dernière fois et disparu. Je compris alors que pendant des années, elle n'avait pas pu rejoindre l'au-delà parce que je culpabilisais de sa mort, mais maintenant qu'elle m'avait rassurer, elle pouvait partir tranquille. Je regardai le ciel tristement, mais avec un léger sourire sur les lèvres. Je compris qu'elle m'avait toujours protéger, et que maintenant, elle laissait le travail à Miyoko. Je me tournais vers celle ci, et je la pris dans mes bras. *
Merci Miyoko...merci d'avoir toujours veiller sur moi...merci de m'avoir sauvé la vie. |
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