Avventura
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Message par Invité Sam 22 Juin - 13:29

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La journée avait plutôt bien commencé ! Entraînement physique dans la cave: tapis de jogging, pompes, sac de boxe, entre autres, puis armurerie toujours dans la cave ( oui, cette cave sert vraiment à tout, et c'est vraiment le bordel !), puis remonte au premier étage pour jouer du piano. Une fois que tout ça était passé, une douche n'était plus de top, croyez-moi ! J'étais donc partie prendre un peu soin de moi, mais ça ne m'a pas pris des heures, et l'ennui m'a vite rattrapée. Je savais que je ne pourrais pas y remédier avant que la Lune soit tombée et que l nuit règne en maître, et je voulais faire un break dans la traque aux lycans que je menais depuis des années. Pas que je n'avais plus la haine contre ces animaux, ni perdu ma soif de vengeance, mais j'allais devenir dingue si je ne changeais pas vite de programme ! Bref... Pour faire passer le temps, je décidais d'aller jouer un peu sur la PS3 pleine de poussière, qui dormait depuis des plombes dans mon salon. Je m'affalais donc avec classe dans le canapé, tirait une manette, bin sûr déchargée, de mon tiroir, et allumais l'engin à distance. Je choppais la télécommande de l'écran plat, et l'allumait aussi.
 
Une musique métal m'assaillit les oreilles quand une chaîne dont je ne me souvenais même plus de l'existence se mit automatiquement en route. Je changeais de canal pour me brancher sur la console, et je me rendis compte que c'était Call of Duty qui était resté dedans. Faut croire que ça faisait pas si longtemps que ça que j'y avais joué ! Je lançais le jeu et me connectais pour pouvoir jouer en ligne. Mais quand la partie commença, je trouvais ça trop facile.. Forcément, avec des réflexes de vampire, et des sens de vampire, tuer les joueurs humains n'étai qu'une banalité ! Je pensais un instant à quitter, mais je me rappelais que j'avais que ça à faire, donc j'attendais que la nuit arrive ( on était en milieu d'après-midi, je m'étais entraîne toute la matinée). Je remportais haut la main tout un tas de trophées virtuels, et je m'imaginais ces crétins d'humains penser que pour jouer comme ça, je devais être une vraie geek ( alors que je ne jouais presque jamais) et ça me tira un rictus méprisant.
 
Quand je me rendis compte que la lumière ne passait presque plus par les grosses tentures devant les fenêtres, je coupais console et télé, et me précipitais à l'étage pour me changer. J'enfilais une tenue entièrement noire, une paire de rangers, et une veste en cuir, et je sortais dans un temps record. Je sautais sur la moto, et je me rendis compte que : un, j'avais une faim de loup, deux, je savais pas où aller. J'aurais bien aimé aller chasser en ville, histoire de redorer mon blason de tueuse ( j'avais compris que chercher à arrêter de massacrer des humains ne servaient à rien), mais je m'étais promis de ne pas me faire remarquer pour l'instant et de cesser de tuer des enfants. Donc j'évitais le centre, avec ses rues commerçantes et tout le tralala. Je me dirigeais vers la périphérie de la ville, dans les endroits naturels, ou semis-naturels, en l'occurrence, vu que je me rendais aux sources chaudes. Bien que je n'y aille pas pour prendre un bain, j'espérais que même en étant la nuit, il y aurait au moins un garde, ou un flic, à croquer. Parce que ces lieux étaient normalement surveillés, la question était de savoir si j'avais de la chance, et si ma sortie coïnciderait avec les horaires de garde.
 
Je laissais donc ma bécane sur le parking bétonné devant l'entrée, forçais la serrure ( la port était fermée, mais pas pour moi !) et je m'aventurais à l'intérieur. Je filtrais l'air, pour voir s je pouvais renifler quelque chose de prometteur. Je marchais le long des bassins, jusqu'à ce qu'un délicieux et léger fumet d'humain me parvienne. Mon instinct de chasseuse c'était violemment mis en route, et il fallut que je retienne mes crocs. Je remontais la trace, pour me retrouver près d'un bassin secondaire à la taille modeste. Un jeune homme au chapeau marchait, et je crus le voir tenir une lampe torche, mais je n'en étais pas certaine. Cela dit, ça restait probable, car la nuit n'était pas claire, la Lune et les étoiles étaient voilés par d'épais nuages noirs et la luminosité en était par conséquent plus faible. Ca pouvait être gênant, pour un humain. Je me masquais dans un des nombreux massifs qui bordaient les piscines, et l'observait tel le prédateur guettant sa proie, attendant le moment propice pour passer à l'attaque.

Message par Invité Dim 23 Juin - 15:56

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Je m'étais réveillé vers les 7 heures, aujourd'hui était mon premier jour à Avventura. Je me réveilla, but un café et alla voir mon portable voir si quelqu'un avait répondu aux affiches que j'avaient mit un peu partout en ville. Bref, j'écoutais le message, il était de je ne sais plus  qui, mais il me demandait de venir m'occuper des sources chaudes toute la journée contre un salaire acceptable, je dis oui.Je m'habilla vite fait d'une chemise noire simple, un jean foncé et une paire de bottes noires avec bien sure mon chapeau et mon manteau style Cow boy.  
Je n'était pas trop en pleine forme, je but quelques gorgées d'un bon whisky et j'étais désormais en pleine forme et prêt à travailler. Je m'étira quelques secondes puis  je me demanda ce que je devrais prendre. Je me dit que je prendrais ce que je veux, puis j'actionna le mécanisme pour entrer dans ma pièce secrète. Il y avait là une multitude d'armes et autres équipements  militaires. La pièce mesurait dans les vingt mètres carrés, je regardais et pensait à ce que j'allais prendre. Je réfléchit pendant quelques secondes et choisit de prendre une lame courte en argent, un pieu, un fusil de chasse, un colt " Pynthon", des cartouches, un sandwich, un paquet de clopes, quelques bouteilles et une lampe torche ainsi qu'un livre.

J'alla à mon garage chercher ma moto, puis je  partit en direction des Sources Chaudes. Je pris les clefs qui était caché à l'endroit ou le gérant m' avait dit , et je me  mit au travail. La journée passa assez vite, seulement une dizaines de personnes étaient venues, et aucune ne m'avait demandé de l'aide. Le dernier client partit vers les neuf heures, cependant le gérant m'avait demandé de rester la nuit et faire le vigile . Je prit mon livre et le lut. Je commençais à m'ennuyer quand j'eut l'idée de prendre un bain, j'alluma ma lampe torche, et partit en direction d'un bassin. Je marchait tranquillement alla me déshabillez et me relaxer dans le bassin quand soudain je sentit une présence non loin de moi, une soif de sang, je savais pourquoi cette personne était là mais je ne paniqua pas et je me mit à rire et je  dis d'une voix assuré :
"  Désolé c'est fermé" et puis je dit en souriant " C'est mal élevé de regarder un homme se déshabiller, surtout si c'est à son insu, mademoiselle " mon instinct me disait que la personne me regardant était une femme.

Message par Invité Lun 24 Juin - 14:00

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Je marchais en silence, accroupie comme une tigresse en chasse entre les buissons. Le vent était léger et muet, soulevant avec douceur mes cheveux blonds. Le type à la lampe faisait sa petite virée, mais ce qui me surprit me plus, c'est qu'il se déshabille. Ca ne me fit ni chaud ni froid, mais je ne pensais pas que les vigiles étaient payés pour se baigner dans les sources qu'ils devaient surveiller. Testait-il la température de l'eau ? La bonne blague... ll ne s'emmerdait pas, quand même ! Et il ne semblait pas non plus se soucier d'être vu à moitié à poil. C'est à ce moment précis que je me suis dit que j'aurais préféré, amplement même, que ce soit une femme. De ce genre d'endroit, une rencontre pouvait être très, très sexy... Mais ce type tuait le charme du lieu à lui tout seul.

Ce n'est pas mon cœur qui me ramena à la raison, mais l'horrible douleur qui me tira les mâchoires et m'enflamma les veines. Ma nature de vampire me murmurait qu'il n'était pas l'heure de draguer ou de mater, mais de faire couler le sang. Un sang rouge et chaud, revigorant, qui me redonnerait toutes mes forces, mais qui me rapprocherait aussi de la sauvagerie. Je savais comment toutes les chasses se finissaient : par la mort des proies. C'était la loin qi rythmait la vie des êtres comme moi. Dormir, chasser, tuer. Et ainsi, ad vitam aeternam. Et s'en était jamais lassant. Parce que c'était notre vie, et ce depuis des millénaires. Bien que, pour moi, ça ne se résume qu'à cent ans. Je sortais de mon buisson avec la souplesse d'une panthère, et comme j'étais entièrement vêtue de noir, c'était encore plus réaliste. Un rire froid s'échappa de ma gorge:
 
-Ca ne l'est pas pour moi, de tout évidence. Et je ne savais pas les vigiles payés à se baigner, alors qu'ils doivent assurer la surveillance. De plus, je préfère largement les courbes souples et la peau douce des femmes.
 
Un sourire carnassier s'étira sur mes lèvres, quand je commençais à marcher en cercles concentriques autour de lui. Il était presque nu, ne portait plus que son sous vêtement. Il était plutôt bien fait, pour un homme humain. L'entraînement avait forgé ses muscles et il n'était ni trop gras, ni trop squelettique. Mais à cette heure, ce qui me plaisait le plus, c'était la douce, et en même temps puissante, odeur qu'il dégageait. Du sang frais, vif et jeune. Un sang qui avait du caractère, et la fougue d'un homme dans la fleur de l'âge. Un sang.. Comme je l'aimais. Sous ma peau diaphane, je faisais souplement jouer mes muscles. Mes enjambées étaient gracieuses, longues et leur rythme toujours parfaitement égal. Taillée pour la traque et la vitesse, à l'image de jaguar, j'étais une prédatrice dans la moindre parcelle de mon être. E ce type, que je ne connaissais pas, allait être l'antilope que j'allais dévorer. Malgré son air fragile et son physique plutôt cassable et maigrelet, je sentais qu'il savait se défendre. Pourtant, je doutais qu'il aie les capacités de se débarrasser de moi. Je présumais peut-être de ses forces mais après tout... Il n'était qu'humain. Une créature faible et fragile, faite dans le gré le plus cassable et friable, face au marbre et  la résistance des vampires. Un être, fait loin de la démesure  et de l'immortalité de mes semblables :
 
-Savez vous pourquoi je suis là ? Car c'est la question primordiale que vous devez vous poser. En tout cas, je ne suis pas ici pour un strip-tease... Je pourrais trouver bien mieux ailleurs..
 
L'excitation de la chasse me gagnait, et plus le temps passait, plus es secondes s'égrenaient et s'étiraient, plus j'avais envie de jouer avec ce mec. J'avais envie de le faire mourir littéralement de peur devant moi. De le terrasser, comme j'étais la seule à en avoir le secret. Parce que j'avais derrière moi des décennies de massacres, de meurtres sanglants, qui avaient fait fermer les yeux à tant de gens. J'avais ait frémir d'horreur tant de personnes dans ma vie... Et aujourd'hui, je voulais en ajouter une de plus à mon tableau de chasse. J'avais envie de le faire mourir lentement..  De le faire horriblement souffrir... Et de me délecter de la moindre parcelle de terrer qui se dégagera de lui...

Message par Invité Mar 25 Juin - 16:51

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J'étais désormais en sous vêtements, quand la jeune femme me répondit,  elle était devant moi tout habillé de noir, les cheveux blonds et les yeux bleus . Cependant, je n'avait pas peur j'étais surtout embarrassé, surtout que la jeune femme était très belle, même si elle n'avait pas l'air d'une sainte, ce qui ne déplaisait pas après tout qui étais je pour critiquer sur le physique des autres. J'écoutais attentivement ce que la jeune femme me disait et je me mit à rire :

" Je prends ma pause " puis marque une courte pause " Je m'excuse d’être un homme "

Puis la voyant me tourner autour, je me mit à réfléchir  pour savoir ce que je devrais dire  car elle était la première personne que je  rencontre dans cette ville et elle voulait me tuer, je ne pus m’empêcher de sourire quelle ville intéressante, j'avais hâte de faire de nouvelles rencontres aussi intéressantes. Enfin si je survivais à cette nuit, bien sur, cette nuit qui me paraissait tout à l'heure ennuyeuse allait devenir de plus en plus intéressante. Je vis la jolie jeune femme me tournait autour, je savait ce qu'elle voulait ça se voyait dans ses yeux, mais je n'avait pas trop envie de mourir. Puis ayant froid et même si je me sentait menacé, je choisit de me mettre à l'eau. L'eau était bien chaude et me permit de me relaxer quelques secondes puis je mit à sourire et je dis d'un ton assuré :

" Je pense savoir . J'imagine en vous voyant que vous êtes une vampire qui cherche à me tuer non ?" puis s'allume une clope  et demande d'un ton taquin " Suis je donc si laid ?"

Puis, je me mit à rire : 

" Par contre je veux bien offrir mon sang à une si charmante demoiselle mais j'aimerais vivre quelques années encore." puis crache un nuage de fumée et s'excuse : 

" Ah quel impoli je suis, vous voulez une clope ?" 

Je me mit à regarder le ciel pendant quelques secondes, puis je fixa la jolie jeune femme avec qui je discutait se demandant quelle réaction elle aurait. Par précaution, je prit mon revolver dans ma main droite et je lui sourit. . Étrangement, je n'avais pas peur mon entrainement m'avait rendu fort sur le plan psychologique et sur le plan physique, je devait à mes parents des remerciements pour ça. Bien sur, je n'avais aucune intention d’être insolent, je savais même si j'étais il faut le dire fort, mais combattre un vampire ou un lycan serait plus dur que de combattre un humain, je le savais j'en avait fait l'expérience. Mais bon, je serais déçu de faire du mal à une femme si belle, je soupira mon coté dragueur voulait refaire surface même maintenant.Cependant, je ne voulais pas la draguer, car déjà elle voulait le tuer et elle lui avait dit explicitement qu'elle aimait les femmes. Je réfléchit quelques secondes puis murmure d'un ton : 
 
" Quelle belle nuit, n'est ce pas ?
 
Je tenais mon revolver fermement, j'avais l'intime conviction que cette jeune femme allait me bondir dessus tel un jaguar ou une panthère.

Message par Invité Mar 25 Juin - 17:47

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La scène était plutôt comique, dans son ensemble. J'étais en train de chasser, ne pensais qu'à me repaître de son sang, et lui état là, en sous vêtement, et tout  fait à l'aise, presque comme s'il ne faisait pas cas de ma présence. Je pouvais le tuer, ici, tout de suite et ça ne semblait pas l'inquiéter le moins du monde ! La tête haute, je l'observais, tranquille. Il était plutôt courageux, pour un humain... Enfin. Courageux ou complètement débile, au choix. Pour moi, c'était plus de l'intrépidité, mêlée d'un grain de folie. Ce flic semblait sûr de lui, pour quelqu'un pris pour cible par un vampire affamé. Il se prélassait là, comme si tout était normal. Par ailleurs, il semblait garder la tête froide, et ses pensées étaient plus dragueuses qu'effrayées. Un spécimen rare, dans cette espèce de froussards et de lâches. Je faisais souplement jouer les muscles de mes épaules, et j'eus soudain une irrépressible envie de jouer avec ce type. On m'a souvent dit que ce n'était pas bien, de jouer avec la nourriture. Mais il se trouve que l'imprudence et la confiance en lui de ce gars révélaient mes instincts. J'avais, même quand j'étais humaine, des tendances taquines. Ma nature de vampire ayant exacerbé ces traits de ma personnalité, j'en devenais une vraie princesse de casinos, ou au lit, un vrai caméléon. Je pouvais changer de rôle à volonté, et passer de l'amante délicate et douce, à la femme torride menottant son partenaire. Je trouvais ça vraiment très drôle, et ça effaçait la banalité de l'acte, rendant chaque fois différente de la précédente.

-Ce n'est pas grave. Je suis bisexuelle. Et je crois que je vais prendre ma pause avec vous, ce soir. Cela dit, je vais sûrement renoncer à vous tuer. J'ai envie de m'amuser un peu...

Je m'approchais un peu de lui, continuant de tracer des cercles . Je me débarrassais de ma veste, la laissant glisser de mes épaules, tomber sur le sol, après avoir parcouru mes avants bras. Cet homme commençait à bien me plaire, finalement.. Et j'avais lu dans ses yeux et ses pensées que je lui plaisais déjà, moi aussi. J'effleurais ses épaules nues sans vraiment le toucher, du bout des doigts. Il était dans l'eau, mais cette partie de son corps n'était pas immergée.Je pensais, amusée par le tour que prenait la soirée  " Si tu t'offres, ce n'est pas drôle, mon bouchon.. Le sang, je vais le chercher..." Quand il me proposa une cigarette, je me dis que j'accepterais bien. De toute faon, nicotine ou pas, goudron ou pas, ça ne me ferait rien, puisque mon corps était techniquement mort.

_Volontiers...

Je profitais alors qu'il soit dos à moi pour ôter mon t-shirt, qui s'échoua par terre, sur la veste. Mes gestes étaient souples et rapides, et il était doc prompt pour moi de me déshabiller. Pourtant, je voulais pendre mon temps. Cette lenteur calculée faisait partie intégrante du jeu. Je voulais le faire languir, me faire désirer aussi. J'étais comme ça. C'était dans ma nature. Je retirais mes rangers, puis mon pantalon, le tout s'entassant avec classe sur le rebord de la piscine. Je n'avais pas prévu de me baigner ce soir, mais j'adorais les bains de minuit, et celui-ci changeait des autres, vu que je n'étais pas dans le ruisseau coulant derrière chez moi. Je marchais avec souplesse et ostentation sur le bord de pierre de la vasque d'eau, et me montrais devant lui, alors qu'il était de l'autre côté, contre la pierre. Je lui dis en minaudant:

-Posez donc cette arme... Vous risquez de vous blesser... Ce serait regrettable..

J'entrais dans l'eau, toujours avec une lenteur préparée avec soin. Elle était chaude, et se fit feu sur ma peau glaciale. Elle me réchauffait, jusqu'aux tréfonds de mon corps mais aussi de mon âme. J'approchais de lui, tout en douceur, dans mes sous-vêtements noirs et sexy :

-Très belle soirée pour s'amuser...

Message par Invité Mer 26 Juin - 18:15

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J'étais dans l'eau, la nuit était chaude et le bain aussi. Je commençait un peu à me relaxer, alors que de toute évidence je pourrais ne pas survivre à cette nuit, je pensait qu'au pire j'aurai eu une belle vie. La jeune femme accepta, je lui tendit alors une cigarette et dis d'une voix calme :

" Tenez mademoiselle " puis je la regarda en souriant " Vous voulez du feu ?"

Puis je l'observa attentivement me préparant à réagir au cas ou elle tenterait quelque chose. Je devrais le faire, meme si cette jeune femme était trés belle. Elle se mit à se déshabiller et je comprit ou elle voulait en venir cependant je devais rester sur mes gardes c'était trop suspect, mais bon il faut mordre la vie à pleine dent.  Je la regardais furtivement et vit qu'elle s'approché de moi en sous vêtements noires et sexy, je sourit :

" Je tiens à vous dire que vous etes radieuse mademoiselle, surtout dans cette tenue " puis montre son pistolet " Désolé mais je vais le garder, c'est mon assurance vie " puis j'éclate de rire " Aucun risque que je me blesse avec, et c'est vrai que ce serait regrettable "

Je voyais qu'elle me chauffait de plus en plus, mais je devais rester sur mes gardes car il m'étais déjà arrivé quelque chose de semblable. Je m'en rappelle bien, c'était il y a un peu plus d'un an, je faisait le garde du corps pour un politicien et on s'était arrêté à Monaco. La bas, mon employeur me donna ma soirée, donc j'alla à un casino. Je joua pendant quelques heures et gagna environ mille euros, je partit partit alors en direction du bar. Là une magnifique jeune femme m'approcha, je lui proposa un verre. Nous finirent vite dans une chambre  d’hôtel quand elle se transforma en lycan, je réussit à la tuer d'une balle en pleine tête et je m'en alla.

Enfin bref, peut être que cette femme était sincère mais bon, comme on dit prudence est mère de sûreté. Enfin, je me rapproche d'elle et lui demande courtoisement en montrant une bouteille de whisky et une bouteille de saké posé sur une pierre tout prés d'eux : 

" Vous voulez boire quelque chose ?" 

Puis je me mit à sourire et d'un ton taquin je dis : 

" Vous voulez vous amusez avec moi euh ... Désolé je ne me suis pas présenté Gregorius Falckenbach et vous êtes ?"

Message par Invité Mer 26 Juin - 18:53

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La douce chaleur de l'eau était un piètre écho à mon brasier intérieur. Mes pensés étaient focalisées sur le sang qui battait dans sa jugulaire, et le miens ne fit qu'un tour. Ce pistolet commençait à m'ennuyer, et il serait une gène dans mon plan. Je l'en débarrasserais bien assez vite, mais il fallait d'abord que je gagne sa confiance. Je mordrais quand il serait chaud et qu'il se penserait en sûreté. Tel était le jeu du vampire. MON jeu. Faire croire à l'autre qu'il ne risquait rien, lui faire abaisser ses barrières, et le prendre par surprise. Après, clac, on refermait le piège. Et au moment où la victime s'en rendait compte, c'était déjà trop tard. Pourtant, je lisais dans la tête de l'homme qu'il ne serait pas si facile à avoir, car il était méfiant, sur ses gardes, et avait un vécu qui lui dictaient qu'il devait faire gaffe. Surtout quand la nana est une bombe blonde aux yeux océan et aux sous-vêtements audacieux. Si je n'avais jamais fait de strip-tease car je voulais garder mon intégrité, je n'avais jamais déçu ceux ou celles qui s'étaient égarés dans mon lit lors de ma décennie "plans-culs, cocktails et décapotable".

-Merci.

Du bout des doigts, je pris la cigarette qu'il me tendit. J'avais fumé, il y avait de ça très longtemps. Je me souvenais d'une soirée pimentée à Los Angeles, à l'époque où les bimbos n'étaient pas celles qu'elles sont aujourd'hui. Elles portaient de longues robes à paillettes, de grosses lunettes noires de luxe, et des talons hauts, mais elles fumaient avec élégance, et buvaient avec classe. J'en avais piégée une, une ravissante brune aux courbes plutôt neutres mais mises en valeur avec talent, et des yeux noirs tels des vortex, à la profondeur presque absurde. Ses boucles lui tombaient avec souplesse sur les épaules, des muscles fins et gracieux. Un soir, alors que nous faisions grimper la température d'un cran, elle m'avait proposé une cigarette. J'avais accepté sans réticence, étant déjà une adepte et même une experte de la débauche et de l'interdit. Le lendemain, je fumais aussi, alors que nous ruinions le casino du coin. Souvenir souvenir...

-Hm... J'a toujours ce qu'il faut en feu... Mais c'est gentil de proposer. Votre pistolet m'ennuie, même si je le trouve élégant. J'ai moi-même abandonné mon arme, faites-en donc autant... Elle n'aura guère d'effet sur moi, vous savez...

Quand je lus sa mésaventure dans sa tête, je pestais contre cette louve. Il allait être d'autant plus distant et prudent que a lui était déjà arrivé un fois. Il allait falloir que je trouve de quoi lui faire baisser la garde. Je tirais avec élégance et charme sur ma cigarette, n'ayant de toute évidence pas perdu les bonnes vielles habitudes. Je dirais même qu'elles avaient la vie dure. Quand il s'approcha de moi, je rapprochais mes lèvres des siennes, le corps tout près du sien, comme si je voulais l'embrasser. Mais je m'arrêtais juste avant de le toucher, et soufflais avec douceur la fumée de ma clope pour qu'il la respire. Mon cœur faisait des embardées rageuses dans ma poitrine, s'affolait dans mes tempes et mon sang s'échauffait toujours plus dans mes veines, comme si un feu le rongeait. Le temps semblait s'être suspendu. Je ne m'éloignais pas de lui pour lui répondre au creux de l'oreille :

-Je ne bois que de la vodka, Greg'... Mais pou ce soir, je préfère avoir les idées claires... Sinon, on m'appelle Catherine. Mais appelez moi Cath'...

Message par Invité Ven 28 Juin - 16:58

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Je commençais à apprécié cette soirée, et à me mettre à l'aise. Cette jeune femme était trés sure d'elle, usant de ses charmes et bougeant avec grace, un vraie femme fatale en somme. Malgré ce qu'elle disait, je ne lui fit pas confiance et je dit en riant :

" Ne le prends pas mal, mais je le garde je ne te fait pas confiance" puis m'approche d'elle " pour l'instant" et je me met en face d'elle.

Puis je but quelques gorgées et sourit :

" Enchanté Catherine, et par simple curiosité pourquoi voulez vous avoir les idées claires ?"

Je lui sourit je savais ce qu'elle voulait mais je me laissait faire aprés tout, j'aurai pu etre en pire compagnie comme un homme habillé tout en noir alors que là, j'avais une femme magnifique, gracieuse et terriblement sexy mais il ne faut pas que j'oublie qu'elle est dangereuse enfin ma nature voulait que je profite de l'instant. Je lui souris :

" Je dois avouer que vous etes splendide dans cette tenue, un peu provocant mais trés joli"

Je la regardait de haut en bas et souris.  Elle était tout à fait mon genre, belle, gracieuse volupteuese avec ce petit truc qui pouvait effrayer les autres mais qui me faisait craquer, aprés tout toutes les femmes sont belles selon moi.

Je me mit à boire du saké, je profitais de plus en plus de cette soirée, une jolie femme, une belle nuit de l'alcool que demander de plus ? Je me dit que je devais parler franchement car quelques vampires avaient des capacités spéciales comme moi alors je lui dit en souriant :

" Pourqoi vous voulez plus me tuer, ma chére Catherine ? "

Je la regardais attendant son mensonge, il fallait etre con pour se dire qu'elle ne vourait plus me tuer car en plus d'aprés ce que j'avait entendu, mon sang était particuliérment délicieux.Enfin ce ce que m'avait dit un ami vampire, enfin je prférais donner mon sang à cette Catherine qu'à ce vieux Marcus. Je m'approchais d'elle et fis exprés de me couper le doigt, je lui souris :

" Oh mince comme je suis maladroit "

Puis je me mit tout prés d'elle et je mit mon dos devant sa bouche :

" Vous voulez gouter ? "

Je mit ma bouche à son oreille, et lui dit d'un ton calme et sensuel :

" Vous verrez il est délicieux "

Puis je la regarde, et lui caressa les cheveux en lui souriant

Message par Invité Dim 30 Juin - 11:42

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Cette soirée commençait à enfin devenir intéressante. Mais même si le jeune homme commençait à prendre son aise, il ne lâchait pas son arme, et la présence de cette chose en un tel moment me désenchantait. Je retrouvais mes marques. Revenais petit à petit à cette femme fatale que j'avais été pendant dix ans, et qui m'avait paru si loin, si longtemps. Mes mouvements étaient emplis de grâce, ils étaient souples et naturels, la dance m'ayant donné cette légèreté et cette aisance bien sentie. Je ne faisais plus qu'un avec mon corps, ce dernier étant redevenu cette arme de séduction absolue qu'il fut pendant un temps. Je retrouvais la joie et l'entrain apportés par la drague, cette chaleur qui faisait flamber tout on être quand j'allumais un homme, jusqu'à ce qu'il se perde lui-même dans l'envie de me dévorer, de me faire plaisir. J'aimais cet abîme profond et bien connu ans lequel je les entraînais. J'aimais les faire languir, les faire attendre, et me faire désirer, jusqu'à ce qu'ils atteignent la rupture et me supplient de les soulager. J'aimais plus que tout cette impatience, ce temps latent, comme en suspens. J'aimais toutes ces émotions qui se bousculaient dans mon être, jusqu'à me faire chavirer. Plus que ça: j'en avais BESOIN. Je retrouvais cette tigresse, cette femme avide de sexe, se baignant dans la luxure. J'avais retrouvé une part de moi, celle qui me manquait tant.
 
Je m'étais perdue totalement dans ma relation avec Néro. Ce côté sauvage et primaire avait été réprimé par la douceur et l'amour irrationnel que je lui avais porté. Je m'étais trop éloigné de cette fille qui n'aimait que les plans culs, les histoires d'un soir, pour le rendre heureux. Dans ma hâte à le satisfaire, j'avais oublié qui j'étais. Cette femme sans cœur, qui utilisait les gens pour son bon plaisir. Cette pétasse arrogante, allumeuse, loin de la charnelle fiancée vivant dans un compte de  fée. Je me sentais libre et invincible, maintenant que j'étais de nouveau MOI. Etre aux petits soins de Néro m'avait empêché de prendre soin de moi, de me faire réellement plaisir. Et ce type allait m'aider à y remédier. J'avais faim de son sang, et j'allais m'en abreuver en la prenant à la source, de la manière que j'aimais le plus. Bien que cette fois, comparée aux autres, je n'avais pas l'intention d'aller jusqu'à bout. Je le laissais s'approcher, toujours debout dans l'eau et boire ce liquide inconnu qu'il avait dans son verre, avant de répondre sur un ton charmeur :
 
Une vampire ivre part vite à la dérive, vous savez... Et ça ne serait ni dans votre intérêt, ni dans le miens... Surtout que vous tenez une arme chargée à proximité de moi...
 
Je le regardais, pensant que la présence de ce verre ( d'alcool, à l'odeur ?) gâchait le peu de romantisme de la scène. J'avais veillé à ce qu'elle soit torride, mais de tout évidence, il n'avait pas l'intention de se laisser faire... Il gardait obstinément son pistolet, et si la présence ne me dérangeait pas outre mesure étant donné mon habitude à ce genre de chose, elle flinguait mon ambiance, si soigneusement choisie... Et j'avais horreur qu'on saccage mes effets. Pourtant, je savais aussi que je ne pouvais pas tout simplement lui arracher des mains. Ca aurait réveiller sa méfiance à mon égard, et il n'était plus la peine d'espérer quoi que ce soir après ça. Pour le coup, je flinguerais moi-même le charme que je lui jetais. Du moins, que j'essayais de lui jeter. Il faut croire que mes tours de passe-passe avaient pris la poussière... Le temps ne supprimaient pas le savoir, mais il l'obscurcissait considérablement... Ce n'était pas pour me rajeunir tout ça ! Un semblant d'amertume me gagna que je repensais à toutes ces années écoulées... Déjà cent ans que j'avais perdu mon humanité. J'avais fait plein de choses depuis, seulement voilà... Je n'avais pas vraiment vécu. Et je savais qu'il en serait toujours ainsi. Parce que j'aurais du mourir il y avait de ça un siècle, dans le lit de ce traître. Parce que je n'aurais pas du survivre à cette méprise, qui m'avait été fatale. Parce que je n'aurais pas du croire que ce type avait été honnête. S'il avait payé le prix de son erreur, j'avais payé les conséquences... Des conséquences irréversibles.
 
-J'adore la provocation, mon cher Gregorius... Ma vie était une provocation envers la nature... Et j'ai changé mes plans parce que ce que j'ai prévu pour vous est bien plus excitant que de simplement vous tuer... Je préfère mettre du piment dans ma vie... Je m'ennuierais, sinon...
 
Je posais ma main droite sur son torse, le repoussant vers le bord de la piscine, pour l'y acculer. Seulement, les choses ne se passèrent pas comme je le voulais. Il avait fait en sorte que ça ne se passe pas comme ça. Il s'était volontairement ouvert le doigt, même si j'ignorais comment il avait fait, le geste m'ayant échappé. Un sang pourpre glissait le long de sa peau, et l'odeur me frappa de plein fouet. Je sentais quelque chose s'agiter au fond de moi, mes démons intérieurs se manifestaient violemment. Mes mâchoires se contractèrent, ma gorge s'obstrua, mon pouls prit de le vitesse. Mes yeux virèrent au rouge avant que j'ai le temps de les freiner, et mes canines se déployèrent contre ma volonté. Je me savais entièrement transmutée, vampire jusqu'about des crocs. Et je savais aussi que j'avais mortellement envie de ce liquide cramoisi qui dégouttait dans l'eau de la piscine. Je fixais sa plaie, comme hypnotisée. Je le poussais avec force vers les marches qui permettaient d'entrer et sortir dans le bassin, jusqu'à ce qu'il s'y retrouve assis. Il avait lâché son verre et son arme dans l'eau, sous la violence de l'impact. Je le chevauchais, les jambes de chaque côté de taille. L'action n'avait duré que quelques secondes. Mes mâchoires se refermèrent durement sur son doigt, et je pompais son sang sans ménagement. Les caresses du jeune homme dans mes cheveux ne diminuant pas ma sauvagerie. Je dus faire un effort surhumain et appeler toute ma volonté pour m'écarter de sa plaie sanguinolente, les lèvres rouges et les commissures dégoulinantes. Une seule question sortit de mes lèvres:
 
-Pourquoi ?

Message par Invité Lun 1 Juil - 16:15

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Je me prélassait dans l'eau me regardant, je comprenais ce qu'elle essayait de faire, installer cette ambiance me rendre vulnérable puis goûter à mon sang, enfin je me laissait faire et la regardait, car il faut le dire elle est agréable à regarder, et puis ma vie serait courte donc j'avais décidé d'en profiter et ne pas redevenir celui que j'étais il y a peu de temps, ce chien de garde n'hésitant pas à tout faire pour de l'argent pour le dépenser en conneries diverses. C'était ma seule façon d'exister, et de vivre, enfin à l'époque ma vie n'étais que meurtre, sexe, alcool et d'autres choses horribles que j'essayait d'oublier. Un souvenir vint me hanter furtivement, il s'agissait dans un enfant accroché à ma jambe, qui pleurait et qui tomba sur le sol, ne bougeant plus, et il avait un trou dans la tête.

Je me coupa le doigt et fit mine que je ne l'avais pas fait exprès car je voulais voir la vraie Catherine Pierce, dont j'avait entendu les actes passés, et qui à la simple évocation de son nom faisait trembler de peur les anciens de Florence, celle là qui avait meme mis mon pére en interet mais qui ne voulait pas la tuer, à cause d'une alliance entre ma famille et les ADLM . Enfin, je m'en foutais un peu, je profitais du moment et je lui réponds :

" Oui vous avez rason. Mais prenez donc un verre de vin et détendez vous, profitais donc de cette belle soirée ." dis je d'un ton assuré et un peu charmeur
Je souris quand elle me disait ça, même si je sentais de l'amertume, de la haine et peut être même du dégoût :

" Vous êtes provocante, je dois l'avouer. Et j'apprécie cela. Mais j'aimerais savoir quels sont les plans me concernant "

Je m'attendais à une certaine réaction de sa part, mais je fus surpris quand elle me renversa :

" Dites moi vous êtes assez entreprenante, et je voulais voir la vraie Catherine Pierce, et aussi arrêtez cette hypocrisie . Enfin, vous devez le savoir si vous avez lu dans mes pensées "

Je lui souris d'un sourire charmeur, et elle n'avait pas remarqué qu'elle avait un pieu sur la nuque. Je lui dit d'un ton calme et mielleux :

" Evitez de faire des gestes brusque "

Puis je me lécha le doigt et dis d'une voix enfantine :

" Puisque vous en voulez tant ..."

Je l'embrassa avec la bouche rempli de sang et dit d'un ton pas sincére :

" Veuillez m'excuser, je n'aurais pas du "

Message par Invité Mar 2 Juil - 0:59

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Je me laissais retomber dans l'eau, et je me rendis compte de ma mégarde quand je vis les plaques de métal, teintées de sang - mon sang- prendre à mon cou. Merde ! Si ce type avait eu vent de notre existence, de celle des ADLM, j'étais morte ! S'il savait quelque, je n'aurais pas d'autre choix que de le supprimer. Je ne pouvais pas laisser des infos sur le groupe circuler comme ça, et encore moins lisser ce mec les crier sur tous les toit... Merde, merde, merde ! Le reste de l'ambiance que j'vais essayé d'installer c'était évaporé. En moi, ce n'était plus le désir qui dominait, mais la panique, l'angoisse. Catherine, reprend-toi, bordel ! Ma conscience me fusillait du regard, par dessus ses stricts verres en demies-lunes. Elle portait une jupe au-dessus du genoux blanche et un chemiser blanc également à la boutonnière noire, ainsi qu'une paire d'escarpins, noirs à talons hauts.  Elle état assise dans son fauteuil en cuir, derrière un bureau en métal très moderne. Elle pinçait les lèvres en me gardant, du genre " T'es vraiment exaspérante". Cette pétasse au look de secrétaire commençait à me gaver, et je commençais à me dire qu'un de ces quatre, il faudrait que je m'en débarrasse. Le truc c'est que... Pour une fois, j'étais d'accord avec elle. Il fallait que je me ressaisisse, que je trouve une solution à ce problème épineux.
 
La situation tourna carrément au vinaigre quand je lis dans les pensées de Grégorius qu'il me connaissait. C'était étonnant, car de no jours, peux de gens connaissaient assez l'histoire pur se souvenir d'une jeune femme de dix sept ans au destin tragique. Je me sentis soudain vulnérable, face à cet homme. Je venais de lui prouver que tout ce qu'il avait lu dans les livres était vrai... "Une jeune femme au charme ravageur, vivant dans la luxure et l'alcool, tuant sans le moindre remord." De tout évidence, j'avais même fait du mal à son père, un mal qu'il aurait voulu me faire payer. Putain... Quelle tuile ! Pire, quand il se mit à parler des Agents De La Mort, je balisais carrément, bien qu'en façade, je sois d'un calme olympien. En y réfléchissant bien, son nom de famille m'évoquait vaguement quelque chose.... Bordel ! Si ce mec était bien ce qu'il disait être, j'étais vraiment dans la merde... Si ce gars était vraiment un Falckenbach, l'un de ces chasseurs alliés des Agents, j'étais dans un pétrin mémorable... Et quand je repensais à son arme, tout devint logique. Bordel de merde... Catherine, t'es vraiment la reine des connes !
 
-Mes plans viennent de nouveau de changer. Vous avez le don de pourrir l'ambiance, monsieur Falckenbach. Si tenté que vous soyez bien celui que vous dîtes... Si vous êtes réellement LE Grégorius, votre histoire est presque aussi légendaire que la mienne. Je suis vraiment surprise de vous voir dans pareille bourgade. J'apprécie quand les chasseurs préviennent leurs alliés de leur présence !
 
J'étais amère en prononçant ces derniers mots. Bordel... Pourquoi mes chefs ne m'avaient-ils pas prévenue que je risquais de rencontrer ce genre de problèmes ? Je me surpris à détester les Agents. Qu'on ne prévienne pas les membres de bas étage, encore... Mais j'étais du Conseil quand même ! J'étais complètement éberluée par la méprise de mes supérieurs. A moins qu'ils n'aient pas été mis au courant non plus ? Je commençais sérieusement à me demander qui était cet individus au juste. Il me paraissait vraiment trop sûr de lui pour être un imposteur mais en même temps il était tellement inconscient... Son comportement était vraiment louche, et je me maudis de ne pas avoir pris plus de soin à éplucher les bios de cette famille. Quand je voulu me retourner, je m'aperçus avec désappointement qu'il tenait un pieu de bois sur ma nuque. Je jurais intérieurement de m'être si bêtement éloignée de mon arme. Quand il m'embrassa, la bouche emplie de son sang, je fus soudain dégoûtée. Je voulus reculer, mais si je le faisais, je m'empalais sur le morceau de bois dans mon dos :
 
-Ok.... C'est un terrible malentendu... Si vous êtes vraiment celui que vous prétendez être, vous savez que vous ne pouvez pas me tuer. Vous seriez éliminé dans les plus brefs délais. Ce serait vraiment regrettable. Nous ne vous tolérons que parce que vous avez fait un pacte avec les miens. Sinon ou seriez déjà morts. Je suis un membre influent, vous savez... Ca ne vous rendrait pas service.

Message par Invité Jeu 4 Juil - 22:42

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Je vit son expression de dégoût, et je me sentit un peu coupable, ça ne devait pas etre agréable pour elle. Je lui souris et enleva le pieu et enleva le pieu légérement enfoncé dans sa nuque, je lui sourit et dis je d'un ton sincère :

" Veuillez m'excuser, mais ce n'était que de la légitime défense "

Puis je lui sourit :

" Désolé seul votre chef était au courant "

Puis j'alla chercher mon pantalon et mon tee shiet et les enfila, la nuit était encore sombre, éclairé par un magnifique croissant de lune, cependant il commençait à faire frais, je revintprés d'elle aprés avoir récupérer mes affaires :

" Je suis désolé d'avoir détruit votre ambiance, surtout que je trouvais ça agréable "

Puis à ses mots, je lui souris et m'alluma une clope. Je contempla furtivement le ciel et lança ses affaires à la jeune femme, puis je soupira déçu.

Je contempla la jeune femme une dernière fois, sa tenue, ses jambes, ses mains, son teint de peau, sa magnifique chevelure, et son jolie visage. Je suppose qu'elle me croirait pas alors je me remémora ma discussion avec le chef des ADLM pour lui montrer que je disait vrai. Car il m'avait parler d'elle, son tragique passé, ses pouvoirs ...  Et malgré ses actes, je ne pus ressentir que de la compassion pour elle. Je me rappela ensuite de mon passé, mon enfance, de ma famille et des coups et sévices qui m'infligeait et me disant qu'au fond nous étions pareil elle et moi. Enfin, au bout de quelques secondes je me repris et je tira sur ma clope, la fumée s'envolant dans le ciel comme l'ambiance qu'elle avait si facilement mise en place mais que j'avais détruit avec autant de facilité. Je lui sourit :

" Vous savez je ne mens pas, je suis Gregorius Falckenbach et je ne pensais pas etre aussi connu, sachez que j'en suis flatté "

Je souriait, je ne savais pas etre aussi connu, voir avoir une réputation certes, j'avais été un grand mercenaires et garde du corps mais de là à ce que Catherine Pierce me connaisse elle qui est un légende de la ville de Florence, ceci me flatta et je sentit que mon ego appréciait cela. Je vis que mes cheveux était trempé je pris alors un élastique et les coiffa en queue de cheval et mit baissa mon chapeau le laissant sur mon dos retenu par un fil sur mon cou. Heureusement cela ne m'étranglait pas et fit disparaître mon manteau car il commençait maintenant à se réchauffer, le temps est vraiment capricieux ce soir

Message par Invité Ven 5 Juil - 0:31

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Toujours dans l'eau, je ne quittais pas cette expression de dégoût, peinte sur mon visage. Même si l'air était vraisemblablement froid, j'étais morte, donc l'absence de chaleur m'importait peu. J'arrivais quand même pas à croire au tour grotesque qu'avait pris la soirée... Je me retrouvais avec un illustre chasseur ( humain, mais illustre...) dans les sources chaudes d'une bourgade française.... A croire qu'ici, même sans le savoir, légendes et réalité se mêlent constamment. J'étais totalement déstabilisée, ce qui m'arrivait très rarement. J'étais loin de mes armes, et si à priori ce type était un allié, je ne lui faisais pas confiance. Les humains étaient déjà fourbes entre eux, alors face à des êtres surnaturels... Je me sentis cependant un peu soulagée quand je sentis l'oppression du pieu dans ma nuque rendre fin. Je m'écartais prudemment de lui, sans jamais lui tourner le dos. Premier réflexe de survie. Je le fixais avec une méfiance ostensible. Vraisemblablement, on m'avait caché un truc d'une importance capitale pour beaucoup de gens, et je ne comprenais toujours pas dans quel but. Ca me faisait flipper, et me mettait dans un embarras croissant.
 
-Je ne comprends pas pourquoi il n'en a pas parlé au Conseil. J'aurais pu vous tuer, et a aurait fait du tort à pas ma de monde... Si vous êtes bien celui que vous prétendez. Si ce n'est pas le cas, vous en savez déjà trop. Donc soit vous me prouvez votre identité, soit je vous supprime.
 
Mon ton était froid, cassant, bien que je sois pour l'instant la plus désarmée des deux. La seule différence, c'est que lui était humain, et qu'avec toutes les armes du monde, il n'égalerait jamais les talents, la vitesse, la dextérité et l'entrainement d'un vampire chasseur comme moi. J'avais été préparée à faire face à toutes les situations, même les plus incongrues. Et pour le coup, celle là était vraiment tirée par les cheveux ! Bordel, mais dans quelle merde m'a foutue mon boss ? Quand le type sortit de l'eau pour aller chercher ses fringues, je me sentis encore plus démunie, car je ne savais pas quels genres de trucs il pouvait bien cacher dans sa veste ou dans ses poches.... Je suis vraiment dans un foutoir pas possible... Si je sors vivante de cette soirée, ça relèvera plus du miracle que du talent ! Je le regardais s'allumer paisiblement une clope, comme si de rien n'était. Visiblement, il ne m'était pas hostile, mais je ne savais toujours pas qui était ce grand mec qui me parlait des ADLM comme si cette info était à la portée de tous ! Pou le coup, il avait le don de me désarçonner, et ça me tapait sévèrement sur le système.
 
-Je savais que cette soirée ne se passerait pas comme je l'avais espéré. J'ai eu ma dose d'imprévus pour la fin du mois et pour le suivant ! C'est la pire partie de chasse de toute ma vie... Et Dieu sait qu'il y en a eu !
 
J'étais amère, à présent. Je sortais de l'eau, récupérant prudemment mes vêtements en faisant attention à ne pas me mettre à sa portée. Je m'habillais à une vitesse record, retrouvant le contact rassurant de mon holster. Le 1911 qui s'y trouvait me rendait confiance et protection. Surtout que ce type était humain et sans gilet pare-balle. J'étais avec un mec dont je ne connaissais pas l'identité, qui était armé, et j'avais le ventre vide, ce qui me mettait méchamment sur les dents et me rendait plus qu'irritable. Putain, y'a vraiment des soirs ou je ferais mieux de rester au manoir... Quand le souvenir d'un entretient avec le chefs des ADLM passa dans la mémoire du type, je fus abasourdie. Il disait vrai... Cet homme était bien le dernier des Falckenbach... Je ne dirais pas que j'étais honorée de le rencontrer, parce que ce type était un traqueur quand même ( comme moi, me direz-vous) et il pouvait décider du jour au lendemain de me planter un pieu dans le dos. J'avais vraiment la poisse... Et envie de me débarrasser de lui, histoire de tirer un trait sur cette histoire. Mais je savais que si je réglais cette embrouille avec lui, j'aurais mon patron et le reste du Conseil sur le dos...Fait chier...Je tirais mon pistolet chargé de son étui, le braquant d'une main sûre sur l'homme :  
 
-Ok, vous ne mentez pas sur votre identité. ais qu'est-ce qui me dit que je peux vous faire confiance ? Je ne sais rien des raisons qui vous amènent dans ce trou paumé de la France. Je ne sais pas non plus quels liens précis vous avez ma cause. J'ignore aussi pourquoi on a fait un si grand secret de votre arrivée. Vous êtes un chasseur, vous avez toutes les raisons de vous retourner contre moi. Et pire, vous êtes armé jusqu'aux dents.

De plus, la taille de son égo me donnait envie de lui mettre une bonne branlée. Il était fier que je le connaisse, mais je n'étais pas une célébrité, merde ! Oui, j'avais eu un passé tragique, oui, j'avais fait de vrais massacres, oui, j'avais du quitter mon propre pays. Mais je ne suis pas une star, alors lâche-moi la grappe ! C'était dingue comme on pouvait rencontrer des gens orgueilleux... Gardant mon arbre braquée sur lui, j'épiais ses pensées, mais je me doutais qu'i connaissait mes dons, vu qu'il m'avait délibérément envoyé le souvenir de l'entrevue. Je me sentis mise à nue, étant donné que j'avais à cœur de protéger l'existence et la nature de mes talents, pour pouvoir me protéger et avoir de mon ôté l'effet de surprise. Mais il semblerait que ce soir, la surprise ne soit pas de mon côté... Cathy Pierce, tu as la guigne...

Message par Invité Dim 7 Juil - 22:35

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Grégorius l'observa, elle avait l'air inquiète, désappointé qu'il sache tant de choses sur les ADLM, il sourit , puis entendit ses paroles et son ton froid :

" Je suis désolé, mais votre président est un vieil ami de la famille donc ne le prenez pas su mal , et ne vous inquiétez pas ma mort n'aurais pas causé tan d'ennuis"

Puis il se mit à rire.


Grégorius était toujours assis sur une pierre, sa cigarettes à la main. Il observa la jeune femme le dévisager, souriant car cela l'amusait un peu. Il regarda la jeune femme elle avait toujours ce sentiment de dégout, il se sentit dés lors un peu embarrassé.

Il écouta Catherine avec attention et soupire :

" La vie n'est elle pas faite d'imprévues  ?"

Il était souriant et partis chercher sa femme toujours en ayant Catherine en vue, il l'observait ne voulant plus etre pris de cour, et récupéra son flingue. Il le mit dans sa poche intérieure. Mais il n'eut pas le temps de le prendre qu'il vit Catherine tenant un flingue en sa direction, elle le visait.  Il restait calme, autant dedans que dehors il la fixa :

" Sincèrement, je vous mentirais si je vous disais que vous pouvez me faire confiance. Ensuite la raison est que j'ai eu de bons échos à propos de cette ville donc je me suis dit pourquoi pas.  Et je n'ai aucun lien avec votre cause pour l'instant "

Gregorius était sincère, il ne voulait pas mentir, elle l'aurait su de toute façon; mais il ne voulait pas non plus que sa franchise passe pour de l'arrogance. Cependant, il ne stressait pas et continua de fumer sa clope, toujours en fixant Catherine.Il jeta un regard à l'arme qu'elle tendait il sourit et dit :

" C'est une belle arme. Un 1911 ? J'an ai deux chez moi "

Il sourit, c'était grâce à sa famille qu'il connaissait toutes les armes, et qu'il avait appris à les respecter et ne pas etre effrayé par elles. Encore une chose pour laquelle il devait remercier ses parents qu'il détestait tant.

Il prit comme meme son pistolet, malgrés la menace et le tendit vers Catherine, il souriait comme si ça l'amusait, il repensait à ses moments passés à travailler en tant que mercenaires, gardes du corps , il avait une pleine confiance en ses capacités de tireur, on pouvait d'ailleurs le qualifier de tireur d'élite, de sniper ...
Il dit d'une voix assuré :

" Pourquoi pointez vous votre arme sur moi ? Je vous ai dit que pour le pieu c'était seulement de la légitime défense ? "

Il sourit et tenais fermement son flingue attendant la réaction de la jeune femme

Message par Invité Mar 9 Juil - 14:56

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Je tenais toujours mon pistolet braqué sur lui, le tenant d'une main ferme et sans tremblements. J'étais toujours aussi perdue, et l'assurance de cet homme m'agaçait. J'avais l'habitude de toujours avoir toutes les cartes en main, de toujours mener la danse.. Mais là, à croire qu'il en savait plus que moi ! J'étais totalement déboussolée et démunie face à ce mec. Il menait la barque, et je ne savais pas où il comptait l'emmener. J'avais soudain perdu toute clairvoyance. Passablement énervée, je le regardais des pieds à la tête. Il était détendu, alors que j'étais prête à bondir. Qu'attendait ce type pour me dire ce qu'il voulait ? Il était paisiblement assis là, sur sa pierre, à fumer sa clope, comme s'il était tout seul. Je maudis alors son sang froid à toute épreuve et son calme olympien, alors que je bouillonnais intérieurement. A tel point que j'étais proche de la rupture. Serrant les dents, je l'écoutais. Il ne semblait pas accorder beaucoup de prix à sa vie, alors ça ne dérangerait personne que je m'en débarrasse ? Ca réglerait ce problème épineux une bonne fois pour toutes !

-Vous ne semblez pas accorder beaucoup de valeur à votre existence. Alors qui cela dérangerait-il que je vous tue sur le champs ? Je commence à en avoir marre de tourner en rond et de me laisser mener dans votre petit jeu. J'appelle mon chef. S'il ne répond pas, je vous bute, et j'assumerais les conséquences de mon acte.

M'exécutant, je tirais mon téléphone portable de la poche arrière de mon jean, sans perdre des yeux le mec trop gentiment assis sur sa roche. Je composais avec habilité le numéros du président d'une main, gardant une prise ferme sur la crosse de mon 1911. Je portais l'appareil à mon oreille, le regard rivé sur le jeune homme. Ca sonna deux fois, avant que le chef ADLM ne décroche. Mon ton était froid et direct :

-Si je vous dis Gregorius Falckenbach, vous répondez quoi ?

Un silence me répondit. Un silence qui était le plus direct des aveux :

-Pourquoi ne pas nous avoir prévenu qu'un chasseur Falckenbach traînait en ville ? Il en sait beaucoup sur nous. Beaucoup trop ! Il va falloir que vous soyez convaincant pour m'empêcher de lui mettre une balle dans la tête.
Il me répondit calmement :

-Je ne pouvais pas en parler au Conseil. Des accords son en cours entre l'organisation et ce jeune homme. Seulement, il n'est pas encore à notre solde.

-Justement. C'est une excellente raison pour me débarrasser de lui illico presto.

-Vous ne pouvez pas, Catherine. Pas tant que vous ne lui avez pas proposé une collaboration en bonne et due forme.

-Et s'il refuse ?

-Tuez-le.

Je raccrochais, en partie convaincue par la discussion. Je fixais sur mes lèvres un sourire mauvais et narquois. S'il refusait cette collaboration, il mourrait sous mes balles. Un compromis qui me faisait doucement rire. Car ce mec n'avait pas l'air d'être de ceux qui s'allient à qui que ce soit, même pour sauver leur vie. Je respirais profondément, et repris d'un ton toujours aussi froid. Il avait récupéré son arme, mais s'il y touchait, je l'exécutais. Une démarche pas tout à fait dans son intérêt !

-Effectivement. Mais comme j'ai horreur de ça, je fais toujours tout pour les éviter. Seulement, mon chef est du même avis que moi. Vous êtes ici sans avoir de lien avec nous, mais vous détenez beaucoup trop d'informations pour qu'on puisse vous laisser filer comme ça. Donc voici le deal : soit vous acceptez une collaboration avec nous, en bonne et due forme, avec un contrat et des règles à respecter des deux côtés.... Soit je vous ôte de notre chemin d'une balle dans le crâne. La question est claire à présent : êtes vous avec nous, ou contre nous ?

Je pris une profonde inspiration, attendant sa réponse, pour enfin pouvoir en finir avec toute cette histoire. S'il n'acceptait pas de mettre ses talents au service de notre cause, il passerait l'arme à gauche, et le soucis serait réglé. En revanche, s'il acceptait l'alliance, il devrait être initié dans une cérémonie bien particulière, et signer un contrat avec son sang. Un pacte à vie, qui n'admettait ni traîtrise, ni retournement de veste, sous peine d’exécution immédiate. Un peu le même genre de contrat qui nous liaient tous. En entrant chez les Agents De La Mort, j'avais juré donner ma vie pour l'organisation, et prêté serment, disant que je me refusais à la rébellion ou à toute forme de manquement.

-Celui-ci est une arme unique. Elle a été fabriquée pour mon seul usage et réglée pour un unique tireur. Il est d'une précision plutôt redoutable, et si vous ne voulez pas en faire les frais, je vous conseille de vous décider au plus vite.

Armant le chien, je tirais une balle qui lui ouvrit un trait sanglant sur le bras. La plaie n'était pas profonde, mais suffisamment claire. La prochaine, ce ne serait pas que dissuasion. Je commençais à en avoir ma claque de cette affaire merdique. Déjà qu'il m'avait menacée d'un pieu ! Le fait qu'il essaye de détourner mon attention en me parlant d'armes me tapait sur le nerfs. Cette vielle technique marchait peut-être sur des gens peu vigilants, mais je tenais trop à ma vie pour marcher dans un piège aussi évident. C'était grotesque d'espérer piéger un Agent avec un attrape nigaud aussi peu discret.

-Je tiens cette arme sur vous car vous êtes un chasseur, qui n'est pas assermenté, et qui n'est pas encore mon allié. Mais je crois, en revanche, que vous allez vite lâcher la votre, avant que je ne m'impatiente et que je ne vous la retire. De gré, ou de force. Bien sûr. Alors, soyez gentil, et posez ce pistolet au sol. Par la même, répondez à ma question. Êtes vous des nôtres, ou pas ?

Message par Invité Mer 24 Juil - 15:25

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Gregorius resta assis et continua de l'observer  il termina sa cigarettes et l'écrasa contre la pierre a sa droite. Il gardait son calme alors que sa vie était menacée mais il resta sur ses gardes car il ne voulait pas mourir, il voulait d'abord accomplir son but. Il entendit les paroles de Cath et sourit .

Elle appela son chef, et parlait de lui, il dit q'elle pouvait le tuer si il refusait l'invitation. Elle le regarda et lui demanda si il voulait les rejoindre.

Il regarda son arme, elle devait croire qu' il essayait de détourner son attention mais il aimait beaucoup son arme.

Soudain elle lui tira dessus au niveau du bras, il n'absorba pas la balle car il voulait lui faire croire qu'il ne pouvait rien faire, et comme il savait que c'était pour juste l'effrayer il se dit qu'il serait plus prudent de la laisser faire. Elle lui reposa son ultimatum, il sourit en se grattant la tête :

" Desole mais cette arme me rassure, et je suis navré mais je dois décliner votre offre  votre offre, j'ai d'autres ambitions que de servir des vieux pour jouer au Loups Garous de Tiercelieux. "

Il rigola lui meme à sa blague, puis lui sourit :

" Et tu sure qu'ils ne te manipule pas, car il sont loin d'être con ces stupides vieillards "

Il la regarda il n'essayait pas de la manipuler mais de l'aider peut être croirait elle le contraire mais tant pis. Il soupira et tena son flingue vers elle, et lui sourit :

" Vous me detestez tant que ça, c'est malheureux "

Il tenait fermement son flingue dans sa direction et soupire :

" Vous travaillez bien avec eux car des lycans ont tué votre famille non ? "

Il se rappela de sa famille massacré par des lycans, et se leva et la regarde :

" Vous devriez briser vos chaines, ma chère Cath pour eux vous n'êtes qu'un jouet, un simple instrument. Il n'ont aucune considération pour vous "

Il voulait lui faire ouvrir les yeux, lui montrer qu'elle n'était pas un instrument, qu'elle restait une femme, elle était un être humain, oui elle avait fait de mauvaises choses, et alors il voulait l'aider lui donner une seconde chance, libre à elle de la saisir il lui sourit :

" Ne voulez vous pas vous partir de chez eux et vivre une vie sans massacre ? "

Il se doutait qu'elle refuserait mais il voulait lui donner une échappatoire, donc il lui proposait de la rejoindre et du coup en plus ils n'auraient pas à s'affronter mais il lui laissait le choix. Quel chemin choisira t elle ? Il se reconnut un peu en elle, lui aussi n'était pas un saint et il lui offrait une chance, un autre chemin. Aprés tout ils se ressemblaient, ils avaient tout les deux tués autant de gens, tout ça pour la solde de personnes aux mauvaises intentions. Gregorius avait réussi à échapper à cette vie et voulait offrir à Catherine l'aide que lui n'avait pas reçu.


Message par Invité Mer 31 Juil - 12:24

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Son calme apparent n'était rien, je le sentais à l'odeur qui émanait de lui. Il tenait à la vie, ce qui le poussait à rester vigilent. Quand il écrasa sa cigarette avec nonchalance sur la pierre qui lui servait de siège, je me sentis presque insultée par sa réaction. Généralement, je me vantais de faire paniquer mes victimes, jusqu'à ce que leur cœur s'arrête de lui même. Mais le faux self control de ce mec me semblait la plus vulgaire des injures, un blasphème à ma fierté personnelle. Tenant toujours fermement mon arme braquée sur lui, j'étais prête à faire feu. L'ultimatum était clair : nous rejoindre ou mourir. Pourtant, j'étais certaine que ça ne se passerait pas comme ça, qu'il essayerait de se défiler, d'une manière ou d'une autre. Après tout... C'était un Falckenbach. Et on ne menaçait pas impunément un tel chasseur. Je n'avais pas été de mes propres yeux témoin de ses agissement, mais les légendes sur sa famille étaient formelles. Il sont nés pour tuer... De telles personnes étaient de vrais dangers pour des êtres de mon engeance. Il était plus facile pour eux que pour n'importe qui d'éliminer un vampire sans entraînement, ou inconscient de sa force et de ses capacités. Cela dit... J'étais un Agent De La Mort, j'avais reçu le plus extrême et le plus exigeant des entraînements. J'étais aussi apte à tuer que lui. La nuance, c'est qu'il était humain. Et que les humains étaient faibles et fragiles par nature. Il ne devrait pas être difficile pour moi de conduire cet arrogant jusqu'aux portes de la mort. Certes, il avait une arme, lui aussi. Mais il n'avait ni mes réflexes, ni ma vitesse. Si j'ouvrais le feu avant lui, il avait peu de chance de s'en tirer. Cependant, je ne sous-estimais pas l'instinct de survie farouche de ces créatures inférieures. Comme des chatons effrayés, ils luttaient crocs et griffes sortis. Si j'avais un avantage certain, on m'avait appris à ne pas prendre la victoire pour acquis. Je ne comptais pas faillir à la règle.

Quand il répondit à mon deal avec une insolence débordante, par une blague que seul lui trouvait drôle, je sortis les crocs et armais mon pistolet d'un geste souple et bien rôdé par le temps. Mes yeux changèrent de couleur pour devenir d'un rouge sanguinaire et sans pitié, menaçant. Je grognais ;


-Je t'aurais prévenu...
 
Ce qui t'attend maintenant, c'est la mort. Je tirais trois coups, qui prirent le haut de son abdomen pour cible. Alors que je m'attendais à ce qu'elles le transpercent et y restent logées, elles disparurent tout bonnement. Incrédule, je regardais ébahie les lieux d'impact. Il ne restait aucune trace des projectiles. Reprenant mon calme, oubliant mon désappointement, je continuais à tirer. Mais cette fois, je visais son genoux, prenant juste le temps de le ralentir. Je courais derrière lui, l'arme à la main, et passais mon bras dans son cou, serrant assez fort pour l'immobiliser. Plaçant le pistolet sur sa tempe, je grognais de nouveau :
 
-Comment tu as fait ça. Répond. Je trouverai toujours un moyen de te tuer. Et je me fous bien qu'ils me manipulent ou pas. Tu n'es pas le seul à être né pour tuer. Ces animaux sont un fléau. On doit les exterminer, pour la sécurité des vampires.
 
D'un geste souple, je lui « brisais » le bras, pour lui faire lâcher son flingue. Il s'échoua sur le sol, le bruit de la chute étant assourdis par l'herbe et la mousse qui tapissait ce dernier. Quand il se leva, je resserrais d'avantage ma poigne sur sa gorge. Il essayait visiblement de me faire sortir de mes gongs et il était en passe de réussir :
 
-Dit encore un mot, et je t'égorge comme le porc que tu es. Mes raisons de buter ces fils de putes de lycans ne regardent que moi. Je vais t'apprendre à te mêler de la vie des autres, sale fouine.
 
Je lui plantais les crocs dans la gorge pour le faire taire, goûtant le sang humain qui coulait dans ses veines. Ma seule erreur fut de le relâcher avant de l'avoir totalement vidé. Je m'éloignais, le pensant trop faible pour récupérer son arme. De toute évidence, je m'étais lourdement trompée...
 
-Je m'en balance complètement de ce qu'ils pensent. Il est hors de question que je devienne un parias, un parasite, comme vous l'êtes, toi et toute ta famille ! Je ne veux pas de ta prétendue vie de saint. Je ne cherche pas le repentir, j'assume pleinement ma nature. Tu as choisis de devenir un chasseur. Moi j'en étais un à ma naissance. Telle est la nature. Une nature qui a voulu que les tiens soient mon repas, et que les lycanthropes soient mes victimes. C'est aussi simple que ça. Les ADLM m'ont juste ouvert les yeux sur ma vraie missions. Ils n'ont été que les jouets du destin, que de vulgaires instruments. Peu importe ce que je peux être pour eux.
 
Je le fixais avec un regard noir, les lèvres encore marquées par le sang que je venais de sucer à cet insecte. L'arme toujours à la main, je le regardais, la gorge ouverte, un filet rougeoyant s'échappant de son corps, entraînant sa vie avec lui. Qu'il puisse faire disparaître mes balles ne l'aura pas aidé, finalement. Mais il n'était pas encore vaincu, et j'étais curieuse de voir de quoi il serait encore capable, même dans l'état dans lequel il était. S'il était sûrement en train de passer de l'autre côté du miroir, il restait un Falckenbach...

Message par Invité Lun 5 Aoû - 13:31

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Il était là assis sans bronché je regard vers le ciel eclairé par la lune se disant que l'affrontement était inévitable et soupira , un mine déçu se marquant sur son visage et jeta un rapide coup d'oeil a la pendule posé sur le mur en face de lui , les aiguilles marquait qu'il le était 4 heures et demi du matin soit une demi heure avant le coucher du soleil car oui , Gregorius avait pris l'habitude de regarder l'heure du lever et du coucher du soleil , ne sait on jamais , mais il savait que son affrontement avec elle serait bref ...

Elle tira trois coup de feu en direction de Gregorius et les absorba sans bouger , puis elle tira de nouveau vers lui une balle dans le genou , qu'il absorba aussi elle se mit derrière lui lui faisant lâcher son flingue et lui mordit le cou ce qui le fit grimacer , et tomber le cou ensanglanté . Il regarda Catherine qui avait l'air assez satisfaite de son encas , et sourit en se disant que'il y avait du niveau dans cette ville , il tendit les deux bras , les trois balles qu'elles avaient tirés sortit de sa main gauche et un fusil de sa main droite , avec celui ci il tira trois coup de feu , avec bien évidemment des balles en bois ,  en direction de Catherine . Il cracha un peu de sang et de ce même liquide de son nez sortit , il fallait qu'il s'entraine avec son pouvoir . Il se tint la tête une migraine vint en plus , il se rappela du vieil homme qui maitrisait parfaitement son pouvoir peut être ira t il le voir ... il ria doucement en se disant intérieurement '' Quel cliché , on se croirait dans un vieux film fantastique '' ... bref il la regarda les yeux se fermant legerement , l'avait il touché qu'allait il arriver , il regarda de nouveau l'heure , quatre heures et quarante cinq minutes il était , le combat ne devrais plus durer , il le savait et elle aussi du coup avec son pouvoir télépathique ...

Message par Invité Ven 9 Aoû - 23:39

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Je n'entendis pas de coups de feu. Mais une douleur fulgurante me transperça de toutes parts. l état à terre, la gorge ouverte, abreuvant la terre qui le soutenait de son sang. Et pourtant, cette chaleur digne du neuvième cercle de l'Enfer, était bien réelle et venait de lui. De cet humain pas si faible que ça, qui semblait terrassé mais qui n'était pas vaincu. Car son terrible don venait de frapper. Il ne restait rien des balles que j'avais tirées. Les projectiles avaient disparus. Il ne restait plus au sol que les douilles, au nombre de quatre, seules preuves de la réalité des coups, restés sans impacts. J'avais rangé mon arme dans son holster, attaché à ma cuisse. Et je m'étais tout bonnement effondrée sur les genoux, au bord de la vasque d'eau thermale. Un filet de sang d'un rouge bordeaux presque noir s'échappait avec abondance de mon épaule et de ma cuisse gauche, pour ruisseler dans l'onde claire et douce en contrebas. Le filet chaud coulait à travers le trou de ma veste en cuir, le maculant dans son sillage. La douleur était sourde, me paralysait, me faisait presque hurler. Je la contenais tout juste, et une horrible grimace se dessinait sur mon visage. Passant de doigts dans la plaie de mon épaule, j'en tirais un projectile déformé fait de... Bois. Une balle enfoncée dans la chair, prise dans les tissus et colorée de pourpre, le sang ayant même été un peu absorbé par le matériau. La main couverte d'un sang opaque, poisseux, je laissais échapper le projectile, qui tomba parmi les feuille couvrant le sol. Le silence n'était brisé que par un corbeau solitaire, poussant sa bien macabre chansonnette. Gregorius s'était tu, et ma douleur était muette. Je retirais le second projectile, me retenant par une volonté toute vampirique de hurler à la mort.

Le petit cône difforme et clair rejoignit son double, quelque part entre une feuille de chêne et un feuille d'érable. Des aiguilles de pins me pénétraient les genoux, mais je m'en foutais, parce que je le sentais à peine. En revanche, les douloureuses vagues de ce poison me rongeaient les veines, y faisant courir un feu du cinq cent diable. Le sang coulait abondamment de ma peau meurtrie, déchirée. L'épiderme était méchamment touché, et j'espérais que les muscles n'étaient pas trop entamés. Ils mettraient un temps fou à cicatriser, même si je m'abreuvais au plus vite de sang humain, je le savais. J'allais dérouiller un bon moment, mais je me fis la promesse que cette enflure de Falckenbach allait le payer ! J'allais le dessouder tout bonnement, membre par membre. Me relevant difficilement, à cause de la faiblesse occasionnée par le bois, je m'approchais en boitant de lui. Ma cuisse étant touchée, ça amputait grandement ma vitesse, et je me rendis compte que la nuit avait dangereusement décliné et que le Soleil, cet astre maudit, n'allait pas tarder à régner en maître sur le vaste monde, me forçant à me retirer dans ma demeure, loin de la ville. Jetant un regard méprisant à l'humain, à présent presque inconscient, je lui envoyais un coup de botte ferrée dans les côtes, qui devrait bien lui en briser une ou deux, en juste compensation pour la douleur générée par les projectiles. L'abandonnant là à son sort ou aux carnassiers du coin, je tournais les talons en piquant une bouteille pleine de Vodka qui se trouvait là, et rentrais chez moi, considérablement ralentie. Le manoir vide m'attendait, jusqu'à la nuit prochaine, me laissant le temps de me refaire une santé.

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