Avventura
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Message par Invité Dim 19 Mai - 20:12

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Dietfried venait à peine de venir dans la ville d'Avventura et il n'avait toujours pas trouver d'endroit ou vivre. Pas qu'il n'avait pas les moyens, loin de la, mais il ne voulait pas dormir dans un hôtel miteux et pas non plus dans un appartement, il pensais souvent à se faire construire un manoir ou dans acheter un. Mais bon il n'eux pas le choix de dormir dans un hôtel... il en trouva un pas trop mal, avec une chambre qui à sa grande surprise était classe, digne d'un prince! Un lit double et une télé.

Il y resta pendant deux semaines sans rien faire et n'en sortant que très rarement et c'est sortie était pour sa recherche de la fameuse *Organisation des rebelles* car ses contacts lors de ses fameuse *chasse à l'homme* lui avait confirmer que peut-être les chefs des rebelles voudrait bien de lui dans leurs organisations.
Un jour il reçu par la réception une lettre venant d'une inconnue. Il l’ouvrit des quand il rentra dans chambre.

Il lissa la lettre : Je n'irais pas à quatre chemin... je vous offre un contrat et la prime sera votre rentré dans l'organisation... Le nom de la personne à supprimer se nomme Saphira Denver. Elle vit dans un appart pas loin du Bar *Bouken* vous ne pouvez pas le manquer. Je vous re contacterais quand vous aurez accomplie votre contrat.

l'hybride homme serpent se fit même pas priez, il sortit vite de l'hôtel et alla vers une ruelle et s'assura qu'il n'avait personne.. aux moins à cette heure de la nuit. Il se déshabilla vite fait et se mis un costume de de robe noir avec un capuchon assez sombre pour cache son visage ainsi qu'un collier électronique qui change sa voix pour qu'elle prenne un air ténébreux et effrayant *oui c'est con*  et comme arme un couteau militaire de bonne facture.

Il monta les escaliers métalliques et lorsqu'il arriva à l'étage il ouvrit la fenêtre, qui n'était pas verrouiller, il rentra doucement et et referma la fenêtre sans bruit et se dirigea tranquillement vers la chambre. Il ouvrit sans un bruit la porte.. mais il ne vit personne... il referma la porte derrière lui et se cacha sous le lit. Il allait attendre qu'elle revienne et lorsqu'elle dormira... Sa sera fini d'elle.

( Oui c'est pas un post super désoler)

Message par Invité Lun 20 Mai - 10:38

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La journée avait plutôt bien commencé, pour une fois. Je m'étais réveillée après une nuit de sommeil réparateur, bercée par de doux rêves en couleur parlant d'amour et de vie à deux. Des rêves en couleur et privés de sang, ce qui n'était pas arrivé depuis ce qui me semblait être une éternité. J'avais laissé les rideaux de la chambre de mon bel appartement fermés, pour que la lumière, qui m'affaiblissait considérablement, ne franchisse pas les fenêtres, mais même comme ça, je sentais mes pouvoirs reflue très profondément en moi, à tel point qu'au lieu de les palper dans tout mon corps, dans la moindre parcelle de mon être, qu'il en soient devenus une toute petite boule, enfermée dans ma poitrine. Le jour était encore jeune, mais je me voyais déjà diminuée de moitié. Pas évident d'être darkness en plein jour ! Et dire qu'il allait quand même falloir que je sorte, pour aller bosser au Bouken. ne des rares raisons qui pouvait me pousser à y aller, à servir les quelques personnes qui viendront pour manger un truc car elles n'avaient pas les moyens d'aller au resto du coin, c'était de voir Natsume, qui devait assurer le service avec moi. Mon cœur se gonfla à cette pensée. Le jeune homme était à présent mon employé, ce qui voulait dire qu'on allait se voir tous les jours ! J'en étais presque guillerette quand je me dirigeais vers ma commode.
J'en tirais une jean noir slim et un t-shirt gris uni au décolleté profond mais pas trop. M'habillant en vitesse, je passais le tout et me contemplais dans le miroir à pied se trouvant face au lit. Une silhouette fine aux courbes magnétiques, des yeux que j'allais finement maquiller, des cheveux en bataille donnant un air très rock, tout était parfait ! Je marchais entre les meubles modernes et métalliques de mon appartement pour pousser la porte coulissante de la salle de bain. Je me passais de l'eau froide sur le visage, avant de m'essuyer et de tirer d'un tiroir une trousse de maquillage. Je prenais du mascara et de l'eye liner, me redessinais les cils avec l'un, et les paupières avec l'autre, avant de ranger le tout. Revenant dans ma chambre, je tirer le panneau qui masquait les étagères avec mes chaussures. J'y pris une paire de Doc Martens noires, que j'enfilais machinalement avant de repousser le panneau. Sur le dossier de la chaise devant mon bureau, j'ôtais mon blouson en cuir noir, que j'enfilais avant de prendre les clefs de mon domicile dans une coupelle d'art moderne. Vérifiant que tout était rangé avant de partir et satisfaite par ma rapide inspection, je quittais ma demeure.

Habitant tout près du bar, je n'eus pas besoin de prendre la voiture pour m'y rendre. Je marchais dix grosses minutes ( je ne me pressais pas) avant d'arriver devant le grand et beau bâtiment abritant les nombreuses chaises et tables, ainsi que le bar. Tirant de ma poche un trousseau de clefs, j'ouvris la porte et la poussais pour entrer. Une bonne odeur de propre habituelle m'effleura les narines, et je me sentis encore mieux qu'avant. Entre les odeurs de produits nettoyants, je percevais encore le doux parfum de Natsume, qui était venu la veille pour m'aider à remettre la salle en état avant la réouverture. On avait fait un travail remarquable, et il n'y avait plus un grain de poussière. Les tailles brillaient, le sol était impeccable et le bar était resplendissant. Comme quoi, il n'y avait rien de plus efficace qu'un travail d'équipe ! Allant dans mon bureau, se trouvant dans un réduit derrière la grande salle, j'ouvrais là encore la porte avant de me glisser dans la petite salle. Je mettais mon blouson sur un porte manteau accroché derrière le battant et m'asseyais comme à l'accoutumée sur mon modeste fauteuil de cuir. Dans un tiroir, je prenais un tablier long et noir s'attachant derrière le dos, pourtant le nom du bar en gros devant. Prenant le temps de me mettre dans l'ambiance du travail, je fermais un instant les yeux. Cette journée allait s'annoncer moins crevante que les autres, vu qu'on allait être deux à assurer le service. Me levant, je retournais dans la salle. Il était midi et demi, et les premiers clients arrivèrent peu de temps après Natsume.

La journée passa vite, et le second service, celui du soir, fut moins pénible que ceux dont j'avais l'habitude. Les gens semblaient boire moins, ou du moins de manière plus responsable, et il n'y eu pas de bagarre. Une fois minuit passé, je fermais le bar, saluant le jeune serveur avant de m'en aller. Pourtant, sur le chemin du retour, tout se passa mal. Un groupe de quatre jeunes hommes me tombèrent dessus, et je sentis au fond de moi l'âme maléfique de Jaramiah se réveiller. Je savais que du sang allait couler, et que je ne pourrais rien y faire. Quand les premiers coups de mirent à pleuvoir sur moi, je changeais systématiquement d'apparence, ne pouvant même pas m'en empêcher. Je brisais le bras du plus jeune, un blond baraqué mais au cerveau manifestement défaillant, avant de lui faucher les jambes et de le faire écrouler au sol en gémissant. Les trois autres, visiblement décidés à attaquer en meute, je jetèrent sur moi comme des crétins, et je dus déployer mes ails pour m'envoler, ruinant ainsi un blouson valant une fortune, pour les esquiver. Achevant ma mutation, je sentis le poids familier de cette sublime épée de rubis dans le creux de ma paume droite. Plongeant dans la bataille, je décapitais le plus vieux des types, plantais ma lame dans le ventre du plus fluet et dans le genoux gauche du dernier, qui s'écroula avec son pote en hurlant. Je dus faire violence à Jaramiah pour l'empêcher d'achever ces mecs. Elle avait déjà fait un mort de trop. Mais elle ne semblait pas d'avis, donc je dus m'entailler le bras pour la forcer à reculer. Elle abandonna temporairement la partie, mais mon sang ruisselait le long de ma peau, à présent.

Essayant de me retransformer mais n'y parvenant pas, je dus rentrer chez moi comme ça, l'épée dans une main, sans pouvoir faire pression sur ma plaie. Ruisselante, je mettais du sang partout sur le sol, traçant un sillon pourpre sur le trottoir. Je rentrais dans l'appartement, lâchant la lame à l'entrée pour me ruer dans la salle de bain en essayant d'éviter de tâcher le sol. J'attrapais difficilement une boite de compresses et m'en fis un pansement de fortune, qui s'imbiba un peu trop vite à mon goût de sang. La douleur était vive, et mon esprit était embué, parasité par la présence de Jaramiah. Je sentis vaguement une présence dans la chambre, mais elle n'était qu'une aura faiblarde et noire, presque transparente... Je ne m'en méfiais pas plus que ça, mais avant d'aller m'asseoir sur le canapé devant la télé, je pris quand même soin d'aller récupérer mon épée, restant vaguement sur mes gardes. Peut-être pas assez malheureusement....

Message par Invité Sam 25 Mai - 7:12

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Être sous un lit chez une inconnue qui allait bientôt devenir sa futur victime au beau milieu de la nuit, n'était peut-être pas la meilleurs des idées qu'il à eux aux long de sa carrière de chasseur de prime. Il aurait du au moins s'informer sur cette Saphira Denver. Il savait juste qu'elle était riche et qu'elle possédait le bar ce trouvant proche de l'appartement ainsi qu'une photo. Avant de se cacher sous le lit il avait fouiller dans le panier à linge de cette jeune fille pour y respirer l'odeur pour pouvoir savoir à quoi il avait affaire. Comme tout les serpents Dietfried est capable de connaitre rien qu'avec son odorat, la race ainsi que le sexe d'une personne dont il à déjà senti l'odeur, la chaleur lui permettait de reconnaitre des personnes dont il à déjà toucher.

Dietfried avait put ainsi savoir que la personne qui lui avait écrit la lettre est une femme lycan , ceci lui donnera peut-être un avantage quand il la rencontrera en personne. Il se doutait déjà que lorsqu'il rejoindra les rebelles, il aurait surement un rôle dans l'organisation en tant que Assassin et ceci ne le dérangerait aucunement, de toute façon il ne voyait pas d'autre façon d'utiliser ses capacités comme il faut. Mais avant de pouvoir y rentrer il devait tuer Saphira... et sa n'allait surement pas être facile.

l'hybride retint son souffle lorsqu'il attendit le bruit d'une porte qui claque ainsi que celle d'un objet de métal qui tombe sur le sol. Et c'est la qu'il la vit... elle était très belle, des cheveux noir et... l'assassin avait du mal en croire ses yeux... esque c'était des bien des ailes d'oiseau noir qu'il voyait?! il commença à s'inquiéter intérieurement, qu'elle genre de créature était- elle?

Il senti l'odeur sang...elle est blesser? comment? De toute façon Dietfried sans fichait si elle est blesser ce ne sera que plus facile de la tuer.
Il sortit tranquillement de la chambre et put voir que la femme était assis dos à lui une épée de rubis à la main.

Dos à elle comme un fantôme il dit à son adresse d'une voix froide et vide d'émotion.

- Saphira Denver?

La femme se leva sur le coup renversant le fauteuil au passage mais des qu'elle se retourna il lui donna un coup de pied plein sur sa blessure au bras ce qui la fit reculer et hurler de douleur... Il tenta de lui prendre son épée de rubis.. mais des que sa main toucha la manche de l'épée.. sa main brûla immédiatement. Il recula sur le coup de la surprise et de la douleur et secoua énergiquement sa main en feu et siffla de douleur. Il réussi à l'éteindre mais, son gant en cuir noir avait fondu sur sa main faisant une douleur incroyable au point qu'il n'arrivait plus à la bouger. Il dégaina son couteau militaire de sa main valide et se mit en position défensive.

Il demanda d'une voix rouer par la douleur et l'inquiétude

- Mais quesque tu es?

Il bougea un peux fixant toujours l'étrange femme.

-Est tu un démon?

La question pouvait sembler stupide mais il voulait au moins savoir à qu'elle race appartenait cette femme.

Message par Invité Sam 25 Mai - 13:37

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L'épée toujours à la main, je saisis la télécommande et allumais la télé. Je reposais le petit boitier rectangulaire sur le canapé à côté de moi. Je retenais mon pansement improvisé sur ma plaie, qui saignait toujours... Je ne savais pas comment arrêter l'hémorragie, et j'espérais que ma nature de darkness me permettrait de cicatriser. Le bandage était devenu pourpre, et une douleur sourde me vrillait l'avant bras. Les cheveux, les yeux toujours noirs, et mes ailes restées déployées me gênaient à présent, mais je n'arrivais pas à me concentrer suffisamment pour inverser ma mutation... Tâchant de garder les yeux fixés sur les images qui défilaient derrière l'écran de la télé et sur les paroles d'un animateur de télé réalité sans le moindre intérêt, je m'évertuais à oublier cette strille brûlante comme du métal en fusion qui m'échauffait la peau du bras et m'endolorissait l'épaule. Les muscles ankylosés répondaient mal, et mes sensations étaient brouillées. Je ne sentais plus le jean sous mes doigts. C'est aussi pour cette raison que je ne réagis pas tout de suite à la soudaine présence, plus vive qu'auparavant, derrière moi. Je ne savais pas de quelle nature était cette odeur, je ne l'avais jamais perçue par le passé. En tout cas, elle me semblait malveillante, menaçante et dangereuse. Quand le mec m'adressa froidement la parole, je bondis sur mes pieds en resserrant mes doigts autour du pommeau de mon épée de rubis avant de lui faire face. J'avais renversé le canapé en passant :

-Ca dépend de ce que vous lui voulez.

Quand le gars, dont je ne pouvais pas distinguer le visage masqué par sa capuche, dégaina un couteau militaire, je commençais à me dire qu'il n'était sans doute pas entré chez moi sans autorisation avec de bonnes intentions en tête. Mon instinct de darkness était en alerte rouge, me disant de tuer ce rigolo avant qu'il ne me tue. Parce qu'il criait par tous les pores de sa peau qu'il n'avait envie que de ça. Il semblait même en mission. Son attitude hurlait le besoin de sang, de mort. D'un espèce de sacrifice, qui lui ouvrirait la porte d'une chose obscure. Je me tenais toujours derrière la barrière formée par le meuble renversé. Cela dit, il n'en fit pas façon, le contournant sans problème. Je reculais, mais mon bras blessé me ralentit, et je n'eus pas le temps d'éviter un coup visant ma plaie encore fraiche. L'éclair de douleur zébra ma vue de violet, et le tira un cri perçant. Pourtant, je ne lâchais pas mon épée, sachant que je n'avais que ça pour espérer m'en sortir face à cette chose, qui ne semblait pas humaine. En tout cas, pas entièrement.

Quand il essaya de m'ôter mon épée et que sa main prit feu, j'aurais pouffé de rire si cette douleur omniprésente ne me taraudait pas sans relâche. Son gant crama, fondant sur sa peau. Il s'évertua à l'éteindre, mais la blessure infligée me donnait un peu de répit. Je sentais, à présent, que je n'avais pas le choix: j'allais devoir renouer avec mes vieux démons. J'allais devoir me fondre une nouvelle fois avec Jaramiah. En sachant pertinemment que cette fois, je ne pourrais plus redevenir humaine. Parce que j'étais blessée, et qu'il était plus fort que moi. Parce que je devais être totalement démon pour avoir accès à mon pouvoir. Mais en soi, ça n'aurait plus d'importance, s'il m'ôtait la vie. Pourtant, le Diable sommeillant en moi me susurrait de ne pas me laisser tuer sans me battre de toutes les particules de mon corps. Alors je dus dire adieu à ma parcelle d'humanité, et redevenir le monstre que j'avais été pendant vingt cinq longues années. Maniant ma lame avec finesse et fugacité, j'ouvrais une balafre sur la joue de mon agresseur. Lors du contact de sa peau avec le rubis, j'établis un lien mental entre son esprit et le miens, et défilèrent dans ma tête, puis par écho dans la sienne, des scènes de crimes plus horribles les unes que les autres:

-Ca, tu n'auras pas la chance de le savoir !

Me servant de mon aile, faute de pouvoir utiliser mon bras libre, j'envoyais un grand coup au niveau de la poitrine de l'intrus, déstabilisé par les images que je lui imposais. Je l'envoyais voler et percuter le mur derrière lui. Pourtant, je sentais au fond de moi que le quelques flashs m'affaiblissaient déjà. A ce rythme là, je ne tiendrai pas très longtemps. J'étais physiquement blessée, et mentalement diminuée. Parce que la distance que j'avais prise ces derniers temps par rapport à ma vraie nature de démone m'avait rendue démunie. J'avais pensé me porter mieux si j'arrêtais de tuer, si je renouais avec ma part perdue d'humanité. Mais finalement, ça n'avait fait que me rendre encore plus vulnérable. Je n'avais plus conscience de mes capacités de monstre de la nuit et le manque d'entraînement me rendait plus en proie au contrecoup de l'utilisation de mes dons. Aussi brève soit-elle, aussi fugace soit l'attaque. Une fatigue pesante me tomba sur les épaules, m'empêchant de prolonger l'illusion. Je ne savais pas quels effets aurait mon action sur l'esprit de ce mec, mais il était à présent libéré. Temporairement, certes, car le retour des images, la torture mentale entraînée et l'intensité croissante du trouble le malmènerait encore après, mais je sentais bien, au fond de moi, que je ne parviendrais au bout du rituel.

Je m'effritais déjà....

Message par Invité Mer 5 Juin - 5:28

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l'Assassin rebelle n'eut pas le temps d'éviter le coup de lame de son épée faite de rubis lui faire une simple balafre sur la joue. Il essuya le sang sur ça petite blessure il allait rire sur le coup, la trouvant pathétique, jusqu'à ce qu'il voit toutes les murs de la pièce couler du sang en abondance, il attendait des cries de douleurs et des bruits de torture, lorsqu'il regarda Saphira, il ne vit que des hommes entrain de torturer, violer, et massacrer des gens. Même pour un assassin comme Dietfried, ce qu'il voyait, c'était tout simplement de la violence gratuite et immorale, l'hybride savait que c'était une illusion mais il ne pouvait s'empêcher de trembler de terreur.

Il senti l'aile de Saphira le frapper tellement fort qu'il fut éjecter sur un des murs de sang, il se força à ne pas hurler devant cette femme à t-elle point qu'il avait peur d'elle... jusqu'à ce qu'il ressenti que l'illusion commençait à disparaître. Lorsque l'illusion disparu complètement il se releva, son couteau toujours sur sa main valide, il regarda froidement de ses yeux argentés et s'approcha tranquillement vers sa cible.

Il dit d'une voix froide et d'un air peux impressionner:

- Très intéressant mademoiselle Denver, votre pouvoir d'illusion est du moins *effrayant* vous avez failli me faire une crise cardiaque.

Il continua de s'approcher vers la *démone* qui n'avait plus l'air d'être aussi sur d'elle maintenant.

-Qu'elle dommage qu'une aussi belle femme t-elle que vous doivent mourir ce soir!

Il planta rapide son couteau plein transperce la poitrine et touche son cœur, il ne la retira pas tout de suite, il prit le temps de la regarder droit dans les yeux, il y vie de la colère, de la tristesse et étrangement un peux de joie.

Il retira d'un coup rapide son couteau ce qui fit éclabousser du sang sur son visage ainsi que sur celle de la femme. Il ne la laissa pas tomber brutalement sur le sol, il la prit dans ses bras avant de la déposer délicatement sur le sol mais garda sa tête un peux lever, cette fois il ne vie que de la tristesse dans les yeux de sa victime qui étaient à moitié fermer.

Il ne ressentit aucune joie à la regarder mourir doucement, il fit même un regard compatissant à la jeune femme. Car c'est quand même grâce à elle si il allait devenir un membre officiel de l'organisation. Elle méritait de connaitre le nom de son assassin avant de rendre son dernier souffle.

Il dit d'une voix douce et respectueuse:

- Mon nom est Dietfried Sclange.

Il vit des larmes couler des joues de sa victimes, Dietfried ne put s'empêcher de ressentir, dans de rare cas, du remord.

Il essuya doucement du bout des doigts de sa main valide les larmes de la Darckness.

Il continua toujours avec une voix compatissante:

-Avez vous une faveur à me demander avant que vous partiez vers l'autre- monde?

Si elle lui répondait, il se promettait, et ceci l'étonna lui même, de tenir parole, peut importe la faveur.

Message par Invité Jeu 6 Juin - 12:45

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La vision trouble, et laissée pantelante par mon début de rituel, je tanguais sur des pieds. Ma plaie, masquée par le pensement de forture devenu pourpre, c'était rouverte, et un flot de sang encore plus imposant s'en échappait à présent. J'essayais de prendre le plus de distance possible, histoire de ne pas à être à la portée de ce monstre, mais mes muscles ne répondaient plus, je me sentais si.... Fatiguée... La lame dans ma main semblait si lourde... Mes paupières si épaisses... J'essayais de lutter pour ne pas m'endormir, et que tout ça cesse. Après tout, cette situation grotesque et mortelle n'était peut-être qu'une mauvais rêve éveillé ? Non, j'en doute. La douleur est tellement puissante, réelle, et mon impression d'avoir été trahie m'étouffait. La rage faisait briller mes prunelles sous l'épais rideau de mes paupières à moitié closes. Le type, lui, semblait bien réveillé, et plus déterminé que jamais à en finir avec moi, à m'ôter cette vie, que j'aurais du perdre depuis vingt cinq ans déjà, alors que je n'étais qu'une gamine paumée.

Le démon que j'avais laissé resurgir n'avait servi à rien, tout compte fait. Cet inconnu allait me tuer, tout simplement. Et je serais une plaie saignante de moins sur cette planète. Il allait faire un geste de salut public, exterminer le mal. Et c'était bien. Ce qu'il fallait faire. Je regrettais de ne pas avoir profité plus de la vie qui m'était offerte. mais avais-je vraiment eu le choix ? N'avais-je pas été condamnée dès le départ par le destin ? Qui avait décidé qu'il vallait mieux que je mène cette existence, misérable et corrompue ? Peut-être qu'il y avait quelqu'un, en haut ou en bas, qui avait décrété qu'il en serait ainsi ? Sûrement. Car devenir un monstre, avide de la peur des gens, ce n'était pas mon choix, pas ma volonté. Dans ce dernière élant de remord, une brûlure cuisante me fit lâcher ma lame. Les ailes, que j'avais gravées à l'avant-bras, étaient incandescentes, et brillaient d'une lueur maléfique. Menaçante.

Il se rapprochait, était froid et semblait juste insensible. Envoyé en mission et comptant bien la réussir, en venir à bout et rentrer pour fêter son succès:

-Malheureusement, je n'ai pas réussi.

Je ne pouvais plus me battre, je n'en avais plus la force. Ma vie s'échappait par la plaie béante de mon bras blessé et à présent inutile. Il ne resterait rien de ce que j'avais été. Rien qu'un corps mutilé, horrible, où ne trônerait qu'un reste de remords, de regrets d'avoir fait tant de dégâts, sans même l'avoir fait de sa propre volonté. Fait à cause de cette conscience étrangère, qui me dictait mes moindrs gestes, mes moindres pensées. Qui m'infligeait ce besoin de peur, toujours plus ardent, plus virulent. Il ne resterait rien de moi qu'une conscience vide, une absence. Une existence qui n'avait pas été celle de Saphira, mais celle de Jaramiah. Un monstre qui ne sera sans doute même pas détruit par ma mort, qui se contentera d'aller hanter quelqu'un d'autre. Et ce, éternellement.

-Si vous le pensiez, vous ne feriez pas ce que vous vous apprêtez à me faire avec ce couteau. Alors épargnez-moi le piteux spectacle de votre faux repentir.

Quand la lame se planta dans mon coeur, je restais immobile, l'esprit vide, délivré. Jaramiah s'en était allée avant que je ne meure, me laissant seule et mourrante, avec ce type sans foi ni loi. Cet assassin. Dans ce qui fut, pour très peu de temps, ma demeure. Ce qui avait rassemblé le peu de stabilité de ma vie. Je n'étais plus qu'une enveloppe, où demeurait le néant. Une chose qui ne savait pas où elle irait, puisque le ciel était pour les bons, que l'enfer était pour le mal, et que je n'étais rien. Un gouffre noir fendait mon âme, quand un gouffre pourpre m'ouvrait la poitrine, déversant mon sang sur le sol. Quand il ôta la lame, ce même liquide me couvrit une partie du visage, et je me sentis partir. La mort était paisible, tout compte fait. C'était plus dur de vivre. Je me ficahsi bien du nom de cette grangrène du monde. Je voulais passer dans un autre côté qui n'était qu'imaginaire, sans existence réelle. Ce qui n'était qu'un rêve trouble. Les larmes roulaient sur mes joues, j'avais oublié toute douleur. Je flottais entre deux sphères: celle des vivants, que je quittais, et celle des morts, qui m'accueillerait peut-être.

Ma voix était faible, mes paupières fermées. Je ne m'étais même pas rendu compte que j'étais allongée sur le sol, dans une mare nauséabonde et rouge. Je lui répondis, abandonnée par toute émotion, par toute volonté. Par la vie même. La lumière m'avait quittée, je n'étais plus qu'épaisses ténèbres:

-Va en enfers.

Puis tout devint noir.

Message par Invité Ven 14 Juin - 15:11

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l'Homme-serpent tenait toujours délicatement la tête de ça victime, même si il ne montrait habituellement aucune émotion et semblait n'avoir aucun remord... et bien ces presque vrai, mais en de rare cas il regrettait parfois d'avoir tuer certaine personne et pour une personne qui à travailler comme chasseur de prime il en fallait beaucoup pour qu'une simple femme lui fasse ressentir ce sentiment étrange qui est le regret. 

Il écouta attentivement les dernières paroles de la darkness, même si ça semblait cru, il ne put s'empêcher de sourire.

-Ne vous inquiétez pas... pour une personne comme moi, c'est exactement en cette endroit que j'irais... mais pas pour ce soir.

Il fut surprit que au moment même ou Saphira rendit l'âme son corps tomba en cendre chaud, il sentit ses cendres glisser entre ses doigts il ne put s'empêcher de fermer tristement les yeux et de murmurer un *Désoler* pour ensuite se lever et de bien vérifier dans la maison pour être sur et surtout que la police du cercle ne puisse pas retrouver sa trace.




Il ressortit par la fenêtre et la ferma derrière lui, il descendit et fut heureux de voir qui n'avait toujours personne, il se déshabilla dans ça voiture pour remettre ses vêtements habituellement mais ne mis pas son chapeau haut de forme, il retourna à sa chambre d'hôtel et personne n'avait l'air d'avoir remarquer sa main brûler, mais au moins pour une t-elle blessure pour lui, sa main allait se régénérer et que ça allait prendre toute la nuit.




Il s'écroula sur son lit face première, trop fatiguer pour continuer de réfléchir, il se permit de dormir, après une grosse soirée de boulot.

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