| par Invité Mar 17 Juil - 23:21
| N'en pouvant plus Néro poussait des cris sauvage tandis qu'il pénétrait fortement Catherine en y mettant toute ses forces, il la voulait, il la désirait plus que tout au monde, et la façon dont elle s'offrait à lui avait vraiment tout pour lui plaire, la vue du sang le rendait encore plus sauvage et ardant, il saisis sa compagne en la mettant cette fois ventre contre le lit, le superbe fessier de Catherine était alors à sa disposition et tout en l'admirant il la pénétra par derrière, cette position lui permettait également d'admirer son dos et aussi son tatouage d'aigle situé plus haut. Prenant appui sur la croupe de la jeune femme il enchaina les coups de rein qui faisaient bouger le corps de Catherine, qui semblait tout particulièrement apprécier et Néro aussi d'ailleurs, quel bonheur de partager des moments aussi forts avec elle et ceux en toute intimité sans personne pour les déranger, Néro n'aurait sans doute jamais pu espérer mieux de toute sa vie. Il ne se souciait même plus d'y aller trop fort ou non et continuait inlassablement ses manœuvres sensuelles et viriles, son expérience de 500 ans lui servait formidablement bien et Catherine n'étaient pas en reste, gardant inlassablement le même rythme il offrait à Catherine tout ce qu'il avait. La sensualité était toujours présente et surtout toujours aussi puissante, de même que la puissance de l’acte était tout simplement inhumaine. S’allongeant un peu plus sur le dos de Catherine il caressa son ventre puis le creux de ses cuisses, parfois il ralentissant la cadence de ses coups de rein mais c'était pour mieux la caresser et l'admirer. Il lui dit sensuellement en pensée.
Tu m'appartiens tout comme je t'appartiens, nous serons ensemble pour l'éternité.
Néro conclut cette pensée par un formidable coup de hanche, plus violent que les autres qui arracha un cri de plaisir à lui comme à Catherine |
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