Alors qu’elle était en train de lui raconter les premières années de sa vie, elle le senti se lever. Elle tourna légèrement la tête pour voir où il allait et ce qu’il était parti faire. Rien de très étonnant : il était parti chercher un peu plus de matériel pour poursuivre son travail. Elle le vit prendre de nouveaux pinceaux, pour sa part, ils n’étaient pas très différents des premiers, à part qu’ils n’avaient pas encore servi. Il avait également prit de la couleur. Le dessin devait être en bonne voie. Elle lui aurait bien demandé de lui apporter une glace pour voir le travail, mais comme la précédente fois, elle se retient pour patienter encore un peu. Un exploit pour elle de se faire patienter, la patience n’étant pas un trait de caractère très présent chez la louve. Mais après tout, elle avait perdu face à lui et devait donc attendre qu’il lui montre par lui-même. Elle espérait au moins qu’il ne mettrait pas cinq heures pour tout finir. Sinon le temps allait passer très lentement si elle devait rester comme ça étendu sur ce canapé. Bien que sentir l’homme sur elle ne lui déplaisait pas vraiment.
Il répondit à sa question. Mais elle remarqua que sa voix avait radicalement changée par rapport à la seconde d’avant. Ne lui faisait-il pas encore confiance pour lui dévoiler ce genre de renseignements ? Avait-elle posé une question qui ne la regardait pas ? Pourtant, il lui avait demandé si elle avait encore des questions à lui posé, s’il ne voulait pas répondre à certaines d’entre elles, pourquoi laisser le choix de l’interrogation ? De toute manière, elle ne perdait rien à demander, s’il répondait c’était parfait. Sinon, tant pis, mais ça prouverait qu’il ne lui donnait pas toute sa confiance. Ce qui ne plairait pas forcement à la louve. Mais il répondit. Très froidement, mais il répondit quand même, ce qui, au final, était le plus important.
Elle fut qu’à moitié étonner d’entendre qu’il faisait parti du Cercle. A moitié, parce que cela justifiait le fait qu’ils soient rentrés si facilement dans leur base. Qu’ils n’aient pas eu à entrer discrètement, mais qu’ils aient emprunté l’entrée principale. Cependant, si elle ne l’avait pas vu perdre le contrôle de son esprit à l’odeur du sang et surtout leur première rencontre, elle aurait pu penser qu’il faisait semblant d’être un rebelle pour mieux piéger ces derniers. Mais plus il parlait, plus ça devenait évident qu’il jouait de la sorte mais dans l’autre sens. Il se moquait du Cercle en y étant membre et en faisant parti de ceux qui veulent les voir tomber. Sans vraiment y faire attention, elle avait reprit sa position initiale : la tête posée sur ses bras pilés et les yeux fermés. Elle avait écouté l’homme parler, parler de meurtres et de manipulation, et bizarrement, cela ne l’a dérangea pas. Il aurait tout aussi bien pu parler du temps, ça avait le même effet sur elle. Comme si c’était une chose normale. Après tout, c’était plus normal que se voiler la face en refrénant ses instincts, comme beaucoup le faisait.
Elle le senti se rapprocher d’elle, passant une jambe par-dessus son corps, comme pour reprendre la place qu’il avait quittée quelques minutes auparavant. Mais, il ne la reprit pas vraiment. Au contraire, il s’était dangereusement approcher de l’intimité de la louve. Elle qui attendait qu’il poursuive son dessin, prête à de nouveau sentir les poils du pinceau glisser sur sa peau, était plutôt entrain de sentir son membre se frayer un chemin entre ses cuisses. Elle ne bougea pas, d’une part, parce qu’elle ne savait pas vraiment quoi faire. Voulait-il encore jouer avec elle en se plaçant pour la faire languir, pour qu’elle soit de nouveau impatiente qu’il finisse son dessin ? D’autre part, parce qu’elle avait comme ‘perdue’ son corps pour les cinq prochaines heures. Evidement, elle n’était pas soumise au point de se laisser faire pour tout ce qu’il pourrait entreprendre, mais pour le moment, à part lui donner envie de se retourner, il n’était pas si méchant que ça. Elle le senti se frotter à elle. il n’était à son entrée et pourtant son bas ventre était entrain de se contracter. Lui ferait-il toujours le même effet ? Cette envie qu’il ne s’arrête pas si proche et pourtant encore si loin de ce plaisir. Alors qu’elle se demandait ce qu’il avait prévu de faire, elle le senti appuyer davantage sur son intimité, et bientôt, il la pénétra. Elle n’était pas totalement préparer. Du moins, pas autant pour ce membre si imposant, surtout dans cette position. Elle senti chaque centimètre qu’il était entrain de parcourir. Cela aurait pu faire mal, mais il n’allait pas assez vite pour ça. Au contraire, avec cette lenteur, son corps réagissait rapidement à cette pénétration. De petits gémissements de douleur et de plaisir sortirent de la bouche de la louve quand il vint buter au fond d’elle. Il commença à faire de petits et lent mouvements, assez pour qu’elle le sente bouger et que son corps facilite son passage, mais pas assez pour le laisser sortir. Si bien, qu’il demeurait toujours en elle une bonne partie de son membre. Il était chaud, droit et parfaitement dur. Parfait comme les précédentes pénétrations. Elle ne se lasserait probablement jamais de sa venue. Elle senti ses mains se posé sur ses hanches. Avait-il abandonné son dessin pour des choses, plus distrayantes ? Non, il vint alors se rassoir sur les cuisses de la louve, restait cependant en elle, lâcher son corps, et surement reprendre son matériel. Quand elle comprit qu’il allait rester dans cette position si excitante pour simplement continuer son dessin, une poussa un gémissement de frustration. Comment pouvait-il retourner si facilement à son travail après l’avoir exciter de la sorte ? Pourtant, il continuait de bouger légèrement, de manière à ce qu’elle puisse toujours elle sentir mais qu’elle ne puisse rien faire d’autre. Elle était positionnée de sorte qu’elle soit obligée de rester passive à ce qu’il lui faisait, elle ne pouvait pas modifier la rapidité de son mouvement. Ce n’était pas du tout désagréable, simplement un peu frustrant de ne rien pouvoir contrôler.
Elle ne comprit pas les quelques premiers mots qu’il avait prononcé. Elle l’avait entendu reprendre la parole mais ce mouvement en elle l’avait empêché d’écouter pleinement ce qu’il était entrain de lui dire. Sa voix, plus glaciale que jamais la fit reprendre ses esprits et écouté ce qu’il disait. Si bien que toute frustration l’avait quitté et que toute son attention était rivée sur ses paroles. Se mettrait-il en colère s’il s’apercevait qu’elle n’avait pas écouté la début de sa phrase ? Après tout, c’était de sa faute s’il la déconcentrait à ce point. Comment pouvoir garder tous ses esprits dans une telle situation ? Kyarra s’obligea donc à mettre de coté ses tensions à son bas ventre pour ne pas de nouveau perdre ce qu’il était entrain de dire.
C’était donc lui le chef. Il jouait donc parfaitement sur les deux tableaux : chef de l’organisation voulant rétablir les choses comme elles devraient être et membre du groupe voulant tous les faire taire. Depuis, combien de temps jonglait-il entre ses deux positions à risque ? Si les autres membres du Cercle découvraient qui il était vraiment, il était fini. Et les Rebelles n’accepteraient peut être pas tous ce double rôle, ils pourraient penser qu’il n’était pas de taille à assumer ce double rôle. Elle n’avait pas vraiment écouté la fin de sa phrase, elle avait saisit l’essentiel de ses paroles, mais elle restait concentrer –tant bien que mal avec ce membre en elle- sur le fait qu’il jouait gros en n’ayant personne à qui reléguer quelques responsabilités. Elle resta quelques minutes à ne rien dire, en fait, ne sachant pas quoi dire. S’il lui en parlait, cela signifiait-il qu’il souhaitait qu’elle se propose ? Sachant très bien que pour le moment, elle n’était pas encore, même très loin, d’être aussi forte que lui ? Ou voulait-il simplement exposé un fait et n’attendait rien d’elle ? Elle revint à la réalité en se rendant compte qu’elle avait cessé de sentir les coups de pinceaux, ils étaient comme devenu un décor, ses sens –sauf un toujours titiller- étaient passés en mode off pendant sa réflexion. Elle prit la parole, quelque peu hésitante, ne sachant pas comment il allait prendre sa proposition d’aide.
« Je sais que je suis encore faible… Mais… Le temps que tu trouves quelqu’un –elle dit ces mots à voix légèrement plus basse- voudrais tu que je prenne les risques à ta place ? »
Elle avait gardé les yeux fermés, et n’avait pas bougé d’un centimètre quand elle parla. Allait-il accepter ou la considérait-il pas encore digne de confiance pour prendre les coups potentiels à sa place ?
Fisherandrield s'était installé en elle, se glissant lentement dans ce sexe que encore plus étroit dans la position qu'elle avait prise pour se faire peindre le dos. Mais cette sensation était que encore plus accrut part le fait qu'au début de sa pénétration elle était particulièrement sèche. Mais la lente pénétration avait permis à son intimité de s'humidifier, et en arrivant au fond d'elle, il pu pleinement apprécier la chaleur qu'elle dégagée. Elle semblait particulièrement bouillante maintenant, un peu comme si c'était après tout la seul chose qu'elle attendait de cette "punition" de cinq heures qu'elle devait soit-disant subir. Mais était-ce vraiment une punition à l'en voir mouiller aussi vite de plaisir. Il savait cependant qu'elle n'était pas du genre à rester passive, et que donc des mouvements aussi lent, sans lui laisser la possibilité de bouger, devait être pour elle, un véritable calvaire.
Comme il s'en doutait, après cette lente pénétration, elle n'avait pas complétement suivit ce qu'il était entrain de lui dire. A dire vrai ce n'était guère étonnant, toutes personnes normal n'auraient pas réussi à se concentrer dans une telle situation, il était donc tout à fait normal qu'elle n'arrive pas à suivre complétement la conversation. Appréciant certainement ces coups de reins, même si lent et peu intense, au plus profond d'elle ce qu'elle semblait attendre depuis le début. Mais elle avait quand même saisit la fin de sa phrase, et fut plus ou moins étonné qu'elle se propose. Penchant la tête sur le coté il la regarda alors en réfléchissant.
« Je sais que je suis encore faible… Mais… Le temps que tu trouves quelqu’un voudrais tu que je prenne les risques à ta place ? »
Venant regarder la femme, il vint poser ses pinceaux, ses mouvements en elle se faisant un peu plus insistant, il viendra ensuite la faire se redresser pour qu'elle se retrouver assise empaler sur ses cuisses mais lui faisant dos. Et venant doucement la faire se lever, la retirant de son membre, il vint la faire se tourner et lui monter dessus à genoux au dessus de lui. Et la laissa se rassoir en guidant le membre en elle. Prenant juste les hanches de la femme pour accompagner son mouvement de descente venant la regarder dans les yeux. Il était entrain de réfléchir à la réponse qu'il allait lui donner. Se penchant pendant qu'elle s'asseyait sur lui, il posa ses lèvres dans le cou de la louve, et vint y poser un baiser, puis un suçon, mordillant légèrement la chair, mais sans la faire saigner ou souffrir. Posant ses mains sur les hanches de la femme, il accompagna ses premiers mouvements de hanches, la faisant s'enfoncer au plus profond et se retirer pratiquement entièrement pour ne laisser que le gland en elle, et s'empaler d'un coup sec et profond dessus pour lui faire lâcher un autre gémissement de plaisir et de douleur partagé qu'il affectionné particulièrement, venant ensuite la regarder une nouvelle fois dans les yeux en lui faisant onduler du bassin en étant complétement planter sur lui. -Ça peut être une solutions oui....mais te rend tu vraiment compte de ce que cela veut dire ?- Il la regardait dans les yeux tout en tenant ses hanches et l'accompagnant dans ses mouvements. Parfois même c'était lui qui venait à la rencontre du sexe de la louve, pour une série de mouvements sec et profond à faire décocher des gémissements de plaisir chez la femme, ou encore il venait donner un grand coup de reins sec pour s'enfoncer au plus profond d'elle toujours pour se même gémissement mélangé entre plaisir de douleur, venant de temps à autre poser ses mains sur les fesses de la louve pour les griffer. Parfois même jusqu'au sang, se préparant sans doute un festin ou un dessert à cette partit de jambe en l'air qu'ils étaient entrain de s'offrir. Venant rajouter entre deux gémissement et série de coups de reins rapides.
-Cela veut dire, que si tu es prises, c'est toi qui sera responsable de tout...Et donc que tu seras exécutée dans tout les cas.-
Ce n'était pas tout, mais il avait recommencé à bouger en la louve, revenant donner des coups de reins en elle, lent et profond venant la serrer entre ses bras la faisant tenir un peu en équilibre sur ses genoux, venant écraser sa poitrine contre son torse. Venant reprendre les mouvements en elle, la laissant sentir son gland buter au fond d'elle, il vint reprendre alors en haletant un peu tout en venant lui murmurer dans le creux de l'oreille, de sa voix toujours aussi froide que d'habitude
-Hummmm, cela veut aussi que ce sera toi qui donnera les ordres aux autres rebelles....et qu'il va falloir que tu arrives à te faire respecter d'eux. Tu penses y arriver ?-
Venant la serrer entre ses bras en continuant ses mouvements de reins en elle. Il pouvait parfaitement sentir tout le sillage et le long du membre entrain d'entrer et sortir en elle. Il se retirait presque entièrement, laissant les lèvres de la louve se refermer autour de son gland, avant de la pénétrer de nouveau tantôt lentement, tantôt d'un coup sec et profond à lui arracher des cries de plaisir plus que des gémissement.
Fisher faisait toujours de petit mouvement, profond mais trop lent pour la louve. Ce n’était pas du tout désagréable, non du tout, mais un peu plus rapidité et de violence ne faisait pas de mal non plus. Elle le sentait aller et venir en elle, appréciant quand il venait buter au fond d’elle. Elle aimait cette tournure de situation, mais elle aurait pensé qu’il allait la faire languir encore un peu plus. Mais elle n’allait pas se plaindre, après tout, s’était quand même plus palpitant que de resté sur un fauteuil se faire endure de peinture. Même si la caresse des pinceaux sur son dos n’était pas désagréable non plus.
Elle l’entendit poser son matériel de dessin et senti ses mouvements devenir plus violent. Il commençait être sérieux dans son entreprise. Cependant, il ne la garda pas dans cette position bien longtemps, elle la fit se redresse doucement, pour ne pas qu’il sorte d’elle, elle se retrouva bientôt assise sur lui, dos à lui. Dans cette position, elle pouvait le sentir que plus profondément en elle. Il lui permettait ainsi de pouvoir bouger à sa guise, et elle n’attendit pas très longtemps avant de passer à l’action. Elle n’aimait pas resté passive, elle n’allait donc pas le laisser tout faire. Et puis, dans cette position, elle était plus apte à lui de faire des mouvements pour augmenter le plaisir. Elle commença donc des coups de hanche pour intensifier le plaisir et cette pénétration. Mais elle fut stoppée. Il la fit se levé avec délicatesse, la fit se retourner pour finalement aller retrouver ce membre qu’elle avait quitté quelques instants auparavant. Elle le senti bouger, se penchant sur elle, accentuant la pénétration. Elle frissonna lorsque ses lèvres touchèrent son cou pour y déposer un doux baiser. Il se mit ensuite à lui faire un suçon lui semblait-il pour ensuite commencer à mordre doucement sa peau. Ce n’était pas du tout douloureux, ça excitait davantage la louve. Il parla ensuite, cette fois, elle écouta ce qu’il disait, pas qu’elle n’était pas assez occuper pour être distraite, mais sa question avait une certaine importance et elle voulait entendre sa réponse correctement, sans être totalement perturber par ce membre en elle.
Se rendait-elle compte de ce que ça signifiait de prendre cette place ? Peut être pas, mais après tout, s’ils voulaient un jour se débarrasser de ce Cercle, ils étaient bien obligés de prendre des risques. Ce qui vaudrait pour tout les Rebelles. On ne gagne pas une guerre en espérant garder ses troupes indemnes. Il était évidement qu’il y aurait des blessés ou-et- même des tués. Mais est-ce important ? S’ils ne se battaient pas pour ne pas être transformé en chiens, vampires ou autres créatures de compagnie, pourquoi se battraient-ils ?
Ses mouvements étaient maintenant rapides et profond, la jeune femme ne pouvait ainsi retenir de gémissements de plaisir. Elle se raidit l’espace d’un instant quand elle senti la peau de ses fesses partir avec les ongles de Fisher. Il était entrain de la griffer au sang. Mais ce n’était pas aussi douloureux pour qu’elle lui demande d’arrêter. Il reprit la parole, elle l’écouta tout aussi attentivement qu’avant, sa première réponse ne l’ayant en rien satisfaite.
-Cela veut dire, que si tu es prises, c'est toi qui sera responsable de tout...Et donc que tu seras exécutée dans tout les cas.-
Elle y avait déjà pensé. Avec ce qu’on accusait les Rebelles, leur chef ne ferait certainement pas long feu s’il était prit. Il serait probablement torturé pour avoir quelques renseignements sur leur emplacements, leurs plans et membres, mais serait tout aussi mort s’il répondait. Continuant ses coups de hanches, elle le regarda dans les yeux et répondit :
« J’en suis bien consciente… Mais je savais aussi qu’en te rejoignant… Ca signifiait risquer sa vie pour toi. »
A vrai dire, si elle ne l’avait pas rejoins, elle se doutait qu’il l’aurait tué. D’une façon ou d’une autre, croiser le chemin de cet homme marquait la fin de son existence. Elle avait juste plus de sursit que ces proies. Et puis, bizarrement, elle voulait réellement protéger cet hybride part un moyen ou un autre. Et celui-ci paraissait le meilleur.
« Le tout est de savoir… Si tu me fais entièrement confiance pour croire en moi… Pour croire que je ne te trahirais pas même au prix de ma vie. »
Elle avait insisté sur le entièrement. Elle savait, du moins pensait, qu’il lui faisait confiance, mais cette confiance en elle était elle assez grande pour qu’il croit en elle ? Kyarra allait bientôt avoir sa réponse. Si quelqu’un regardait la situation de l’extérieur, il devait les trouver bizarre. Après tout, il était en train de s’envoyer en l’air tout en parlant de la mort potentielle de la louve. Des êtres normaux auraient certainement arrêté leurs mouvements, mais eux non. La mort faisait, pour l’un comme pour l’autre, partie intégrante de leur vie. C’était donc normal qu’ils en parlent si naturellement. Elle le sentait toujours aller si profondément en elle, qu’elle ne pouvait retenir des gémissements de plaisir. Il reprit la parole, la voix toujours aussi froide qu’à son habitude. Y avait-il que le souvenir du meurtre de sa mère qui parvenait à lui faire changer légèrement de timbre de voix ? Elle sourit légèrement en entendant sa question. Serait-elle capable de se faire respecter ? Bof, avec un peu de violence on arrive toujours à se faire respecter. Et elle avait déjà pu tester qu’elle possédait une force plus accrue que le reste des lycans, et probablement des vampires. S’il n’y avait pas un deuxième Oublié dans les rangs, il ne devrait pas y avoir de problème.
« Je pense… Disons avec ton aide pour me montrer… Comment dire… Plus impitoyable… Je pense y arrivé. »
Elle recommença ses coups de reins, serrer contre le torse de son partenaire, l’aidant à venir buter en elle.
La louve s'était installée sur les cuisses de l'homme et avait entrepris de s'occuper de ce membre qu'elle avait en elle. Montant et descendant dessus tout en l'aidant à aller au fond d'elle, elle restée coller tout contre son corps en bougeant du bassin pour le sentir glisser au fond d'elle et buter en profondeur comme elle semblait tellement l'apprécier. Mais néanmoins elle semblait aussi pleinement consciente de ce qu'il était entrain de lui dire, malgré l'euphorie qu'elle était entrain d'éprouver avec cet ébat qu'ils étaient entrain de faire. Elle était entrain de lui demander si il avait pleinement confiance en elle maintenant.
« Le tout est de savoir… Si tu me fais entièrement confiance pour croire en moi… Pour croire que je ne te trahirais pas même au prix de ma vie. »
Venant la regarder dans les yeux il était entrain de réfléchir, c'est vrai qu'il lui faisait confiance, qu'il pouvait lui faire confiance, mais lui faisait il assez confiance pour mettre sa vie entre ses mains. Était elle assez forte pour résister et mourir sous la torture sans dire un seul mot sur ce qu'il était. Allait elle tout simplement pas le trahir tôt ou tard ? Cela ne faisait pas assez longtemps qu'ils étaient ensemble pour qu'il lui fasse complétement confiance, extérieurement en tout cas. Après tout ils s'étaient rencontré que depuis deux jours, il avait déjà faillit la tuer à deux reprises...comment cela se faisait il qu'elle était toujours auprès de lui, complétement enfoncé sur son membre, alors qu'à tout moment il pouvait encore une fois craquer et décider de mettre fin à ses jours ?
Il ne comprenait pas comment cela faisait qu'elle était encore auprès de lui malgré ce qu'il s'était passé...mais au final, si elle était encore là malgré ce qu'il s'était passé, cela voulait aussi dire que c'était une personne à qui il pouvait faire pleinement confiance. Ses mains sur les hanches de la louve il était entrain de la faire monter et descendre sur lui. Et était entrain de suivre les mouvements de la femme pour bouger aussi au fond d'elle venant lui caresser les fesses et les reins, sentant ce sang qui était entrain de couler dessus pour son dessert, et sentant toute cette humidité couler le long de son membre et de ses bourses.
« Je pense… Disons avec ton aide pour me montrer… Comment dire… Plus impitoyable… Je pense y arrivé. »
Est-ce qu'elle avait la trempe pour être chef ? Peut être pas encore, mais ce qui était sûr c'est que si il s'occupait d'elle, il finirait bien part en faire une vrai commandante de troupe. Ca il n'en avait aucun doute, mais maintenant il était entrain de la regarder pour savoir si il voulait que ce soit vraiment elle qui soit la chef de ses troupes.
-Hummmm je ne peux pas dire que je ne te fasse pas confiance, bien au contraire, mais ça ne fais que deux jours....C'est dur de dire que je te fasse complétement confiance....enfin pour le moment c'est le cas, après je ne sais pas ce que l'avenir dira- Il s'était arrêté de la faire bouger, il était toujours au fond d'elle entrain de la regarder dans les yeux continuant de lui caresser les reins et les fesses. Il ne bougeait plus mais était entrain de la jauger du regard voir si il devait lui faire confiance ou non avant de reprendre.
-Cependant j'ai envie de te faire pleinement confiance...C'est peut être une erreur, mais si je ne peux pas te faire confiance à toi, je vois mal à qui je pourrais le faire.-
Après lui avoir répondu ce qu’elle pensait, elle n’aurait pas su li répondre s’il lui avait posé une question. A vrai dire, elle n’aurait même pas été capable de dire s’il lui avait parlé ou non. La raison ? Elle ne se concentrait plus pour l’écouter. Elle s’était à nouveau laisser bercer par ses coups de reins, par la douceur de ses mains posées sur ses hanches et ce membre qui allait et venait en elle. La louve n’avait même pas remarqué qu’il était en train de la fixer après ces paroles. Il lui fallut quelques minutes pour reprendre conscience, ou du moins sortir de ce plaisir et revenir aux choses plutôt sérieuses qui étaient en train de se dire. Elle le vit alors qu’il était en train de la fixer. Il semblait réfléchir à quelque chose, mais en même temps on voyait qu’il ne restait pas indifférent aux mouvements de la louve.
Etait-il en train de se demander s’il lui faisait réellement confiance ? Elle l’avait pourtant suivit après une belle raclée près d’un lac. Elle avait tué, même si ce n’était pas une chose très dure pour elle, en sa présence, s’était laisser presque vider de son sang et était rentrer avec lui. Elle n’était pas partie après cet épisode. Même si ça ne faisait pas longtemps qu’ils s’étaient rencontrés, après qu’il lui ai expliqué leur plan, elle n’avait guère très envie de le quitter, de quitter cet endroit. Ils avaient une chance de faire tomber le Cercle, c’était une organisation où chaque membre souhaitait la même chose, pourquoi ne serait-elle pas rester ? Et puis, il ne la laissait pas indifférente. Il avait quelque chose, bien que très dangereux, qui l’attirait. Bref, elle avait décidé de se rallier à sa cause -peut être trop rapidement au goût de l’Oublié ?- mais pour ça, elle ne pourrait le trahir. Elle l’écouta de nouveau attentivement, ayant reprit tout ses esprits. Comme elle l’avait pensé, cela ne faisait pas assez longtemps pour une confiance totale. C’était compréhensible. Rectification, pour le moment, elle avait sa confiance. A vrai dire, il n’avait pas vraiment le choix, soit il prenait le risque de lui faire confiance, soit … Autant la tuer sur le champ si ce n’était pas le cas. Elle parla avec une voix froide, qu’elle n’avait pas encore eu en sa présence :
« Tu te tapes beaucoup de femmes en qui tu n’as pas une assez bonne confiance ? Morsure mise à part ? »
Elle marqua une petite pause avant de reprendre, moins froidement :
« Je pense que l’avenir te dira la même chose qu’en ce moment. »
Elle aurait pu lui dire qu’elle n’était pas du genre à trahir pour un oui ou un non, mais il n’aurait eu aucun moyen de savoir si elle disait vrai. Il la stoppa, ce qui la chagrina un peu, mais il était toujours en elle et il avait prit un air plutôt sérieux. Même un peu trop. Il lui avait dit qu’il lui faisait confiance, mais est-ce qu’il le pensait réellement ou était-il encore en train de s’interroger ? C’est vrai qu’au vu de sa position, accorder sa confiance ne devait pas être chose aisée. Mais avait-elle agit d’une façon qui lui donne l’impression qu’elle mentait à chacune de ses paroles ? Qu’elle ne pensait pas ce qu’elle disait ?
Il avait envie de lui faire confiance ? Comment pourrait-elle lui prouver qu’il ne risquait rien avec elle ? Elle n’était peut être pas assez puissante pour combattre au même niveau que lui, mais elle était assez résistante d’esprit pour ne rien dire à des ennemis. Elle lui prit le menton du bout de ses doigts pour qu’il la regarde droit dans les yeux. Il pouvait lire dans ses yeux qu’elle ne lui mentait pas, elle prit la parole à voix basse :
« Le temps te dira que ce n’était pas une erreur. »
Elle ferma ensuite les yeux pour venir l’embrasser. Et sans lui demander son avis, elle reprit ses mouvements. S’il ne voulait pas continuer il faudrait la pousser de force, ce qui l’a vexerait très certainement. Non elle serait vexée et l’enverrait chier pour une prochaine partie de jambe en l’air. Bref, elle reprit ses mouvements de hanche, doucement et profondément , avant d’aller de plus en plus vite.
hrp/ [vraiment désolé pour l'attente j'ai eu beaucoup de boulot]
« Tu te tapes beaucoup de femmes en qui tu n’as pas une assez bonne confiance ? Morsure mise à part ? »
Il aurait pu répondre oui, mais finalement il n'en avait pas particulièrement envie, après tout cela ne lui aurait rien apporté de particulier de lui répondre, il se contenta alors simplement de la regarder dans les yeux sans un mot la laissant continuer de parler pour voir ce qu'elle avait d'autre à dire. Car au final ce n'était pas parce-qu'il se la taper qu'il devait lui faire particulièrement confiance pour mettre sa vie entre ses mains.
« Je pense que l’avenir te dira la même chose qu’en ce moment. »
Le problème c'est que en ce moment son avenir ne lui disait pas grand chose, c'était bien pour cela qu'il ne savait pas encore si il devait lui faire confiance ou non. Après tout il pouvait lui faire suffisamment confiance pour lui faire l'amour. Mais il pouvait aussi très bien ne pas faire suffisamment confiance pour laisser sa main entre les mains de la jeune femme. Il ne savait donc pas pour le moment ce qu'il devait faire, et se contenter de la regarder assise sur lui, son membre profondément enfoncé dans l’intimité de la jeune femme. Pour l'instant elle ne bougeait pas sur lui, il se demandait donc, si elle allait se retirer après sa réponse, ou si elle allait continuer à prendre son pied sur se membre tendu en elle.
« Le temps te dira que ce n’était pas une erreur. »
Il continuait de l'écouter sans un mot, il ne savait pas ce qu'il devait répondre, il savait bien, ou du moins se rendait bien compte qu'elle essayait de le soulager, de montrer qu'il pouvait lui faire confiance. Mais il ne savait pas encore, pas tout à fait si il devait vraiment lui faire confiance. Mais après tout elle était venu avec lui, ils avaient tué une femme ensemble, il lui avait déjà plusieurs fois bu le sang...Le sang, voilà la réponse, son sang ne pourrait pas lui mentir, il ressentirait directement le mensonge si il le buvait, et dans ce cas là, il pourrait très bien ne pas s'arrêter.
Continuant de la regarder dans les yeux, de l'observer, elle lui prit le menton et vint l'embrasser. Fish fut quand même surpris de sentir ces lèvres et cette langue, s'initier entre ses lèvres, puis finallement il répondit au baiser. Venant l'embrasser à son tour, il glissa une main sur les fesses de la femme, ces fesses rouges de sang après la griffure qu'il avait faite dessus, et vint accompagner les mouvements de la louve. Elle avait repris des va et vient, des mouvements profond, rapide, elle était entrain de refaire monter ce plaisir qu'elle avait perdu à lui parler en restant enfoncé sur lui.
Alors qu'elle était entrain de monter et descendre sur lui, sur ce membre tendu, il était entrain de l'observer, de la regarder prendre ce plaisir de la chair. Et finalement il vint la pousser. La poussant au sol, se retirant d'elle, il vint ensuite lui écarter les cuisses le plus largement possible et vint enfoncer sa langue en elle. Venant enfoncer sa langue dans se sexe complétement ouvert et trempée de plaisir, il vint la faire bouger, la faire tourner, il vint récupérer tout ce jus de plaisir qu'il avait fait remonter de la femme, sans lui laisser autre choix que de subir cette langue.
Lui tenant les cuisses largement écarté, ramené vers ses seins, il gardait la tête entre ses jambes pour lécher cette intimité trempé et offerte, continuant de faire bouger sa langue au plus profond d'elle. Venant lécher, titiller, taquiner, il continua de lécher longuement cette orifice qu'il avait exploré. Puis il vint la redresser venant la faire se tourner et vint la plaquer a quatre pattes la poitrine écrasé sur le glace de la table basse. Se plaçant derrière elle, il pointa son gland sur l'entré de son intimité pour revenir l'explorer. Mais l'explorer encore plus profondément, plus brutalement, que encore plus intensément.
Son bassin allant et venant, frappant dans des claquements sonore les fesses de la louve. Il continuait alors de la prendre, de la prendre fortement, presque comme les animaux qu'ils sont au fond d'eux. Une main sur les reins de la femme, l'autre sur sa hanche. Il faisait des mouvements de va et vient rapide et profond, venant faire frapper son membre au fond d'elle, mais aussi son bassin et ses cuisses contre sa chair. Il voyait aussi se sang qu'il avait fait coulé sur ses fesses, mais ça c'était son dessert pour quand ils auraient finit, et il avait aucune envie de finir maintenant.
Il la voyait gémir, crier, de douleur ? de plaisir ? il n'en savait rien, mais elle semblait ne pas se débattre, elle subissait cet pulsion bestial qu'il avait durant leur rapport. Appréciait elle ? il n'en savait rien non plus, mais il se doutait que si elle avait quelque chose à redire, elle ne s'en priverait pas.
Ce qu'il souhaitait savoir maintenant, c'est si elle allait lui proposer cette morsure. Savoir si elle allait souhaitait éprouver cette jouissance qu'il lui avait procuré a chaque fois qu'ils avaient fait l'amour, et savoir si elle allait lui donner cette possibilité de voir dans son sang si elle était entrain de lui mentir.
Elle lui avait répondit honnêtement, et lui, il ne lui avait rien dit. Pas un seul mot. Pas une seule réaction. Avait-elle parler pour rien ? il lui avait dit qu’il allait lui faire confiance, mais à le regarder en ce moment, on aurait pu croire qu’il n’allait pas tenir sa parole. Lui avait-il simplement dit ça pour la faire taire ? Pour voir comment elle allait réagir ? Jouait-il simplement avec elle ? Pour la tester encore un peu plus ? Il était vrai qu’avec leur parcours depuis leur rencontre, il pouvait se poser la question. Mais avec ce qu’ils avaient fais ensemble depuis leur rencontre, on pouvait aussi nettement voire qu’elle ne jouait pas la comédie. Mais à croire qu’il lui en fallait plus, mais que pouvait elle bien lui donner de plus pour le lui prouver ? Il faudrait qu’il lui dise lui-même.
Le bon côté dans tout ça, il lui avait rendu son baiser. Donc soit, il voulait simplement bien profiter de la louve, soit, il y avait un petit quelque chose derrière… Quand même. Mais elle ne poserait pas la question, il ne lui répondrait surement pas de toute manière. Il ne fit pas non plus objection sur le fait qu’elle ait reprit les mouvements. Après tout, pourquoi serait il le seul à prendre du bon temps ? Malheureusement, pour seulement quelques minutes, il vint alors à la pousser. Assez violement pour qu’elle se retrouve sur le sol. Qu’est-ce qu’il lui prennait ? La réponse peu de temps après, lui écartant les cuisses, il se foura entre et entreprit de la pénétrer avec sa langue. La sensation n’était pas la même qu’avec ce membre, mais ce n’était pas désagréable non plus. Elle le laissa faire, il la tennait avec force et elle n’aurait surement pas pu s’en défaire de toute manière. Mais il vint la faire changer de position, pour la mettre à quatres pattes devant lui. L’Oublié vint la pénétrer une nouvelle fois, mais dans cette postion, la pénétration était beaucoup plus profonde et intense. Il bougeait rapidement et avec violence, la touchant au plus profond de son intimité, la faisant se courber sous ses coups. C’était violent mais pas totalement désagréable. Elle n’était pas maso, mais le sexe avec un peu de violence, c’était bon à prendre. Et avec lui, elle en avait, même un peu plus que demander.
Elle le sentait grossir lentement mais surement en elle. Mais elle ne voulait pas que cela finisse, du moins, pas avant d’avoir prit son pied total. Elle se releva donc, se mettant à sa hauteur, tout en le gardant en elle. Elle pencha ensuite la tête sur le côté, mettant ses cheveux sur le côté, lui dévoilant son cou. Il devait rester quelques traces de ses anciennes morsures, mais il y avait encore largement de la place pour une nouvelle. Elle ne dit rien, attendant de voir s’il allait accepter de la mordre, lui donnant du plaisir et lui se nourrissant de ce flux précieux.
{hrp : Quand je disais que ça n'allait pas être très long^^'}
Sauvagerie dans l'amour, la louve avec qui il était entrain de faire l'amour semblait apprécier de temps en temps un peu de bestialité en même temps que ses accouplements, et l'Oublié n'était pas contre non plus. Après tout même si ils étaient des humanoïdes, ils étaient aussi des bêtes, et les bêtes ne s’accouplent pas forcément dans la joie et la bonne humeur. Ils étaient plus généralement violent, bestial, et surtout rapide. Cependant l'Oublié ne voulait pas être rapide, bien sûr le sexe violent emmené à une jouissance violente, intense, et rapide, mais il voulait encore apprécier ce moment, le plus longtemps possible.
Posant ses mains sur les hanches de Kyarra penchée en avant sur la table basse en verre de la salle de séjour, on pouvait parfaitement entendre entre les gémissements de la femme, le bassin de l'homme entrain de claquer contre ses cuisses et ses fessier. Il était entrain de la prendre avec puissance et intensité, faisant des mouvements large, profond, puissant et rapide. Son bassin venant claquer sur les cuisses de sa compagne, et son membre venant buter au fond de l'utérus de celle-ci. La louve gémissait, se courber, crier parfois, de plaisir ? De douleurs ? Il n'en savait rien ? Il devait certainement y avoir un peu des deux cumulés. N'y allant pas de main morte elle devait surement ressentir un peu de douleur, le membre de l'homme était parfaitement adapté à celui de la femme, mais cela ne laissait pas beaucoup de marge. Malgré l'humidité de celle-ci elle devait parfaitement sentir toutes les veines, les courbes, et chaque millimètre de cet verge qu'elle recevait en elle.
Fisherandriel était entrain de s'approcher de l'orgasme, mais trop vite à son goût, il en voulait encore, il en voulait plus. Il voulait faire l'amour a cette femme, et cette compagne qu'il s'était trouvé. Cela ne faisait que trois jours qu'ils se connaissaient, et pourtant, c'était la deuxième fois qu'ils étaient entrain de faire l'amour, de prendre du bon temps ensemble. Il en avait presque oublié leurs conversation, lui faisait il confiance ? Était elle entrain de lui mentir ? De se prostituer à lui pour le compte du Cercle ? De cette bande d'incapable qui croyait en une vie utopique ?
Plus il la voyait, plus il la prenait, plus elle était entrain de recevoir ses assauts et moins il croyait qu'elle serait susceptible de la trahir. Il commençait à croire qu'il pouvait lui faire confiance. Non il commençait même à en être persuadé. Comment une telle femme pouvait le trahir ? Il ne pensait pas que ce serait possible, il pouvait mettre sa vie entre ses mains, et donner la sienne pour la mettre en sécurité aussi longtemps qu'il le pourrait.
Alors qu'il était entrain de continuer à la prendre, plus rapidement, plus fortement, elle vint se redresser, se pencher en arrière vers l'Oublié. Dégageant les cheveux de son cou, elle semblait lui offrir sa gorge pour qu'il vienne encore une fois y mordre. Il savait qu'elle avait repris de l'énergie depuis la veille avec la nourriture qu'il lui avait donné. Mais avait elle repris complètement ses forces pour se permettre de risquer de lui donner de nouveau du sang ? Mais elle souhaitait sans aucun doute plus probablement gouter de nouveau à cette morsure qu'il lui avait offert dans les bains, puis atteindre un orgasme comme elle ne les avaient jamais atteints. Souriant à cette proposition, l'homme vint poser ses lèvres dans le cou de la demoiselle. Pour l'embrasser, le sucer, le mordiller. Il ne voulait pas mordre pour l'instant, il voulait faire encore patienter les choses. Il avait encore envie de sentir la chaleur envahissante de sa partenaire. Il se sentait grossir, durcir encore un peu plus. Il sentait sa jouissance proche, mais ce n'était pas ce qu'il souhaitait pour le moment.
Le sexe de la louve aller trop vite le long de son membre. Il avait du mal à tenir la pression, il devait donc la ralentir, voir peut être même complétement l'arrêter dessus. Il devait faire redescendre se plaisir qui l'envahissait pour pouvoir se permettre d'encore plus apprécier le moment.
Penchant la femme encore plus contre lui, il vint l'entrainer sur le canapé derrière eux. Venant la faire s'empaler complétement sur lui dans un gémissement surement cumulé de plaisir et de douleur. Il lui massa les seins, lui pinça les deux petits morceaux de chair si dur, si tendu, il les fit rouler entres ses doigts, les tira légèrement, puis revint masser la poitrine ferme de Kyarra en la collant à lui. Les mouvements étaient plus lent, plus profond, mais toujours présent. Venant continuer ses mouvements de hanches pour enfoncer son sexe au plus profond de cette intimité brulante, il vint pencher la cou de la louve pour y passer la langue, avant de lui murmurer. -Je vais t'offrir ce que tu souhaite...-
Il se doutait que quand il mordrait à la gorge de la femme, celle-ci serait surement atteint d'un orgasme puissant. Mais il savait qu'il pourrait maitriser ce premier assaut. Il viendra alors lentement planter ses crocs dans la carotide de la lycante. Suça lentement son sang, et laissa surtout ses effluves l'envahir. Comme il s'en douta, cette simple morsure vint contracter tout le corps de sa maitresse. Dans un orgasme puissant elle se tendit en se contractant de tout son long. Son intimité répondit à cette vague de plaisir en ne lâchant que toujours plus de cyprine, en se contractant sur se corps étranger qui le pénétrer, et en poussant un puissante et violente vague de plaisir à la louve, dans un orgasme aussi puissant que le premier qu'elle eu avec lui.
Résistant tant bien que mal à ce plaisir qu’eut Kyarra, l'hybride résista à cette envie de lâcher la pression en elle. Il ne voulait pas que ça se termine. Pas tout de suite en tout cas. Mais il devait faire retomber la pression, son membre étant dur, étant tendu et gonfler en elle. Chaque petit mouvement lui donner envie de jouir aussi.
La mouille coulant le long de ses bourses, contre son bassin, contre ses cuisses, il la savait que vraiment plus lubrifier, et donc apte à bouger violemment et rapidement pour faire jouir l'Oublié. Et il ne le voulait pas. Se retirant lentement de l'utérus de la louve, il vint lentement la pencher en arrière contre lui. Vint lui tenir les cuisses largement écarter, et surtout d'un main, vint diriger son gland dur et gonfler vers l'autre voie qu'il pouvait emprunter.
Comme il s'en doutait, malgré le fait qu'elle soit complétement excitée, trempée, cette voie là était encore toute resserré. Cependant il savait que la femme savait ce qu'il s’apprêtait, à faire, le simple contact avec ce gland brulant eu pour effet de décontracter un peu l'anus de la femme, comme accueille à l'intrusion qu'il voulait faire. Peut être aussi était-ce car ses crocs étaient toujours planter dans le cou de la femme, et que ces vagues de pulsion et de désire sexuel avait libéré en elle l'envie de la sentir partout ?
Appuyant son bassin vers cette entrée, il la sentit s'écarter non sans mal pour commencer à l’accueillir. Le sexe de l'hybride était déjà humide de celui de la femme, ses sécrétions avaient aussi commencer une grande partit de la lubrification en coulant sur ses fesses. Il pouvait donc, sans autre préparation commencer à la pénétrer. Mais cette pénétration était lente, très lente, l'anus de la louve était très étroit, resserré autour de la verge de l'hybride, l'excitation était toujours présent chez l'homme, mais comme il le voulait, il le sentait entrain de retomber lentement, il pourrait donc continuer à la prendre, plus lentement, moins fortement, plus longtemps.
La laissant lentement s'appuyer de nouveau sur ses jambes, pour pouvoir gérer cette descente le long de ce membre et pour pouvoir le prendre dans cet orifice qu'il avait choisit d'explorer. Il la sentit alors trembler, et surtout descendre lentement et soigneusement sur se membre, jusqu'à l'avoir entièrement en elle, comme elle aurait pu l'avoir entièrement dans son intimité. L'hybride venant la laisser s'assoir sur son bassin, la laisser sentir se sexe tendu au fond de son anus, profondément enfoncer en elle. Il vint la laisser le temps de réaliser où il se trouvait, la laisser s'adapter à la situation, et surtout la laisser commencer les mouvements de va et vient quand elle le déciderait. Venant lentement pendant ce temps. Refermer la plaie qu'elle avait au cou, à grand coup de langue pour nettoyer tout le sang qui avait pu couler. Et venant poser une main sur le clitoris de la louve, sur ses lèvres gonflées, pour les caresser et les masser doucement afin de ne pas oublier non plus la voie naturel des choses.
Alors qu’ils étaient toujours en train de faire l’amour, après plusieurs minutes, entre le sentiment de plaisir et celui de la douleur, la louve senti autre chose. Venant de l’homme, ce n’était pas une sensation qu’il lui donnait, mais elle le ressenti. Le corps de l’hybride était comme quitté d’une tension. Elle le senti de détendre, libérant une tension qu’elle n’avait jusqu’ici pas senti. Venait-il de comprendre la sincérité de la femme ? Venait-il de passer le stade où il ne s’agit plus de confiance superficielle mais où elle est bien là ? C’est la sensation qu’elle eut, et elle espérait ne pas se tromper. Sinon, elle ne voyait pas d’autre explication, ou peu une seule mais elle ne lui plaisait guère. Les seules fois où elle se détend à ce peu c’est au moment de la chasse, quand elle est sur le point de mettre sa proie à mort. Donc compte tenu de la situation, elle n’avait pas vraiment envie qu’il s’agisse de cette option là. Une tension s’était faite également dans son corps, peut être à cause de cette pensée. Mais elle s’en débarrassa vite. Après tout si elle devait vraiment mourir, autant prendre son pied total avant. Bien qu’elle ne soit pas convaincue par son moment réflexion.
Elle revient à l’instant présent quand elle senti sa bouche lui toucher le cou, allait-il la mordre comme elle lui avait fait la proposition ? Non, il préféra l’embrasser, la mordre doucement à cet endroit. Comme pour dire qu’il savait ce qu’elle demandait mais qu’il voulait la faire patienter un petit peu. Ok, mais elle le sentait grossir toujours un peu plus en elle. Elle espérait qu’il n’allait pas en finir avant de lui avoir donné cette morsure. Quelque chose lui disait que ce ne serait pas le cas, mais comme ça ne faisait qu’une petite semaine qu’ils se connaissaient, on ne peut pas connaitre quelqu’un en si peu de temps. Normalement, on ne devrait même pas se faire confiance. Et pourtant c’est ce qui était en train de se passer entre eux.
Il la fit changer de position pour qu’ils se retrouvent une fois de plus sur le canapé. Elle empalé sur ce membre toujours aussi tendu et ferme. Il lui avait fait comprendre pour des gestes qu’il voulait ralentir un peu la cadence. Peut être pour ne pas s’arrêter là. Les mouvements étaient donc moins rapides, mais toujours aussi profonds. Elle le senti s’approcher, et quand elle l’entendit murmurer, elle su qu’elle allait la mordre. Ce qu’elle espérait c’est qu’il allait jouir en même temps ou presque qu’elle. C’était vrai qu’une femme peut avoir plusieurs orgasmes à la suite, mais elle n’aimait pas recevoir sans pouvoir redonner. Quand ses crocs se refermèrent doucement dans sa chair, l’orgasme s’abattit sur elle. Contractant tout son corps, et donc une partie sur le membre de son partenaire. Lui donnant par la même occasion plus de plaisir.
Cependant, il se retira, dans un grognement de désapprobation de la louve. Elle n’avait aucune envie de le laisser partir. Elle voulait continuer de le sentir en elle. Elle voulait le sentir se déverser en elle quand il jouirait, elle voulait sentir ce liquide brulant la remplir. Mais il en avait décidé autrement. Elle fut assez surprise lorsqu’elle comprit où il voulait se diriger. Mais elle ne dit rien, ce n’était pas ce qu’elle préférait, d’autres positions sont beaucoup plus agréables que celle-ci mais elle pouvait faire une concession. Evidement, l’endroit n’était pas du tout humide. Et il ne s’humidifierait pas seul. Mais le membre de Fisher était trempé de l’intimité de la louve, et de la sienne. Ce qui l’aida à se frayer un chemin. Au départ, c’est plus douloureux que plaisant, mais ce n’est que le temps de s’adapter à ce membre. Son plaisir était toujours là, dû à la morsure prolongée de son compagnon, mais elle le sentait plus aussi épais, ce qui facilitait sa pénétration. Mais ce qui signifiait qu’il n’était plus sur le point d’atteindre l’orgasme. Ce qui ne plu guère à la louve. Elle s’empalait doucement sur lui, ce n’est pas un endroit qu’il faut maltraiter, sinon on le regrette. Quand il fut totalement entré en elle, elle gémit, une fois de plus le plaisir était lié à la douleur. Elle le regarda, elle ne voulait en aucun cas que le plaisir de l’Oublié retombe. Certes, ils pourraient ainsi continuer plus longtemps, mais elle n’aimait pas savoir une baisse de plaisir chez son partenaire. Voyant qu’il la laissait libre de ses mouvements, elle se mit donc à aller et venir, d’abord doucement, pour lui faire remonter le plaisir doucement. Puis, quand elle le senti toucher d’autres parties, elle entreprit d’aller plus vite. De plus en plus vite. Sentant son membre se gonfler et grossir une fois de plus en elle. Elle garda donc un mouvement rapide et long, voulant qu’il atteigne à son tour l’orgasme.
Il avait entendu le grognement de la louve quand il s'était retiré d'elle. Il savait parfaitement qu'elle n'aimait pas se retirer comme ça sans avoir fait jouir aussi son partenaire. Mais l'hybride voulait que ça dur plus longtemps, et il avait aussi envie de visiter cette autre entré que pouvait proposer le corps de la femme. Certes ce n'était pas forcément la voie la plus agréable pour la femme, mais toute ses terminaisons nerveuse, se regroupés pour la plupart au niveau du rectum. De plus la morsure facilité que encore le plus cette pénétration douloureuse.
Les crocs n'avaient pas encore quitté le cou de la louve, le temps qu'elle s'empale de nouveau sur le membre durcit de l'homme. Continuant lentement de boire son sang, il retira ses canines de la gorge de sa compagne quand elle entreprit de reprendre les va et vient sur les cuisses de Fisher. Elle s'était un peu pencher en avant pour s'appuyer sur les genoux de son compagnon, et pour pouvoir reprendre ses mouvements de bassin. Elle semblait tout d'abord aller lentement pour ouvrir le passage au prépuce de son amant. Elle était serrée, étroite, peu humide, mais tout cela n'était que plus sensible à la pénétration, et bien éphémère.
Et pour simple preuve. Il l'entendit commencer à gémir, de plaisir, de douleur, pour elle les deux étaient étroitement lié. Puis en s'appuyant sur les genoux de l'homme, elle commença à accélérer la cadence de ses va et vient. Se tendant, posant les mains sur les hanches de la louve, descendant une main sur son intimité à elle pour le caresser, le masser, il sentait le plaisir entrain d'affluer, de remonter en flèche. Et elle semblait s'acharner à refaire monter ce plaisir qu'il avait eu du mal à faire redescendre. Se tendant il sentait son membre entrain de durcir de nouveau, de grossir, il se sentait encore plus étroit dans l'anus de la lycante. Même si celui-ci avait eu le temps de s’humidifier, de se dilater comme il convenait, elle devait sentir le membre vraiment épais en elle. Et plus elle était entrain de bouger, plus elle faisait monter le plaisir de l'Oublié.
Venant se tendre, sur le point une nouvelle fois de jouir. Il vient alors poser ses mains sur les hanches de la louve, la poussant sur le fauteuil à quatre pattes, elle savait parfaitement ce qu'il allait se passer. Venant se mettre derrière elle, il pointât de nouveau son gland vers l'anus de la louve pour venir commencer ses propres va et vient en elle. Elle voulait le faire jouir, alors il jouirait, en lui procurant le plus de plaisir possible. Venant faire des mouvements, lent, profond, puis plus rapide, il la laissait juste apprécier, et subir ses assaut. Il savait parfaitement que la louve n'était pas du genre passive durant des ébats sexuel, mais là elle était bien obligée de se laisser faire, apprécier, ou subir ses assaut, ses coups de bassin, sentir se membre épais se frayer un chemin au plus profond qu'il lui était possible d'explorer. Ses mouvements, ses faisaient plus rapides, plus profond, mais surtout plus ample. Il n'hésitait pas un seul instant à ressortir pratiquement entièrement son membre, sous les gémissements, et grognement de contradiction de la louve. Déjà qu'elle était obligée de subir ses assaut, elle devait aussi régulièrement subir, le fait qu'elle se retire d'elle pour, la pénétrer de nouveau.
Il l'entendait gémir, tantôt de plaisir, tantôt de douleur, ou même de frustration de le sentir se retirer. Mais elle semblait apprécier quand même la situation, l'anus de la Louve était complétement dilaté pour offrir pleine accès à son homme, et celui-ci semblait ne pas se faire prier pour emprunter cette voie pleinement ouverte. Continuant ses mouvements en elle, il sentait son plaisir monter de plus en plus, son sexe s'épaissir, se durcir de nouveau. Venant la regarder, il vint alors la pénétrer le plus profondément possible, en se penchant sur elle, et vint lui empoigner les seins pour les masser en lui murmurant à l'oreille.
-J'ai envie de te faire confiance....alors ...veux-tu devenir ma seconde ?-
Il s'était arrêter au fond du ventre de Kyarra, venant lui masser la poitrine, il vint reprendre ses mouvements de va et vient, vint lui lécher la nuque. Puis se retira de nouveau, lentement, du rectum de sa compagne pour venir s'initier de nouveau dans son vagin. Profondément, il s'enfoncera dans son intimité encore trempé. Venant faire des va et vient plus ample et plus rapide de cet intimité qui avait maintenant l'habitude de l’accueillir, il était moins sujet à devoir restreindre ses mouvements. Venant aller profondément et fortement en elle, il vint faire buter son gland au fond du sexe de la femme. Ses parois s'étaient légèrement asséchées part le manque de pénétration, se qui donné que vraiment plus de sensation à l'homme.
Il se savait, et se sentait sur le point de jouir. Et pour lui, il n'y avait pas d'autre ni de meilleur endroit pour jouir que le sexe de sa compagne. Venant la prendre toujours aussi fortement. Il vint lentement la tourner pour l'allonger sur le dos les cuisses ouverte. Venant s'allonger sur elle en continuant ses mouvements, il était entrain de l'embrasser tout en se sentant sur le point d'atteindre l'orgasme. Son membre, recommencé à avoir ces palpitations au fond de l'utérus de la lycante, elle pouvait aisément le sentir grossir, durcir, et sur le point de déverser toute cette semence stérile qu'il était entrain de retenir, en elle. Elle n'avait encore jamais pu vraiment apprécier de sentir l'hybride jouir en elle. La dernière fois, la morsure avait masqué toute ces sensations. Mais aujourd'hui elle pourrait pleinement le sentir se déverser en elle.
Continuant ses mouvements en elle, et en l'embrassant, il pouvait la voir, la caresser, lui donner toujours autant de plaisir. Ses mains poser sur la poitrine de sa compagne, il était entrain de la masser, tout en continuant de lui faire l'amour. Ses lèvres posés sur ceux de la femme, il vint les descendre dans son cou, puis sur la poitrine qu'il était entrain de malaxer. Il vint capturer, l'un des tétons, pour le mordiller, le suçoter, le faire durcir que plus entre ses lèvres. Elle pouvait amplement sentir, ce membre épais bouger en elle, écarter ses parois et ses lèvres pour venir buter au fond d'elle. Elle pouvait entendre le souffle de l'Oublié, s'accélérer comme ses mouvements de bassin. Et finalement elle pu le sentir, s'enfoncer au plus profond d'elle, dans un gémissement de plaisir, et enfin le sentir jouir. Sentir se liquide gicler, et recouvrir ses parois. S'écouler en elle comme elle pouvait le souhaiter, et sentir se membre se contracter pour expulser toute cet semence qu'il avait si longtemps gardé prisonnier. Le sentir jouir comme elle ne l'avait pas pu dans la baignoire la première fois.
La louve était toujours en train de le chevaucher. De prendre et de donner du plaisir. Chaque mouvement le faisait monter encore d’avantage. Elle prit alors conscience de pourquoi il l’avait fait se retirer, elle l’avait senti moins gonfler, moins près à recevoir l’orgasme. Il voulait simplement faire durer les choses. Et comme une entêté qu’elle est, elle ne le comprit pas sur l’instant. Elle sourit du coin des lèvres en songeant qu’il voulait faire durer ce moment. Ce n’est pas souvent que l’on trouve un homme qui ne pense pas qu’à finir, mais qui souhaite prendre son temps. C’était bon signe qu’il agisse ainsi. Bon signe parce qu’il ne faisait pas que penser à lui et c’est toujours une bonne chose quand l’autre n’est pas égoïste. Alors qu’ils changeaient une fois de plus de position. Que les coups de l’Oublié se firent tantôt rapide et profond tantôt lent et peu profond, elle le sentait reprendre une forme si bonne à sentir. Elle le sentait gonfler de nouveau, chaque mouvement le rendant toujours plus près de l’érection. Alors qu’elle lâchait un cri de plaisir mêlé d’une pointe de douleur elle l’entendit parler. Elle ne comprit pas sur le coup ce qu’il venait de dire. A vrai dire, ce n’était pas le moment de parler de choses sérieuses. Le temps que son cerveau assimile ce que son partenaire venait de dire, elle cria une seconde fois.
Elle resta un instant sans bouger. Comprenant enfin la signification de ses mots. Ainsi, il lui faisait enfin confiance ? Il ne doutait plus de sa loyauté ? Quoi que rapide, mais bien présente. Elle ne su pas quoi répondre. Devait-elle le remercier de cette confiance ? Devait-elle ne rien dire en pensant qu’il comprendrait que cette phrase était celle qu’elle attendait ? Bien sur, pas sur le fait qu’elle devienne son Second. Sur ce point elle n’aurait surement pas pu l’espérer avant plusieurs jours, semaines voir mois. Non elle voulait simplement entendre qu’il lui faisait confiance. Après tout, on ne couche pas avec quelqu’un en qui on n’a pas un minimum de confiance. N’est-ce pas ? Du moins, du point de vue de la louve. Ok, elle ne le connaissait pas non plus depuis si longtemps, et une personne normale n’aurait pas dû faire confiance si vite. Mais elle l’avait vue s’arrêter de boire son sang, il aurait très bien pu la tuer, et à maintes reprises. Pourquoi douter dans ces cas là ? Le doute n’apporte jamais rien de bon. Et dans leur cas, la confiance serait leur seule garantie contre la trahison. Et si trahison il y avait, la mort d’un des deux suivrait. Peut être même les deux. Elle revient au moment présent quand elle senti ses mains sur sa poitrine. Elle savait qu’elle avait continué de bouger, peut être machinalement, mais elle avait été perdue dans ses pensées. Et elle se souvint qu’elle ne lui avait encore rien répondu. Elle tourna légèrement la tête afin de pouvoir le voir et répondit enfin :
« C’est une question qui ne se pose pas. Je souhaite t’aider et je ferais tout ce que je peux pour cela. »
Elle marqua une légère pause, d’abord pour reprendre son souffle et ensuite parce qu’elle ne faisait pas confiance à sa voix. Elle finit tout de même par dire, entre deux coups de reins :
« Merci. »
Elle se doutait qu’elle n’avait pas besoin d’ajouter quoi que ce soit. Il devait se douter de quoi elle le remerciait, puisqu’elle n’avait pas arrêté de lui dire qu’elle était digne de loyauté. Il décida de quitter son anus pour revenir dans son intimité. Là où elle aimait dorénavant le sentir glisser en elle. La louve suivait les mouvements de son compagnon, donnant des coups de reins lorsqu’il était au fond d’elle pour augmenter la pénétration et la profondeur. Haletante, Kyarra le sentait devenir toujours plus gros, plus dur et toujours plus près de l’orgasme. Alors qu’elle se disait qu’elle aimerait le regarder quand ce serait le moment, l’homme décida de modifier une nouvelle fois leur position. Elle se retrouva ainsi sous lui, elle pouvait contempler son magnifique corps, fin et musclé. Ses va et viens en elle. Et surtout ses yeux. Il l’embrassa passionnément, et elle lui rendit son baiser avec plaisir. Caressant son torse, son dos, puis ses fesses. Tout chez lui était parfait. Etait-ce à cause de ses gènes vampiriques qu’elle le trouvait si parfait ? Probablement, et pourtant, cela ne l’a dérangeait pas vraiment. Pourquoi se poser des tas de questions lorsque l’on a pour soi un tel être ? Elle le senti venir une dernière fois aussi profondément en elle qu’il le pouvait. Le senti se gonfler une dernière fois. Et enfin, elle le senti jouir, déverser cette semence si chaude en elle. Elle le regarda atteindre enfin summum du plaisir, et fut heureuse de pouvoir le contempler. La louve ne lui laissa pas le temps de faire, dire quoi que ce soit, elle se mit à l’embrasser.
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par Invité Mar 10 Mai - 12:59
