Avventura
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Message par Invité Mar 15 Juin - 21:25

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Ce n'était que son premier matin dans la ville nommée Avventura et l'odeur d'animaux s'envolait tel une fumée poussée par le vent. Le soleil se réveillait pour illuminer les rues alors que des gens allaient aux ouvertures des magasins bien que pour certains, ils rentraient pour éviter les rayons chauffants et même cramant. La seule idée de les voir partir en poussière laissa un large sourire à ses lèvres qu'une jeune hybride crut que cette petite intention était pour elle, mais détrompe toi, meurt, meurt. L'erreur humaine, animal vint à lui avec des petites sauts et la queue remuant dans les sens comme un chien rencontrant son maître avec de la nourriture en main. Elle croyait faire la connaissance d'un nouveau jouet, un os avec lequel elle pourrait se faire les dent en le rongeant.
**Te briser les os, te fracturer ta petite papatte de chien errant, t'enchainer dans un Zoo, te lancer de la bouffe à la gueule au point que tu étouffes... Erreur, erreur, toutes les fautes comme toi, on devait les supprimer de ce monde. Tu gâches la beauté naturelle de ce monde. Erreur, va t'en...**
L'erreur s'était arrêtée devant lui. L'erreur avait faire une grosse erreur, une énorme, une fatale et incontournable erreur maintenant. Ses délicieuses lèvres partirent pour laisser un visage froid avec les yeux grands ouverts. Il la fixait avec dégout. Alors qu'elle allait prendre la parole, il attrapa sa main pour la planter sur le banc où il était assis. Avec un simple doigt dont l'ongle était long à cause du manque de temps pour se le couper, il la fit saigner. Presque transpercer, la main de la jeune hybride saignait tel un robinet mal fermé. Il avait un rire qu'elle ne pouvait entendre qu'elle.
- Haïko, je m'appelle Haïko et je hais ton erreur de race. Vous me dégoutez. Vous ne devriez pas être sur terre, mais tous mort à la naissance. Tu connais les virus, les maladies, normalement on les élimine pour éviter que ca s'étende, pourtant, vous, on ne vous tue pas. Tu trouves ça normal ? Hein, tu trouves normal que la maladie que vous engendrer aux humains ne soient pas eradiqués ? Vous me rendez malade, tu me rends malade. -
Effrayée, paralysée, apeurée, qu'importe, Haïko prenait plaisir à voir de la sueur couler sur le front de l'inu. Des yeux rouges envahis par des larmes prêtent à glisser sur ses joues de sale râtée ne pouvaient sortir dans cet instant si intense pour elle. Haïko s'en mordilla la lèvre inférieur dans le même instant où il enfonça encore plus profondément son ongle pour le retirer d'un coup sec. Du sang de dechets. Il s'essuya sur elle sans peine et prit la bouteille d'eau non ouverte qu'elle avait dans son sanc pour se rincer les mains.
- Va t'en, part de cette ville. Tu ne mérites pas de vivre, mais encore moins d'avoir un abris au chaud. Va - te - en ! Va t'en ! -
Sans un mot depuis le début, elle s'en alla en courant. Elle n'allait pas en parler. Elle était beaucoup trop effrayée et à part la peur, Haïko avait réussi à encrer dans sa tête qu'elle n'était qu'un déchet bien plus toxique qu'un produit chimique, bien plus mortel qu'une maladie.
Haïko se leva et commença à marcher. Il baissait sa tête pour éviter la vue de ces immondes créatures. Il réfléchissait. Il voulait abolir cette paix pour se venger et avec l'aide d'autres humains dans la même pensée que lui. Il avait vu sa mère mourir et se vider de son sang. Il avait dormi près de son corps se décomposant. Il avait connu la décomposition, mais aussi les insectes mangeurs de viandes mortes. Les verres entrant d'un endroit et sortant d'un autre. Haïko avait tout vu. Il avait dormi à côté de la mort. Il s'était réveillé avec une bête sur lui. Il était presque mort de faim. A cause de qui ? A cause de quoi ? De ces créatures se permettant de tuer pour se nourir bien avant de s'être montré. Se cachant la nuit et attaquant les faibles familles. Et maintenant, il faut leur offrir l'hospitalité ? Ils rêvent. Ils vont tous crever. En tout cas, ceux qui ont tué sa famille.
*Je marche, je marche. Je ne sais pas ou commencer. Qui sera ma première victime... ? et qui sont les membres du Cercle ? Ces enflures qui permettent cette paix inexplicable et impossible !*

Message par Invité Mer 16 Juin - 14:12

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Ce matin là l'hybride était à moto, une grosse cylindré noir. Portant une veste et un casque de la même couleur, il était entrain de rouler dans les rues à la recherche d'un but, ou peut être d'une potentiel proie. Mais à cette heure de la matinée, il y avait beaucoup trop de monde, pour qu'il puisse penser réellement à aller à la chasse. Après tout il se devait de rester discret, il s'était déjà fait attraper une fois, et ne comptait pas que ça recommence. Devoir séquestrer quelqu'un pour qu'il ne parle pas, était certes alléchant car il ne manquerait pas de sang. Mais ce n'était quand même pas ce qu'il préférait. Après tout il n'était pas réellement chez lui au Manoir des Memphis, même si ils lui avaient offert l'hospitalité car il était de la même race de leur fille.

Soupirant en continuer de rouler à assez vive allure entre les voitures et autres véhicules. Il ne savait pas vraiment où aller et ce qu'il pourrait bien faire. Heureusement aussi que la lumière du jour n'était pas plus dérangeante que ça pour lui, même si il devait s'en abriter un minimum pour ne pas rester trop exposé quand même. Mais physiquement, ca devait être avec les vampires, qui ne sortent pas le jours, la créature qui ressemble le plus à un simple humain.


- Haïko, je m'appelle Haïko et je hais ton erreur de race. Vous me dégoutez. Vous ne devriez pas être sur terre, mais tous mort à la naissance. Tu connais les virus, les maladies, normalement on les élimine pour éviter que ca s'étende, pourtant, vous, on ne vous tue pas. Tu trouves ça normal ? Hein, tu trouves normal que la maladie que vous engendrer aux humains ne soient pas eradiqués ? Vous me rendez malade, tu me rends malade. -

Alors qu'il était entrain de passer dans une rue marchande au ralenti pour ne renverser personne. Ces mots l'interpèleront, comment pouvait-on encore penser cela dans une petite ville aussi paisible et ou la "paix" était censé régner en maître absolu ? S'arrêtant pour scruter les lieux, il était à la recherche de celui qui avait pu dire ça. Oui celui, car même si le moteur le gêné, et qu'il n'était pas vraiment à l'écoute de ce qui l'entouré, c'était bien la voix grave d'un homme, plutôt jeune, qu'il avait entendu.

Cherchant cet homme du regard, il vu un étrange couple près d'un banc qui se situer non loin de là où il se trouvait en ce moment. Venant les regarder, il pu aisément sentir l'odeur du sang, du sang fraichement coulé, et même qui était encore entrain de couler. Un être, d'apparence un humain, venait tout juste de planter son ongle à sang dans la main d'une pauvre hybride. L'odeur et le spectacle le faisait sourire sous son casque à la visière teintée. Mais cependant il n'en avait pas le droit, il ne devait pas se réjouir d'un tel spectacle en publique.


- Va t'en, part de cette ville. Tu ne mérites pas de vivre, mais encore moins d'avoir un abris au chaud. Va - te - en ! Va t'en ! -

La pauvre hybride partit en courant dans sa direction, et l'Oublié, vint la rattraper d'un bras, pour la regarder doucement. Il avait envie de la mordre, de la vider complètement de son sang, de la laisser morte et inerte au sol, mais il se devait de se maitriser, il en avait le devoir surtout en ce moment. Venant se lever et sortir une boîte de secours du siège de sa moto, il vint bander la main de l'hybride après lui avoir désinfecté sa plaie. Avant de la relâcher et la laisser partir.

Levant ses yeux vers l'humain qui était entrain de s'éloigner, venant garer sa moto et la sécuriser autour d'un lampadaire, il enleva son casque pour le porter ensuite et se dirigea en direction du rebelle dans l'âme. Celui-ci ne pouvait pas deviner que l'Oublié était lui de même une de ces créatures qu'il détestait tant. Physiquement sous sa forme humaine Fisherandrield ressemblait à tout les autres humains que l'on pouvait voir en ville. Mis à part ses yeux d'une couleur particulière, jaune ambre, mais ce n'était pas impossible à avoir avec des lentilles ou bien tout simplement.

Saisissant le poignet de l'humain il le regarda et prononça quelques mots.


-Vous savez que ce que vous venez de faire peut être punie d'une peine d'emprisonnement de plusieurs mois ?-

L'hybride voulait tester l'humain qui venait de se rebeller ouvertement en plein publique, et voulait voir comment il allait réagir alors que quelqu'un venait de l'intercepté. Il se préparait à recevoir un coup et à la bloquer ou l'esquiver, tout comme à subir le même traitement que la femme animal un peu plus tôt, mais il ne lâcherait pas prise ou riposterait si il en avait le besoin.

Message par Invité Jeu 17 Juin - 15:55

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Tant de haines qui s'accumulaient qu'Haïko confondait presque humain et vampire. Il en voulait tellement aux créatures qui avaient massacré son village qu'il ne trouvait plus d'échappatoire à l'oublie de son passé. Il avait peut-être été recueillit par une famille et avait été touché par de l'amour paternel et maternel, son coeur ne changeait pas de direction. Il gardait cette aspiration à en terminer avec cette paix qui n'avait aucun sens pour lui, car elle n'avait pas empêché la mort de plusieurs innocents et n'arrêtait surtout pas les absurdités sorties de l'ombre à dévorer leurs plats préférés ou encore, manipuler des humains purs avec leurs pouvoirs. Bien qu'Haïko imaginait jeter le même sort aux autres qu'eux ont lancé au sien, il ne se sentait humain. Il ne voulait pas en douter. S'il osait émettre un doute, il courrait à sa perte. Il doutait quand-même. Il était perdu. Venant d'arriver dans cette ville qui était en accord avec chaques races, Haïko ne savait pas où se tenir. Les gens le traiteraient de maso de venir en un lieu où il y a que des êtres qui le répugent. Il se rends malade volontairement tel un maso qui cherche qu'on le batte avec des fouets. Cependant, il sentait qu'une nouvelle place s'ouvrirait à lui ici. Il avait l'impression qu'il pourrait trouver un moyen de cloturer ce traité de paix. Le bruler... Haïko quitta son incertitude pour reprendre une marche sûre.

Haïko en avait terminé avec l'Inu. Alors qu'elle partait en courant, lui, il continuait son chemin sans ligne tracée jusqu'à qu'un inconnu l'interpèle:
-Vous savez que ce que vous venez de faire peut être punie d'une peine d'emprisonnement de plusieurs mois ?-
L'homme l'avait empoigné pour l'arrêter dans sa marche et le menaça de quelques paroles suffisantes pour lui prendre une attention particulière. L'acte punissable avait été donc vu par un passant. Un passant bien particulier, car il n'avait pas été présent pendant l'ambrochement de la main de l'hybride. Haïko ne l'avait pas remarqué, c'était une supposition ou bien, il venait à peine d'arriver, ce qui serait surprenant, car il savait qu'il avait agressé une personne ou bien encore, il avait rencontré l'Inu qui s'était plainte. Un homme important ? Un parfait inconnu qui se promenait et qui veut faire régner la justice ? Qui était-il ? Pourquoi venir vers Haïko et lui faire une remarque pertinente au lieu d'appeler la sécurité qui l'aurait emmené en prison ? Haïko laissa les questions en suspens pour répondre d'un large sourire en se tournant vers lui à la demande ou réflexion.

- Je suppose, oui je suppose ou je dirai même que je suis sûr, que les actes que je fais, j'en connais les conséquences. -

Haïko brisa le contact qu'il avait avec l'homme. Lui, ses yeux, cette couleur, il n'était pas humain ou portait il des lentilles ? Impossible. Ca ne pouvait pas être si parfait. Normalement, les lentilles se remarquent. Haïko était en présence d'une créature immonde. Peut-être encore un Inu. Le frère ? Possible ? Ses yeux n'avaient rien de chien, l'odeur encore moins et il n'avait ni queue, ni oreilles. Qu'était il ? Normalement, ca ne pouvait pas être un vampire, car il est en plein soleil, ni un lycan, ni un elfe, ni une fée. Qui est-ce ? Qu'est-ce ? Encore une nouvelle maladie qui a frappé ou simplement, un bien plus rare que les autres. Avant de s'embrouillier l'esprit encore plus, Haïko préféra observer.
- Vous avez peut-être l'intention de prévenir l'Ordre, n'hésitez pas, vrai que je mérite d'être puni selon cette nouvelle loi absurde. Ou bien, êtes-vous, vous-même, l'Ordre ? -
Haïko essayait de percer les intentions de l'étranger. En lui posant ces demandes, il espérait avoir une manifestation sur son visage lui permettant de le saisir. Pénétrer dans son être avec le seul don que la nature a pu lui offrir, des yeux pour étudier chaque fait et geste. Son ouïe n'était pas assez développer pour percevoir les battements du coeur que pouvait contenir ce corps. C'est fâcheux, car s'il arrivait à entendre les pulsations, il pourrait connaitre le mensonge de la vérité quand les paroles sont bien trop froides de la part de la personne et impossible à juger.
Haïko se tenait droit et n'avait aucun pli sur sa chemise noire. Son jeans bleu marin avait la même teinte partout, donc n'avait aucune marque d'usure. Une seule tâche brisait sa proprété, c'était une goutte de sang qui avait dû attérir sur sa manche quand l'hybride partit. L'humain essayait de rester discret et clean aux yeux des habitants. Cependant, il avait raté. Il avait été vu et en plus, il y avait une preuve sur son vêtement. Il avait déjà échoué. Allait-il être enfermé pour son acte ?

Message par Invité Dim 27 Juin - 22:14

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- Je suppose, oui je suppose ou je dirai même que je suis sûr, que les actes que je fais, j'en connais les conséquences. -

L'humain rompis le contact entre l'hybride et lui en tirant son bras d'un coup. Si il l'avait voulut Fisher aurait pu lui empêcher tout mouvements, mais il ne voulait pas qu'il s'emporte, du moins pas tout de suite. C'était un jeune homme intéressant, surtout à cette époque et cet endroit. Il ne pensais pas tomber sur un tel phénomène de si tôt, et pourtant, il en avait un là, en face de lui de phénomène, et il comptait bien l'étudier un peu plus. Venant alors écouter ce qu'il avait à rajouter.

- Vous avez peut-être l'intention de prévenir l'Ordre, n'hésitez pas, vrai que je mérite d'être puni selon cette nouvelle loi absurde. Ou bien, êtes-vous, vous-même, l'Ordre ? -


Petit sourire aux coins des lèvres. Prévenir les forces de l'ordre. Oh oui il pourrait le faire, mais ce n'était pas son intention majeur. Du moins pas pour le moment, il voulait en savoir un peu plus sur cet homme qui était entrain d'essayer de le sonder. Essayer de lire sur le visage d'un homme était déjà difficile, deviner les mimiques ou les gestes d'une certaine perturbation était très difficile à cerner, même pour un œil expert. Et surtout sur le visage de l'hybride qui semblait plus amuser part la demande que autres choses.


-Moi ? Prévenir les forces de l'ordre ? Oh ma foi ce n'est pas à moi de le faire, et puis si je le faisait, rien ne me garantirais que je te retrouverais ici à me retour. Et si je te demande de me suivre jusqu'à un commissariat, tu ne feras certainement pas.-

Il regardait l'humain à son tour, plissant les yeux pour essayé de deviner ses pensées à son tour, venant aussi écouter son cœur, son ouïe étant bien plus fine que la plupart des créatures, il pouvait sans trop de soucie entendre les battements de celui-ci. Il voulait savoir si il était entrain de s'énerver, ou plutôt empreint d'angoisse.


-Quand à faire la justice moi même. Je ne vaudrait pas mieux que les créatures que vous détestez...ou que vous même. Quoi que l'idée est particulièrement tentante. Après tout, regardez autour de vous.-


Montre l'endroit où ils se trouvent en ce moment, et surtout tout ce monde qui passes sans même les regarder composé pour la plupart de créatures comme il les appels.

-Regardez donc autour de vous...si j'avais envie de vous attaquer, la maintenant, et de vous mettre à mort. Qui viendrez vous aider ? Ces créatures que vous détestez et l'avait proclamé bien haut ? Ils ne risqueraient pas leur vie ou de se faire blesser part quelqu'un qui les détestes. Les humains ? Pourquoi se risqueraient ils a vous aider. Après tout si je suis une créature ils ne se risqueraient pas à s'attaquer à moins se sachant pas assez puissant. Et la plupart d'entre eux aussi sont pour la ""paix"".-

Il avait bien accentuer le mot paix, car il n'y croyait et n'en voulait pas particulièrement non plus. Mais avant tout il voulait voir et savoir ce qu'allait lui répondre l'humain, à ce qu'il venait de dire. Et comment il aller réagir à cela aussi.

Message par Invité Sam 17 Juil - 18:54

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*Faites donc moi vomir*

Bien avant cette pensée, Haïko s'était concentré sur l'être inhumain qui se trouvait devant lui. Il se sentait presque soulagé de savoir que ce n'était pas un homme des forces de l'ordre. Il venait à peine d'arriver, il préférait se mettre les lieux en tête et ensuite se faire arrêter pour agression, mais pas avant. Sinon, il serait trop dure de trouver des repères et s'enfuir en douce. Haïko restait perplexe devant l'inconnu qui lança une réflexion intéressante, mais qu'Haïko s'était déjà faite. C'est vrai que si en ce moment, il était rangé dans le côté "paix", les gens de la ville pourrait limite l'aider s'il se faisait attaqué. Cependant Haïko avait choisi bien autre côté, il ne voulait pas prendre part au pacte. Il préférait se savoir dans la méfiance et dans le droit de chasser les autres races. Un droit qu'il se donnait bien sûr.

-...Et la plupart d'entre eux aussi sont pour la ""paix"".-

C'est à partir de ce mot que la pensée écrite plus haut s'écria en son crâne qu'Haïko pourrait en vomir. C'est tellement superficiel de se dire que nous vivons dans la paix. Haïko le sait. Il est bien trop facile de s'affirmer que nous vivons bien, à l'abri de tout danger, dans un cocon imbrisable et encore entouré d'une murai invisible, mais indestructible. Haïko savait très bien que ce n'était qu'utopie. Un délire commun qu'ont le Cercle et qui le propage aux autres créatures naïves et rêveuses de paix.

Haïko sourit. Il souriait par le ton que l'homme avait prit pour prononcer la " paix " et aussi les pensées qui en suivirent dans la tête d'Haïko. L'inconnu cherchait quelque chose. Il ne restait pas à parler à un humain comme Haïko pour perdre son temps. Il voulait voir des réactions. Haïko put le deviner. Même si c'était qu'une hypothèse, il avait l'impression d'avoir raison. Il ne pouvait pas avoir totalement tord.

- Cette paix n'est qu'une utopie ! Depuis la nuit des temps, les gens se font la guerre pour des territoires ou juste pour la dernière pomme d'un pommier. Ils sont capables de se battre pour une fleur mal placée. La paix n'est pas réelle. Ils se la sont inventés pour mieux dormir la nuit. -

La famille d'Haïko y avait cru et ils dormirent pour ne jamais se réveiller. Ce n'était pas les seuls, le village entier avait été décimé par le rêve de paix. Ils y ont cru et ils y sont morts, tués, assassiné par des créatures. C'est depuis ce jour qu'Haïko coupa le lien entre réel et envie, rêve, imagination, vouloir. Il y avait une grande différence et pourtant, beaucoup ne la font pas et croient être à l'abri. Haïko effaça pour un court instant l'image de sa mère se dégradant sur le sol de la cuisine pour continuer de parler en regardant l'inconnu dans les yeux.

- J'ai de la haine pour eux. De la pitié, je n'en ai plus. S'ils meurent dans leur monde, c'est qu'ils l'ont voulu en pensant être à l'abri de tout danger, tel un enfant naïf. Si je meurs pour détruire cette fausse paix, j'en serai heureux, car je pense que d'autres dans la même pensée que moi continuerons ce que j'ai commencé. Pourquoi interdire à un vampire de boire du sang ? C'est ridicule, sachant que la nature reprends toujours le dessus. C'est comme interdire à un enfant de jouer, c'est irréaliste et totalement impossible. Cette " paix " ne doit plus exister. Peut-être voir surement, mourrai-je en me faisant tuer par plus fort...-

Haïko savait que les faibles se faisaient souvent écraser par les forts. Bien qu'un faible pouvait utiliser autre que ses bras pour se battre contre un fort. Il y aura toujours un équilibre qui se fera. La tête contre les bras. Les mots contre les gestes. Il y en a toujours eu et le gagnant peut-être toujours étonnant. Haïko se savait faible comparé à certaines créatures, mais il ne pouvait pas supporter la paix qui essayait de régner en intimidant le naturel des gens. Soyez des robots ? Jamais.




Message par Invité Mar 27 Juil - 18:19

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Cette paix n'est qu'une utopie ! Depuis la nuit des temps, les gens se font la guerre pour des territoires ou juste pour la dernière pomme d'un pommier. Ils sont capables de se battre pour une fleur mal placée. La paix n'est pas réelle. Ils se la sont inventés pour mieux dormir la nuit. -

Une Utopie, l'hybride n'aurait certainement pas trouvé mieux pour définir sa pensée, mais il laissé parler l'humain pour avoir son point de vue à lui. Il voulait savoir ce qu'il pensait et aussi approfondir le font de sa pensée sur la personne qu'il avait interpelé. Elle semblait rebelle, mais ne s'attendait pas à ce qu'elle le soit autant. Que pouvait il donc bien lui être arrivé pour qu'il soit ainsi, c'est ce qu'il était entrain de se demander en ce moment même.


- J'ai de la haine pour eux. De la pitié, je n'en ai plus. S'ils meurent dans leur monde, c'est qu'ils l'ont voulu en pensant être à l'abri de tout danger, tel un enfant naïf. Si je meurs pour détruire cette fausse paix, j'en serai heureux, car je pense que d'autres dans la même pensée que moi continuerons ce que j'ai commencé. Pourquoi interdire à un vampire de boire du sang ? C'est ridicule, sachant que la nature reprends toujours le dessus. C'est comme interdire à un enfant de jouer, c'est irréaliste et totalement impossible. Cette " paix " ne doit plus exister. Peut-être voir surement, mourrai-je en me faisant tuer par plus fort...-


Mourir pour une paix qu'ils ne veulent pas, mais quelle délicieuse idée, il le pensait bien, il le sentait que cet homme pourrait être utile à son point de vue, mais il voulait voir jusqu'où il pouvait aller. Jusqu'où il pouvait tenir ses engagements et ce qu'il venait de dire. Voir si ce n'était pas des paroles en l'air. Mais comment pouvait il juger de cette personne sur des simples mots. Non il ne le pouvait pas, et devais trouver un test, voir si ses paroles étaient véridiques et si il était vraiment capable de souffrir et mourir pour sa cause et son idéologie, où si il allait s'esquiver comme les plus peureux des humains quand la situation commencé à se compliquer.

-Haïr ? Pourquoi venir dans une ville, où vivent tous ceux que vous haïssez ? C'est une certaine forme de masochisme. Venir vivre dans un lieu où tout vous répugne...alors qu'il serait si facile d'aller dans une autre ville et faire en sorte de remonter une armée ou une rébellion pour les anéantir. Je suis persuadé...non je suis certains que bien des gens pensent comme vous...aussi bien humains que ""Créatures ou monstres"" comme vous les appelez, pensent comme vous et se prépare quelques part, à faire changer les choses.-


Venir lentement au vif du sujet, il voulait voir ses réactions, ne pas aller trop vite. Après tout il savait que les rebelles manquaient encore d'effectif pour réussir à faire bouger les choses. Mais il ne voulait pas non plus risquer la sécurité des siens aussi prématurément. Il se devait donc de savoir, si il serait intéressé ou si il devait éviter complétement le sujet.

-Mais bon je présume que si un tel groupe existait, votre bassesses d'esprit vous empêcherez même de supporter les gens qui pense comme vous. Pensez vous cependant réussir à faire changer les choses avec de simples mots et des gestes solitaires que personnes ne souviendra jamais ?-

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