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Message par Invité Mar 25 Juin - 20:03

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Une nouvelle journée mouvementée venait de se passer alors que je quittais les bâtiments du Cercle l'esprit serein. Je venais d'accomplir ce pour quoi je pensais être ma destinée. Je ne m'étais jamais sentie aussi bien depuis longtemps. Plus de doute ni d'interrogation qui vous torture de l'intérieur à vous en rendre malade. C'était agréable. C'était comme si l'on m'avait retirer des poids qui alourdissaient mon cœur et mes pensées. Mais ce soir, malgré les nuages noirs recouvrant le ciel et cachant les étoiles, je me savais emplie de légèreté et de bonne humeur. J'avais envie de profiter du moment, voir même de fêter l’événement.

Le vent se levait alors que mes pas me guidaient vers l'enseigne d'une bâtisse encore ouverte à cette heure si tardive. À travers les fenêtres je pouvais distinguer un bon nombre d'homme, majoritairement, et de femme entourés autour de tables aux formes diverses et varier. Les discutions, la musique et les rires emplissaient les lieux à tel point que les murs semblaient aussi fin qu'une feuille de cigarette. À bien y regarder, il y avait un étage ou pas mal d'autres personne avaient pris place, néanmoins leurs vêtements luxueux et leur regard supérieur témoignaient de leur classe dans l'échelle sociale. Étrangement, ceux du rez de chaussé ne tentaient même pas de grimper les marches pour ce mêles aux autres. Il y avait de quoi après tout.

Une ambiance bien étrange régnait lorsque l'on les observait néanmoins, la bonne humeur et la joie des gens du bas m’incitait à entrée et franchir le pas. À l'ouverture de la porte, les bruits gagnaient en ampleur assourdissant mes oreilles. Beaucoup de tables étaient prises par de joyeux luron ou des couples enivrés par l'alcool et la passion. Une place venait de se libérer au bar, juste derrière les distributeurs de pression. J'avançais pour prendre place sur ces hauts tabourets et commander un mojito. Une boisson que j’appréciais particulièrement pour la fraîcheur de la menthe qui m'enivrait d'exquises sensations. Il était rare que j'aime le froid ou le frais mais il faut bien des exceptions à tout.

Je me tournais légèrement, une main tenant mon verre, en direction de l'étage. Je ne voyais que le plancher qui grinçait sous les pas des visiteurs mais je m'interrogeais sur le genre de créature qui pouvait s'y trouver. L'idée d'avoir affaire à des vampires ne me surprendrait pas. À en croire les légendes, ils sont souvent riches et beaux avec un regard carnassier lorsque leurs iris se posent sur une proie potentielle. Il est aussi dit que leurs cruautés n'avait d'égale que leurs soif de sang frais... J'en frissonnais d'avance même si je me savais épargné. Néro avait déjà goûté à mon sang et l'avait trouvé immonde. Le sang humain devait-être l'un des rares fluides qui les rassasie et satisfait.

Le regard ailleurs, je portais mon verre à mes lèvres afin d'avaler une nouvelle gorgée m'inquiétant quelque peu pour la race humaine si démunie face à ses créatures de la nuit. Le cycle de la vie les avaient abaissées dans la chaîne alimentaire depuis l'apparition d'être surnaturel. Entre les lycans, qui pouvaient parfois rétablir la balance avec les vampires, ils n'étaient pas gâtés. Qu'il était bon d'être née élémentaire en fin de compte.

Je reprennais place sur le comptoir sirotant ma boisson un sourire aux lèvres avant d'être heurtée par un homme ivre, incapable de tenir correctement sur ses jambes. Il s'excusa, fort heureusement mais, commençait à me faire la cour. Je secouais mon bras couvert de mojito, l'ignorant volontairement, mais celui-ci semblait s'accrocher comme une tique à un chien et poursuivait son entreprise. L'agacement ainsi que son haleine pestilentielle n'arrangeait rien à la situation, j'avais envie de le claquer et le faire déguerpir d'ici. Je soupirais et regardait autour de moi si quelqu'un n'avait pas oublié son copain mais aussi pour peut-être trouver une âme aimable de me débarrasser de cet opportun. Et je souhaitais déjà que l'attente ne se fasse pas trop longue sinon je me verrais obliger d'agir et d'en venir aux mains...

Message par Invité Mer 26 Juin - 16:22

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Propre, oui c'était la sensation qu'il éprouvait à cet instant précis. Il avait fait tant de choses ces derniers jours, il n'en pouvait plus. Heureusement que son bureau était confortable, que les douches dans les vestiaires étaient potables et que la Cage lui appartenait. La nuit était tombée depuis quelques heures, la journée était passée tellement vite. le loup n'avait pas eu la force d'ouvrir les portes de son domaine, les employés seront payés, mais là il n'avait simplement pas la tête à continuer. Non, Danaliel se sentait plus d'humeur à couler ses bouteilles de bourbons. Un sourire mauvais se dessina sur ses lèvres, ses mains désormais gantés de cuir ouvrirent tour à tour les divers placards résidant en cette pièce. Mais nul ne contenaient le précieux liquide ambré, une farce? Un vol? Qu'importe c'était un scandale! Il n'avait pas eu besoin d'acheter de bouteilles depuis... tout s'expliquait soudainement. Après plusieurs semaines et mois à ne bouger de son bureau uniquement quand il était sobre, chose devenue rare ces derniers temps, il avait dû épuiser ses réserves. Un long soupir suivit d'un petit rire dérangeant s’échappèrent, il se leva enfilant son long manteau noir, enfouissant sa tête à l’intérieur de sa capuche. Ainsi vêtu il ressemblait beaucoup à l'ancien lycan qu'il était, avec un oeil en moins et une expression beaucoup plus sereine. Il s'alluma une cigarette une fois dans la rue, puis commença  sa marche. Pouvoir retrouver ce vieux bar où il avait coulé tant de bouteilles, vidé tellement de verres et écrasés tant de têtes. Peut de gens avaient un bon souvenir de lui dans le milieu, trop impulsif, pas assez prévisible peut être qu'ils avaient aussi décelés en lui pas mal d'ambition ce qui effrayait les faux seigneurs.

Ses pas se firent de plus en plus lent, approcher de son ancien repère où il écoula tant d'argent le rendait nostalgique. Allaient-ils le reconnaître? Les habitués de son époque étaient-ils toujours en train de loger en dessous? Un seul moyen de le savoir, poser sa main sur la poignet l'ouvrir et entrer. L'ambiance était ... conviviale? Son oeil se promena sur chaque tables, il analysa les couples, les hommes, les gens en générale. L'odeur étais toujours aussi désagréable aux narines du loup, pourtant l'odeur de la bière et du bourbon parvenait à l'adoucir. Il avança lentement, le bruit ambiant était réellement éprouvant le lycan n'y était plus habitué. Sans parler de cette chaleur, où était passé l'obscurité? L'ambiance glauque mais agréable ne devait pas satisfaire tout le monde, mais dans ce cas pourquoi ne sont-ils pas tous montés en haut si ils n'étaient pas content? Trop de questions inutiles parasitaient son esprit, il haussa les épaules en souriant sans raison. Il vira sa capuche, révélant ses cheveux attaché ainsi que son cache oeil coupant son visage. Le comptoir était au bout de son bras désormais, il posa le bout de ses doigts dessus, puis commanda sur un ton puissant mais joyeux:

-Un verre de whiskey, laissez la bouteille comme d'habitude!

La commande arriva, un sourire enfantin se dessina sur son visage de balafré, il porta on premier verre à ses lèvres avec un air soudainement plus cérémoniel. Mais alors que le bords de ses lèvres caressait le doux liquide orangé, les hanches d'un humain trop fortement alcoolisé heurtèrent les siennes. Surpris il renversa son verre sur ce dernier, ses dents se serrèrent alors que son oeil foudroyait l'imbécile, il ne lui était pas inconnu en plus. Ce dernier courtisait une jeune femme avec autant d'élégance qu'une chatte en chaleur, le regard de l'humain ne tarda pas à se poser dans celui du lycan. L'expression d'abruti qu'on pouvait lire au fond de ses yeux à moitié fermés à cause de la boisson, céda sa place à une certaine terreur. Par le passé, Danaliel avait dû travailler en équipe avec certains malfrats, histoire de ce faire de l'argent. Tom, car c'est ainsi qu'il s'appelait, eu un jour la malchance de devoir travailler avec lui. Ils n'étaient pas seul et à l'époque personne ne savait qui était réellement ce jeune connard solitaire, souriant pour rien. Ils l'apprirent tous bien vite, mais trop tard. Le lycan ne s'attarda pas plus que ça sur le passé, accordant à la misérable larve un simple sourire, le même sourire qu'il avait fait des années plus tôt avant de tous les massacrer si ce n'est lui qui s'était simplement trop bien caché.

Il s'en alla sans courir, son pas était rapide mais assez pathétique. Bref encore une épave qui allait sauter d'un toit. Pourvu qu'il ne se rate pas celui-ci, le lycan porta un bref instant son attention sur la jeune femme, puis se servit un verre avant de recommencer sa cérémonie. Il voulait son verre, il l'aurait. Ses joues semblèrent piquer légèrement, sa langue elle se tordait dans tout les sens, brassant le précieux liquide qui redonna le sourire au jeune loup. Il prit un tabouret puis s'installa ouvrant un plus son manteau à cause de la chaleur. La jeune femme dégageait une odeur qui n'échappa pas au nez du loup, un odeur semblable à certaine personne, pourtant, cette odeur l'effrayait instinctivement. Il continua de boire sans lui accorder le moindre regard, elle était sur son côté droit, impossible pour lui de distinguer quoi que ce soit. Il pivota légèrement vers elle, lui accordant un simple sourire, puis reporta son attention sur la salle. Scrutant chaque personne, chaque verres, chaque possibilité de peut être déclenché une émeute avant de s'en aller en courant. Il s'enfila un troisième verre, puis soupira lâchant sur un ton dépassé:

-Non... tu n'as plus à faire ça pour te sentir vivant.

Il se parlait à lui même certes, mais ses paroles le firent sourire de façon franchement agréable, il en révéla accidentellement ses crocs. Il allait se mettre une sacrée cuite puis ensuit il irait dormir sur un banc, comme à la vieille époque! Son bureau était agréable mais trop petit, la rue était dangereuse mais au moins il y avait de l'espace.

Message par Invité Mer 3 Juil - 18:37

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Je soupirais toujours au prise avec cet hurluberlu définitivement saoul. Je voyais déjà mes espoirs de calme et sérénité s'envoler lorsque, je ne sais pour quelle raison, il s'arrêta et s'en alla. Je l'observais partir sans comprendre mais au fond je m'en fichais. S'il avait compris que je n'étais pas intéressée et que je voulais autre chose pour ce soir je n'allais pas m'en plaindre, bien au contraire. Je laissais échapper un « Bon débarras ! », ravie et contente de pouvoir retourner à mes affaires.  Mon sourire reparaissait sur mon visage. Il fut de courte durée... Mon regard se porta alors sur mon verre... vide, hélas.

« Garçon ! Un autre mojito s'il vous plaît, non deux plutôt avec une serviette se serait aimable ! »

J'attendais patiemment ma nouvelle commande observant autour de moi. Je remarquais alors un jeune homme borgne à ma gauche, une bouteille complète de sky pour lui seul, qui m'adressait un sourire. J'étais impressionnée. Il y avait vraiment des gens qui tenaient bien l'alcool... pas comme l'autre de tout à l'heure... J'entendis le garçon me servir et le réglait de suite. J'attrapais la serviette et commençais à essuyer mes vêtements du plus gros en m'intimant que le prochain qui me gâcherait une de mes boissons le regretteraient. Au prix ou est l'alcool ! Alors, si en plus, c'est pour le perdre de la sorte, c'est pas la peine !

La serviette entièrement imbibée, je la froissais sous ma main et cherchait du regard une poubelle derrière le comptoir. Je la visais et lançais la boulette qui par chance atterrit droit dedans. Mon sourire s'élargit et je prenais mon verre pleinement satisfaite pour le boire cul-sec.


« Et bien celui-là, je l'aurai pas volé ni perdu ! »

Je jouais avec les glaçons dans mon autre verre la tête un peu ailleurs. L'alcool avait le don de me monter vite à la tête. En même temps, le feu et l'alcool, le mélange était parfait. Néanmoins, il redescendait presque aussi vite et ne stagnait pas longtemps dans mon corps. J'avais cet avantage même si ça ne retirait pas la migraine du lendemain. On ne pouvait pas tout avoir. La tête un peu dans les nuages, la voix de mon voisin m'interpella. Je tournais la tête vers lui et remarquais ses dents semblables à des crocs et n'avait pas compris un traître mot de ce qu'il m'avait dit.

« Pardon, vous disiez ? Je ne vous écoutais pas excusez-moi. »

Peut-être s'agissait-il d'un lycan si l'on se fiait à ses canines bien pointues. J'esquissais un sourire amusé en levant les yeux vers l'étage. Si mon petit doigt ne s'était pas trompé sur la race des personnes du premier, j'aurais peut-être la chance d'assister à un combat entre vampires et leur ennemie juré. Je m'imaginais déjà, toujours assise à ma place, un nouveau verre à la main, scrutant le combat avidement les jambes croisées et les coudes sur le bar. Certain aimaient les combats de box, de lutte ou de catch, pour ma part, je n'y portais pas intérêt. Néanmoins, la curiosité de voir un jour cette lutte ancestrale se passer sous mes yeux me plaisait. M'enfin, pour le moment, il n'y avait rien de tout ça, je rêvais.

[HRP: Navrée c'est court mais j'espère que ça te convient.]

Message par Invité Mer 3 Juil - 19:46

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Qu'est ce qu'elle lui voulait ? Il avait bien le droit de parler seul non? Putain d'égocentrique, toujours à croire qu'on s'intéresse forcément à eux. Non mais franchement! Il soupira en entendant le son de sa voix, puis répondit simplement:

-Je ne vous adressais pas la parole c'est un mal entendue, sur ce bonne soirée.

Il se leva puis la salua, avant de prendre la bouteille et souhaiter une bonne soirée ainsi que du courage pour supporter les autres poivrots qui le loup espérait n’allaient pas tarder à remplir la salle. Danaliel sans remarquer ce qu'il faisait renversa un jeune vampire essayant de courtiser une dame. Qu'est ce qu'il foutait devant l'entrée aussi ? Bref, le lycan ne s'intéressant pas à lui continua son chemin en allant dans la rue descendant sa bouteille à une vitesse anormale même pour une créature aussi forte que lui. Ce n'est qu'après deux brève minutes qu'il éclata la bouteille sur le trottoir, avant d'avancer en titubant. Il avait l'impression que le monde n'avait plus ni gravité ni équilibre, en réalité ses yeux semblaient rebondir contre les rebords de son oeil. C'est seulement après avoir entendu un cri, portant une expression très significatif qu'il s'arrêta pour se retourner:

-Connard d'ivrogne tu vas crever! J'ai foiré mon coup du soir par ta faute et je dois lui rembourser son jean à cent balles file la tune!

Danaliel sans même essayer de réfléchir à ce qu'il disait leva très soigneusement son majeur. Du moins jusqu'à ce qu'une force imprévue s'immisce dans son esprit le forçant à plier l'echine ne un rien de temps, aucune résistance ne fut possible. Ses genoux se plièrent, ses cris furent stoppés net par une lame d'argent tranchant sa gorge. Danaliel s'étala face contre le bitume, sans autres formes de procès. Les yeux vident, le teint extrêmement pâle il commença doucement à s'éteindre. Alors que les heures ne semblaient qu'être des secondes il vue des gens commencer à s'agglutiner autours de lui. Des lumières agressive tournoyer. Peut être qu'il était trop tard peut être que non, dans tout les cas le loup venait de s'éteindre fermant son oeil libre.

[Ce fut bref, tu peux clore si tu le souhaites]

Message par Invité Lun 15 Juil - 20:36

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Je reprenais une gorgée prêtant pour le coup plus attention au jeune homme qu'à mes préoccupations environnantes. La réponse à ma question ne tardait pas à arrivée. Je m'attendais à ce qu'il répète ce qu'il m'avait dit mais il s'était avéré qu'il ne m'avait pas parlé. Mon imagination m'avait certainement jouer des tours, à moins qu'il ne s'agisse de l'alcool. Là encore tout était possible surtout lorsque je constatais que je venais de finir mon premier verre.

L'homme me souhaitait de passer une bonne soirée et je lui en souhaitais autant en le regardant partir bouteille à la main. Je rigolais un peu en me disant qu'il avait bien raison de ne pas oublier ce qu'il avait payé. Encore plus lorsque celle-ci était loin d'être vide... En parlant de choses encore bien rempli, il me restait un verre. Était-ce raisonnable de le finir rapidement ? Peut-être pas... Après tout j'étais venue pour profiter et me détendre alors je prendrais tout mon temps.

Je me tournais pour déposer mon verre vide et attraper le second avec un léger sourire. Je regardais le précieux liquide tournoyer lentement avant d'entendre du bruit. Je me retournais en fronçant les sourcils devant tant de brouhaha. Une bagarre venait d'éclater entre deux gars. Bien évidemment dans ce milieu, si une commençant, d'autre ne tarderaient pas à arriver. Mon souhait allait-il s’exhausser ? Il fallait croire que oui, en tout cas, ma soirée semblait bien partie pour me permettre un tel spectacle.

Le verre toujours à la main, je me tournais amusée par la scène et croisais les jambes. L'un de mes coudes reposant sur le comptoir ainsi que mon dos. Je souriais, admirant le combat gagnant de plus en plus en ampleur. J'entendais le barman soupirer et continuer à essuyer ses verres. Une habitude de la maison dirait-on. Une raison peut-être de revenir plus souvent si l'envie me prenait. Je riais en observait un homme cracher une de ses dents après s'être pris un magnifique coup de poing dans la face.

Oui, je m'amusais à ma façon de cette douce et agréable soirée, ne me préoccupant que de bien peu de choses. Une lumière bleu tournoyante passait sur les carreaux, une ambulance venait d'arriver. Des gens semblaient se précipiter vers l'extérieur attirer par la curiosité. Je finissais mon verre d'une traite et passait au travers des bagarreurs. Je venais de me prendre un coup qui ne m'était semble-t-il pas destinée. Je regardais froidement la personne et porta rapidement ma main à son cou commençant à lui brûler. Je m'arrêtais assez tôt pour le laisser en vie et lui faire comprendre qu'on ne s'attaquait pas à moi de la sorte.

Il fallait croire que j'avais calmé les personnes présente ou qui m'avaient vu à l’œuvre. Je les regardais un à un froidement alors qu'ils s'écartaient comme apeurer pour me laisser passer. Je sortie enfin et entendais déjà les gens amasser en tas dire qu'il y avait un mort, une histoire de meurtre peut-être. Je passais mon chemin pour rentrer chez moi, ne souhaitant pas gâcher ma soirée avec ces informations funestes.

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