| par Invité Lun 3 Déc - 17:17
| Le lycée. C'était immense ! Heureusement j'étais au collège moi ! C'était déjà un peu plus petit. Qu'est ce que je viens faire là ? La question ne se pose pas ! Je suis venue voir Aklianor. L'attendre à la sortie du lycée est une des chose que je faisais le mieux. Cette fois ci j'étais arriver une demi heure en avance. Ma longue robe rose bonbon, les bottines blanches a lacée rose fuchsia à rayure noir, mon chapeau haut de forme rose bonbon et blanc, mon manteau assez long blanc, je passais, encore une fois, pas inaperçu. Un livre à la main, je m'assis sur une des marche pour continuer de lire. Lire était mon activité et j'aimais ça.
Le temps passa plus vite que prévu et, après se qui me parrut 5 minutes, la sonnerie du lycée retentit. Cela me vrilla de nouveau et pour la je ne savais combientième de fois, les oreilles. Je fermais d'un claquement sec mon livre et me relevais. Déjà, les première personnes commencèrent à sortir. Tous le mondes me lançait de drôle de regard mais il avait finit par s'habituer à ma dangereuse présence. Je dis dangereuse car il m'arrivait de lancer des regards si noir que certains des " grands" tournaient les yeux. Une fois dans le couloir dans le couloir je me postais devant la porte de la classe de mon ami. Il finissait aujourd'hui par histoire. Bientôt, il ne resta dans la salle que lui et le professeur. Mon ami me fit signe d'entré. Et d'enlevé mon chapeau. Je pris le temps de la réflexion. Puis, finalement, attrapa le chapeau et le retirais de ma tête. Aussitôt ma nature chat apparut. Et je frappais à la porte de la classe pour attiré l'attention de l'homme au bureau. Je lui aurais donner une 30eme d'année. Quand il fixa son regard sur moi je demandais:
- Je peux entrée ? Je viens chercher Aklianor, qui est encore en retard !
Sans vraiment attendre la réponse de monsieur histoire, je rentrais dans la salle de classe pour allé collé une bise sur la joue de mon ami. Il finissait de recopier son cours et il prenait un malin plaisir à prendre tous son temps. Je m'assis à coté de lui, posant le chapeau sur la table. Il y avait de l'eau dans la salle, je le sentais. |
|