| par Invité Mer 15 Fév - 19:24
| Bonjour, bonsoir, salut, j'espère que vous allez bien, pour certains c'est les vacances, pour d'autres c'est la routine. Quoi qu'il en soit oubliez tout, et je vous invite à aller lire les nouvelles descriptions de nos sections pour comprendre dans quelle mouise je viens tous de vous plongez. Oui oui, je ne m'en cache pas, je vous ai clairement tous mis dans une situation critique et désagréable. Vos personnages vont suer!
Alors premièrement je vous introduis avec le nouveau contexte ci-dessous:
Contexte 2.0 "10 Janvier 2017.
Alors que l'avventura laisse le soleil se coucher, pour accueillir la nuit en son ciel étoilé, sur lequel repose une Lune aux teintes étrangement rosées, d'inexplicables apparitions émergent des ombres les plus banales de la ville et délivrent d'un quartier à l'autre de multiples hordes de démons. Il est à peine 22h20, que les premiers hurlements réveillent en sursauts les habitants. Un massacre de masse oppose des forces machiavéliques, aux créatures du monde réel. Non préparées et entièrement concentrées sur la traque des rebelles, les forces de l'ordre luttent dans l'anarchie la plus totale, subissant des pertes continues et victimes d'un soudain brouillage des communications. Même les sièges les plus sécurisés subissent des assauts, sans qu'aucun secours ne leurs vienne en aide. Les citoyens trépassent, crocs, griffes, magies, armes et pièges s'offrent aux âmes égarées, ainsi qu'aux fuyards désespérés. Des créatures surgissant sans nuls doutes des entrailles de l'enfer, se distinguent par des hauts faits, dont très peu purent réchapper pour en témoigner. Certains citoyens lutteront en vain, d'autres sauveront des vies en éprouvant leurs forces à cette nouvelle menace inexpliquée. La Lune gagne en éclat, rougeoyant meurtre après meurtre, comme si le sang des innocents lui est directement livré. Avant que l'aube ne puisse réconforter la ville de ses premiers rayons, une voix aussi informe que la silhouette naît dans les limbes de chaque âme: humains, lycans, élémentaires, vampires, hybrides et lightness. Et elle délivre un message sans équivoque:
"Nous reviendrons."
Suite à ce massacre à sens unique, le chaos ne cédera sa place qu’à la misère et la terreur. Les rebelles ne sont déjà plus que de l’histoire ancienne. Désormais les cendres et le sang tapissent les pavés de la ville. L’hôpital a été entièrement vidés, plus aucun médecins, ni aides-soignants ne réside entre les quatre murs des bâtiments. Sans parler des patients qui n’ont laissés aucune traces, si ce n’est quelques exceptions, comme des membres déchirés dans un coin ou l’autre d’une chambre éventrée par on ne sait quel prodige. D’autres infrastructures ont connu le même sort. Beaucoup de gens ont tentés de se réfugier dans la forêt, fuyant avec familles et possessions de fortunes. Très peu purent réellement gagner la lisère, avant de se faire rattraper par la folie incarnée. Pour les chanceux ayant finalement réussit à atteindre la forêt, ils sont accueilli à bras ouverts par d’aveuglants spots lumineux, ainsi que des gyrophares bleus et rouges. Plusieurs mégaphones, ainsi que des unités militaires recueillent les survivants, offrant aux rescapés protection et refuge. Aucun d’entre eux ne porte l’insigne du Cercle, seuls des écuissons bleus blancs et rouges ornent quelques gilets. L’hôpital n’étant pas le seul bâtiment à subir une importante concentration de monstres, le bâtiment du Cercle, autrefois symbole de puissance et d’ordre n’est plus qu’une ruine où errent quelques soldats et représentants. Les flammes laissent tomber le triste voile de la défaite sur l’ancienne bâtisse, alors que les équipes de secours montées et désignées à la hâte s’évertuent à gagner la ville. Les moyens de communications, tels que le téléphone, les lignes sous terraines, satellites et même internet n’ont étés suspendu que le temps de l’attaque,permettant aux forces du Cercle encore en vie de s’organiser tardivement.
Les rues brûlent, ou s’effondrent sur elles-mêmes, emportant avec eux, cadavres et blessés et enfouissant le désespoir et les larmes dans une avalanche de décombres. Plusieurs héros se démarqueront, mais beaucoup d’autres terniront l’image des rescapés. Nombreux sont ceux qui profitent du chaos pour assouvir leurs dessins si longtemps refoulés. Créatures et humains laissent leurs anciennes querelles reprendre vivement le dessus. Le Cercle ayant une nouvelle fois échoué à son devoir, les citoyens les plus téméraires refusent leurs aides, détournant camions armés, ou lapidant les forces de l’ordre cherchant à porter secours. Seul le quartier dévasté n’a pas subi le moindre dégât, protégé par une étrange aura tout le long de l’attaque : une statue composée d’un matériau inidentifiable rayonne d’une douce lueur mauve. Plusieurs citoyens et locaux déposeront fleurs et pièces aux pieds de cette dernière. Un symbole est né, alors que les locaux, commencent à fermer l’accès au reste de la ville. On les a ignorés, oubliés et laissés vivre dans la misère pendant sept longues années. Désormais, le quartier dévasté ne jure que par lui-même. Deux heures après l’aube, alors que des camions de l’Armée de terre finissent d’encercler la ville, plusieurs hélicoptères munis de haut parleurs, surplombés par des enceintes tonitruantes monopolisent l’attention des survivants :
« Citoyens de l’Avventura, ici le générale Theodore Valencien. Au nom de la République, des pouvoirs publics français et de l’armée française nous vous sommons de vous réunir tous dans l’ordre et le calme aux diverses places publiques qui composent votre ville. Nous laissons aux derniers représentants du Cercle une semaine pour œuvrer dans cette direction et répondre immédiatement à cet ordre. La France veut se voir restituer son territoire, créatures et humains seront traités de manière équitable et égale. Suite aux multiples catastrophes ayant secouées votre ville ces cinq dernières années, nous nous verrons une fois l’ordre rétabli, dans l’obligation de destituer le Cercle, afin d’implanter une nouvelle institution plus performante et équitable. Si, suite à ce message nos ordres ne sont pas exécutés, la nation française se réserve le droit, ainsi que le devoir, de réprimer toute formes de rebellions. D'ouvrir le feu aux moindres comportements suspects, aux moindres informalités, autant sur les créatures que sur les humains. Je répète… »
Les hélicoptères tourneront plus d’une heure, sillonnant, et photographiant ce qu’ils pourront, analysant et estimant les dégâts. Peu réussiront à admettre qu’aucun char d’assauts, ni type de bombes n’aient pu être employés pour ravager cette ville. L’Avventura verra ses habitants faire face à de multiples mouvements de foules. Entrant dans un quotidien fastidieux, le jour ils devront lutter pour coexister et se faire une place. La nuit, ils survivront et se serreront les coudes… ou bien blesseront les genoux des autres pour s’échapper.
« Anciens rebelles, nouveaux chefs de gangs, simples travailleurs à la rue, héros anonymes, terroristes en devenir, représentants du Cercles, partisans, créatures ou humains. Vous n’êtes plus désormais que des rescapés à la merci de deux nouveaux ennemis bien plus puissants que cette ville n’a jamais affrontée. Saurez-vous faire le bon choix ? Montez votre camp ou rejoignez en un. Mais décidez-vous vite, car n’oubliez pas : nous reviendrons. Muahahahahahah. »
Et si vous cherchez à le lire encore au cours de vos Rps, pour vous le remettre en tête: [Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien] |
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