Qui va là ?!

M'avançant dans cette contré encore inexploré, je pense m'être perdu, trop concentré sur mes pensées.

Ne trouvant personne pour demander mon chemin. Je continue ma route et me reperd dans mes pensées... Jusqu'au moment où j’aperçois une battisse, enfin plutôt une sorte de grande maison pas très bien entretenu, Je me dirigeais donc vers ce lieu pas très accueillant pour demander de l'aide si ce bâtiment est habité. J'étais déjà fatigué par la marche que j'avais parcouru et ne chercher qu'à pouvoir me reposer et souffler, stupide altération d'état c'est fous ce que cette chose peux me drainer mon énergie physique et mental, il faut que je me maîtrise sinon cela causera ma perte, stupide cadeau empoisonné.

Arrivant à la façade du bâtiment imposant, je me mis à taper à là lourde porte... En vain l'épaisseur de celle-ci ne faisait aucun bruit, j'ai voulu rebrousser chemin quand j’aperçus la sonnette caché par de la mousse et appuya dessus, celle ci ne faisait aucun bruit et donc je m'acharnais dessus pensant a un dysfonctionnement du système quand la porte s'ouvrit d'un coup et une femme apparue devant moi.

Un peu surpris je ne dis aucun mots... Mais étant dans un mauvaise passe je pris sur moi et demanda un peu hésitant.

De ces paroles, je commençais alors à reculer, ne sachant pas trop quoi faire.

(avec l'accord de Solid et Cath je me suis permis de m'incruster dans le rp xD)

Néro était resté toute la soirée en la charmante compagnie de Catherine, quand la journée fut levée il n'avait pas du tout l'intention de quitter cet endroit au risque de finir totalement grillé. Néanmoins il avait finit par se réveiller, comme le manoir était tout aussi sombre la nuit que le jour, son organisme avait un peu du mal à s'adapter à cela et parfois il lui arrivait donc de se lever en pleine journée un peu comme il venait de le faire. Avec anxiété il essaya de soulever un peu la fenêtre pour la rebaisser aussitôt à peine un léger rayon de soleil eu effleurer sa peau ce qui le brula aussi un peu comme Catherine tout à l'heure. Après avoir passer sa main sur l'autre un peu brulée pour apaiser la douleur il entendit alors une voix s'élever de dehors, cette voix n'était pas une voix familière pour lui, à vrai dire c'était même la première fois qu'il l'entendait. Rapide comme l'éclair il rejoignit sa compagne près de la porte d'où elle s'était adressé à la personne qui était arrivé ici semble il car il s'était perdu en chemin.

"C'est dingue le nombre de personnes qui se perdent par ici."

Se dit il en pensée, pensée que Catherine eu tôt fait d'entendre et qui semblait la faire sourire tout autant que lui. Il lui dit alors.

Nous devrions le faire entré chérie, après nous n'oublions pas nos bonnes manières.

Remarque avec le soleil qui tapait fort c'était plus à l'individu derrière le grillade d'entrer car sinon Néro risquaient de fondre comme neige au soleil.

Toute la soirée, j'étais restée en compagnie de Néro. Une compagnie des plus agréables d'ailleurs. Quand le jour se fut levé, je m'étais levée avec lui. J'étais passée devant la fenêtre de la chambre et avait par mégarde tiré le rideau. J'eus vite fait de le refermer: le malheureux rayon passé par là m'avait brûlé tout le bras ! En plus c'était assez long à cicatriser et la douleur qui s'ensuivit était horrible. J'avais ensuite entendu du bruit dehors, provenant de derrière le grillage. J'étais descendue à la vitesse grand V. Néro était descendu après moi, pour me rejoindre derrière la porte. Encore une personne qui s'était égarée. C'était dingue ça: y'avait rien à des kilomètres à la ronde mais tout le monde se perdait ! Allez comprendre... D'ailleurs, les pensées de Néro me firent sourire. Et dire qu'il était arrivé ici en se perdant.... J'avais hésité un moment à répondre. Surtout que je ne savais pas de quelle race était cet individu. J'avais finalement entrouvert la porte. Je m'étais saisie d'un fouet en argent qui traînait là. Je me méfiais toujours de ces fichus lycans.

-Bien sûr qu'on va le faire entrer mon amour. En plus, vu le soleil qu'il y a dehors, je me vois mal m'y aventurer.

Je passai ma main sur mon bras, encore douloureux. Une cicatrice était apparue. Je me tournai vers l'inconnu tout en faisant attention à ne pas m'exposer au soleil.

-Je vous en prie, entrez donc.

Il y a eu un bon moment de latence de cette personne qui commençais à me paraître de plus en plus bizarre et aperçu dans le coin de la porte entre ouverte une silhouette... Cela commençais vraiment à être louche et pour bien en remettre une couche j'ai cru voir un léger sourire sur les lèvres de la dame. Je commençais à me demander où je suis tombé quand elle me dit : « Je vous en prie, entrez donc. »

Je sentais un léger malaise me parcourir, n'étais-je pas tomber dans un endroit de fous comme avant, ne sachant pas non plus quoi faire je me suis mis à suivre mon hôte en regardant les lieux avec effrois et admiration. On pouvait sentir comme une, non plusieurs présences, comme dans les endroits où des personnes auraient souffert jusqu'à la mort, cette sensation omniprésente m'a rappelé des souvenirs avec dégoût... ET il y avait cette odeur, spécial qui n'étais pas significatif de vie. La porte avait claqué derrière moi et là se tenait un homme, surement la silhouette, qui étais fortement vêtu de belle apparence, j'ai cru au majordome mais, il aurait ouvert la porte et non la femme.

, en commençant à avancer vers lui pour lui serrer la main et fit de même avec la dame, mais avec un baise main bien sûr, on ne sert pas la main à une dame.