Avventura
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.
Le deal à ne pas rater :
Cartes Pokémon : la prochaine extension Pokémon sera EV6.5 Fable ...
Voir le deal

Aller en bas

Message par Invité Mer 27 Juin - 11:20

Revenir en haut Aller en bas
Nature :

Je me trouve prisonnière éternelle
D’une nature sauvage et étouffée
Malgré ma solitude, ce lieu me paraît personnel
Mon souffle est entrecoupé, s’est évadé.

Le vide profond du ciel noir
M’a coupée de la réalité, si insensée
Je me perds dans les quelques étoiles colorées
D’un monde où le temps passe, a perdu son pouvoir.

La Terre continue sa route sous mes pieds
Mes les arbres étouffent le bruit de mes pas
Mon esprit se sent pourtant si las
Il s’épuise, car sa route n’a pas d’issue, je suis troublée.

Message par Invité Mer 27 Juin - 11:32

Revenir en haut Aller en bas
Des phrases si sombres avec un avatar si rose, ça ne peut que créer un contraste saisissant ! ^^

Message par Invité Mer 27 Juin - 11:36

Revenir en haut Aller en bas
L'avatar n'est qu'une apparence, et Dieu sait que les apparences sont souvent trompeuses Wink

Message par Invité Mer 27 Juin - 11:50

Revenir en haut Aller en bas
Fantôme du passé :

Je revois encore ta cape noire
Signe si évident de ton départ
S’éloigner, fuir à mon regard
Mes sentiments m’envahissent de toutes parts.

Je me dis toujours que le cœur à ses raisons
Mais tu n’as pas prit le temps de m’expliquer les tiennes
Je refoule mes larmes, elles coulent au fil des saisons
Même si tous mes sanglots t’appartiennent.

Je sens ton parfum qui m’assaille
Et tu as tout fait pour que ça m’aille
Mais tu t’es trompé, on n’efface pas le passé
Et tes pas ne se sont pas estompés.

Message par Invité Mer 27 Juin - 11:53

Revenir en haut Aller en bas
oh oh sous tes airs de vampire impitoyable se cacherait donc une fille sentimentale Razz (ps: j'aime beaucoup tes écrits et ceux de Vegeo aussi^^).

Message par Invité Mer 27 Juin - 11:56

Revenir en haut Aller en bas
C'est fort possible Smile Merci Néro ^^

Message par Invité Mer 27 Juin - 12:07

Revenir en haut Aller en bas
En effet, les apparences sont souvent trompeuses, heureusement d'ailleurs, si on pouvait deviner les gens par leur aspect ce serait triste.
Mention spéciale pour "Fantôme du passé", il a une profondeur qui ne manque pas de charmer le lecteur.

P.S: Merci Néro ^^

Message par Invité Mer 27 Juin - 12:11

Revenir en haut Aller en bas
Y'en aurait une paire qui ne mériteraient pas leur réputation sinon xD Mais là, on s'éloigne de notre sujet mdr

Message par Invité Sam 30 Juin - 13:16

Revenir en haut Aller en bas
Sanguinaire :
A ce besoin pressant de sang
Je sens mes veines qui s’enflamment
Mes membres douloureux s’expriment
Souvenirs effroyables d’un être sans parents.

Et quand je sens sous ta peau pâle
Le chaud liquide qui circule dans tes veines
Et qui pour moi est si essentiel, je me déchaîne
Et j’enfonce dans ta chair deux crocs dans un râle.

Le feu de mes veines s’éteint
En même temps que ta vie qui s’échappe
Le goût du sang est de fer, si revigorant
Mais toi tu est déjà très loin.

Message par Invité Sam 30 Juin - 13:26

Revenir en haut Aller en bas
C'est inquiétant mais raconté comme ça...ça me donne soif!!

Message par Invité Sam 30 Juin - 13:28

Revenir en haut Aller en bas
C'était pourtant pas le but recherché. mdr !!!

Message par Invité Sam 30 Juin - 13:29

Revenir en haut Aller en bas
Je suis dans ma période plante carnivore c'est pour ça ^^

Message par Invité Sam 30 Juin - 17:47

Revenir en haut Aller en bas
*s'écarte*. Euh... Veux pas me faire bouffer moi... Je suis plutôt celle qui bouffe en général, comme dit dans le poème Smile

Message par Invité Lun 2 Juil - 22:21

Revenir en haut Aller en bas
Combat d'immortels:


Loup noir sauvage tu hurles à la Lune
Et confesses tes peines et tes malheurs à la nuit
Monstre sans regrets tu erres sous les étoiles
Du sang coulant de tes horribles babines
Et tes yeux remplis d’une colère farouche

Tu défies tes ennemis éternels, vampires
Sans crainte et avec toute la haine de ton âme
Jusqu’à ta mort tu demeures maudit
Mais pour chance, tes ennemis demeurent messagers
Des phrases qui auront le pouvoir de te libérer.

Tu te débats et combats contre des immortels
Aux pouvoirs immenses et sans failles
Qui ne craignent que l’astre Solaire
Et armés de balles en argent massif
Mettront fin à te jours sans même se repentir

Message par Invité Sam 7 Juil - 18:21

Revenir en haut Aller en bas
Archer :
Homme parmi les ombres, implacable
Tu t’embusques sur les toits sombres
Archer de la nuit, d’une précision irréfutable
Un oiseau, transpercé d’une flèche, message funèbre.

Tes déplacements sont empreints de souplesse
Tu lâches tes flèches avec une telle délicatesse
Mais ta volonté est presque inhumaine
Et tes yeux, amplis d’une pareille haine.

Dans un élan irrésistible se bandent tes muscles
La corde se tend, promesse de mort, murmure
Et dans le vent, il se propage, fidèle
Et avec force, s’enfonce dans mes entrailles, lunaire.

Message par Invité Sam 7 Juil - 23:31

Revenir en haut Aller en bas
A vouloir toujours:

A vouloir toujours voler plus loin,
Tu risques de te brûler les ailes.
A vouloir courir toujours plus loin,
Tu risques de ne plus t’arrêter.

A vouloir toujours en découvrir plus,
Tu risques de te noyer dans tes connaissances.
A vouloir toujours aimer plus,
Tu risques de perdre la vue.

A vouloir toujours rêver d’avantage,
Tu risques de perdre pied avec la réalité.
A vouloir toujours aider les autres,
Tu risques d’oublier ta propre vie et ton bonheur.

Mais moi, je ne veux toujours que toi, et mon bonheur n’est qu’à tes côtés.

Message par Invité Dim 8 Juil - 20:48

Revenir en haut Aller en bas
Le jeu des saisons:


Mes yeux croisent ton regard de glace
Froids comme l’hiver, font fondre mes certitudes
Mon souffle de braise, d’été, éloigne tes promesses
Et nous jouons à chat, comme les saisons

Dans ma robe d’un rouge flamboyant
Je te nargue, dans ton costume de neige blanc
Et dans une étreinte subtile et charnelle
Hiver et Eté se donnent le droit de s’aimer

Je t’offre des noces blanches, délicates
Mais la rudesse de tes paroles
Rappelle la dureté de ton arrivée
Dans nos jeux et nos caresses, éternels

Message par Invité Ven 13 Juil - 23:45

Revenir en haut Aller en bas
Coucou les gens, je vous écrit pour vous prévenir que d'ici lundi j'écrirait un récit en plusieurs parties centré sur l'histoire de Néro entre sa transformation en vampire et sa découverte de l'avventura, attendez vous à y découvrir un Néro beaucoup moins expérimenté et puissant et surtout plus perdu qu'a l'heure actuelle xD, j'espère que l'idée vous plaira.

Message par Invité Mar 30 Oct - 19:20

Revenir en haut Aller en bas

Nuit troublée


Dans la nuit d'ancre noire, sans étoiles
Une chouette, au pelage sombre et uni
Se fond parmi les ombres, sans voile
Souffle ses tracas, comme un art infini

Sur le chemin du cimetière
Le vampire, sanguinaire, erre
Près d'un arbre dénudé, observe la chouette
Sous ses grands airs, délicat poète

Une brise souple agite ses cheveux d'or
Mes entre les tombe, dangereux d'être dehors
Alors que la lune est haute et pleine
Le lycan, meurtri, hurle sa peine

Parce que la Mort n'attend pas, infaillible
Dans sa cape de jais, l'immortel est insaisissable
Mais le loup solitaire, fuit la fin ultime
Ou les balles d'argent d'un chasseur anonyme


Maladie vampirique :

Frappée de folie, victime de son humanité
La vampire, pourtant sans conscience ni pitié
Souffre, torturée par tant de souvenirs, et tant d'années
Qui se sont écoulées avant de rencontrer son meurtrier

Perdue dans ses sanglots, laissé à d'éventuels crimes
Elle cherche avidement une innocente victime
Un homme, égaré loin de la ville, n'entend pas l'alarme
Insouciant, faible, se jette dans les crocs, aventurisme

Souffrance, douleur et cris vains seront réunis
Alors que la vampire, assoiffée, l'assujetti
Désormais tous deux dans l'éternel ennui
La vampire, emplie de maux mais la soif assouvie

Message par Invité Mar 1 Jan - 1:53

Revenir en haut Aller en bas
Petit poème pour la nouvelle année !

Combat à mort

Marchant dans l'allée sombre et déserte, ombre parmi les autres
Elle blasphème en silence et sans remords aucuns, les souvenirs
De ceux qui un jour furent lumière dans notre enfer, des nôtres
Sans foi ni loi, elle trouble ma tourmente, mes souffrances a venir.

Appuyée sur un caveau, elle salit l'image, l'essence
De ce que je suis, de ma famille, pourtant immortelle
C'est le pire des jurons, qu'elle crache avec aisance
Lorsque, nonchalante, elle dégrade des songes sans pareille.

Révoltée, injuriée, je lui donne le blâme ordonné
Mais toujours aussi insouciante, le balaye de la main
Indignée, je fais couler le sang de cette éternelle damnée
Elle ne daigne pas s'excuser, la bise dans ses cheveux châtains.

Du bout des doigts, je tiens son cœur mort mais battant
Et je me retiens de le lui arracher, soudainement et brutalement
Son souffle d'airain s'épuise, se brise, faiblit, ne s'arrête pas
Et je la laisse chuter, inlassablement, dans la gueule des anacondas.

Message par Invité Sam 5 Jan - 11:17

Revenir en haut Aller en bas
Je viens un peu en retard pour le dire mais je voulais juste t'avouer que j'aimais beaucoup ce que tu avais fait pour le nouvel an Smile

Message par Invité Sam 5 Jan - 18:17

Revenir en haut Aller en bas
Merci Vévé ^^

Message par Invité Lun 13 Mai - 13:47

Revenir en haut Aller en bas
Eh hop ! Petit double post ^^"

Fille de Nuit

Tout dans ma vie n’est que noirceur
Eloignée de toute joie, de tout bonheur
Je me repais du mal, et du malheur
Du sang d’autrui je suis la détentrice
Il n’y a pas de lumière dans la matrice
Et quand un rayon m’aveugle, j’ai peur.

Chaque jour devient alors jeu d’échecs
Quand le fou détrône le roi, je fais un break
Le damier carré et plat de ma vie
Est en soixante nuances de gris
A la fin de la partie, je ferme les yeux
Sur mes lèvres, un sourire affreux.

Seule dans ma lugubre demeure,
Où les rideaux obstruent les fenêtres
Je m’enferme, me blottis, je meure
Le soleil, cruel, refuse me reconnaître
Car je suis fille de Nuit et du Diable
Sous les étoiles, je cheminerai, invisible.

Message par Invité Dim 13 Oct - 22:34

Revenir en haut Aller en bas
Dame Nuit, je t'aime

Le Soleil rougeoyant se lève dans mon cœur,
Je ne vois qu'un spectre, une ombre, c'est l'Absence.
Il déambule, me contemple, se joue de moi, farceur
Devant mes yeux, n'est qu'une ombre fugace.

Quand le Zénith m'observe, pluie de rayons confuse,
Je baigne dans le doute, mon âme blessée refuse
De cicatriser, mes pupilles se consument
Car dans cette vie, la lumière tue, j'assume.

Quand Dame Nuit se pavane, drapée de ténèbres,
Sa fourrure de soie danse, épaisse et sombre,
Dans son étoffe noire, d'ombres se gorge mon esprit
Et je la détaille, cette vipère assassine, s'est écrit.

Elle m'accompagne, fidèle amie, silhouette omniprésente
Elle me conseille, me guide et me disperse, violente
D'une beauté sauvage, irréelle, me domine et me dévore
Dangereuse prédatrice, chasseresse, je suis l'herbivore.

Mais j'admire ton venin, je t'Aime.

Ma dernière création ^^

Message par Invité Lun 16 Déc - 16:30

Revenir en haut Aller en bas
Bonjour ! Voilà de quoi vous occuper un peu ^^

Larmes nocturnes:

La nuit glisse délicieusement de son obscur lit de soie noire
La lune devient une horloge funeste, macabre présage
Et alors que le couperet tombe, mortelle sentence
Le ciel donne naissance à de sinistres larmes
Froissant les plis de cuir sombre de mon long pardessus
Ruisselantes sur le pavé de pierres anciennes.

Les mains gantées de noir, le visage masqué d’étoffe
Je déambule: je suis la mort, je suis la balance
Crois-tu trouver la paix, monstre d’égoïsme ?
Quand les Enfers se déchaînent en moi, tumultueux
Alors que le vacarme m’assaille, me hante, que ton visage
Ne m’apporte plus que haine, souffrance et désespoir ?

Les nuages masquent tous les crimes, les ténèbres
Enveloppent tous les échecs, toutes les pertes
Sous le tranchant argenté, le sang coulera, tu périras
Le vent seul témoin de la vengeance d’un cœur meurtri
Le Céleste, unique spectateur de ta douce agonie
Ton cri comme une douce ritournelle, mélodie


Il fut une fois…

Il fut un paysage éternel, peint de fine neige
Semblable à une blême brume, à un songe
Où le ciel avait la couleur de ta peau, de ton teint
Et les arbres la finesse de ton corps, de tes traits.
Le vent balayait langoureusement mes cheveux
Avec la douceur de ta voix, tes vocalises de soprane
Et dans mon cou, la chaleur estivale de ton souffle
Le son de mes pas comme un écho à ma détresse.

Vêtue de gris, ombre pâle sous l’astre diurne
Je m’avance dans ce monde, immensité de glace
Le vol, à la grâce silencieuse d’une colombe, m’afflige
Comme un voile blanc, enveloppe emplie de vie.
Je contemple un ruisseau au cours interrompu
Le froid forme un châle, pâle comme l’iris de tes yeux
Mais ici, seule l’absence me blesse, retentit puis me rejoint
Dans ce lieu sans âme, il n’y a qu’un cœur qui bat.

Message par Contenu sponsorisé

Revenir en haut Aller en bas
Revenir en haut
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum